"Les liens et la vision de la francophonie libanaise"
Le Site-web libanais francophone du mois: 11/2023

 Accueil Actualité-Médias | Culture-EducationTourisme-Voyages | Evènements & Francophonie | Le Liban sur le web

  LibanVision, le regard de la Francophonie Libanaise...
Le Liban est un pays francophone bien singulier.
Au Liban, le Français est plus une langue seconde qu'une langue étrangère et s'utilise en priorité comme une langue de culture. Les libanais sont souvent trilingues et adaptent ainsi leur pratique de la langue en fonction des circonstances.
La francophonie au Liban apparait souvent en retrait sur le web mais démontre néanmoins une belle diversité et une certaine vigueur que LibanVision a pour objectif de structurer pour en faciliter l'accès et l'usage.
LibanVision a pour objectif d'être à la fois un portail et un observatoire des acteurs de la francophonie libanaise au Liban, en France et dans le monde avec la mission de contribuer à sa vitalité et sa pérénnité
."Pour que vive la francophonie libanaise!"

Nous contacter?
Qui Sommes Nous?

LibanVision.com


Votre Portail et lien privilégié avec le Liban francophone et 1er observatoire en ligne de la francophonie libanaise au Liban et dans le monde.
Email - courriel en français:
contact@libanvision.com



> L'Actualité du Liban
jusqu'en Août 2020

> L'Actualité récente du Liban
de Septembre 2020 à Fin 2022





Radio Liban 96.2

La chaine YouTube


Soutenez nous

Achetez Loubnane, le bijou symbole du Liban

Opinion, avis, lettre,
posts de lecteurs :
la sélection de

L'actualité libanaise
en continu avec Libnanews




Le Fil des dernières infos


en direct du Liban avec
L'Orient-Le Jour

Nouveau site d'infos


Sawt Beirut Inter Fr


L'Information via

l'Agence Nationale


Agence "Akhbar Al Yawm"
- Nouvelles du Jour --

Agence Al Markazia Presse
(traduction avec Chrome)

Alahed news french


Actualité et opinions
Le Courrier du Cèdre


& Liban francophone




L'Actu libanaise sur Arabnews français


Kawa News Liban


L'info du Liban

avec France Info

Le Liban à la Une du magazine Entreprendre



"Blog Liban" par
Courrier International

Le-Liban.com

Un annuaire du web libanais et une sélection d'articles occasionnelle



Actu du Liban vue d'Afrique




Les infos du Liban

en direct et en Français


Google Liban en Arabe
(En Français avec Chrome)

La chaine d'information
Al-Mayadeen, basée au Liban a lancé une version de son site-web en... Espagnol

(En Français avec Chrome)


Taux de change
Livre Libanaise / USD
en temps réel



Nouveau:
les programmes du jour
en Français de
Radio Liban-96.2 FM


RFI-Radio Liban-96.2



Les News par Radio Al Nour
(en Français avec Chrome)


Al Manar Tv live par VPN


Regarder les chaines TV libanaises en directt


Les chaines TV françaises en direct


Tout le Football en live

Le meilleur du foot mondial en streaming

Qi-Juval


Complément Alimentaire

L'apport des plantes médicinales
dans la recherche sur les vaccins ou en appui de la vaccination pour les rendre encore plus efficaces

> Lire l'Article...

L'actu de la femme orientale

Saviez-vous que...
André Bercoff est libanais


Au Liban comme en France, partout, on peut écouter Sud Radio



Mini Guide touristique du Liban avec LIBSHOP


Les plus beaux Villages du Liban

Une destination de vacances ou un projet d'expatriation?

dA la découverte de Saranda et de la riviera albanaise

Plateformes Infos

Vainqueur du concours
"Femme Entrepreneure"



Le Site-web des Jeunes



Une idée de voyage
ou d'émigration?


Saranda365
, du côté de Corfou, la riviera albanaise vous attends pour les vacances ou le business...


Dico Français-Libanais

Dernière édition

Nouveau
Lexique Français-Libanais phonétique







Destination Francophonie
à Beyrouth avec TV5 Monde



TV5Monde Info en continu


Le Top 20 des chansons
au Liban

Ecoutez > le dernier disponible 07-23

Ecoutez Nostalgie en live



RADIO LIBAN 96.2


LIGHT FM 90.5 FM


RADIO ORIENT

Liban & France

RADIO NOSTALGIE

Liban - 88.1 FM


Infos & Services



Immobilier au Liban

Notre dossier spécial


Informations thématiques
Comprendre l'Actualité du Liban par les Cartes

Le français au Liban

L'enseignement en français au Liban

La Diaspora libanaise

Le Liban et la Francophonie

Dossier Gibran Khalil Gibran

Le Liban et la Phénicie









Projet LITOTERA :
Pour une Lithothérapie innovante de bien-être contre les ondes électromagnétiques

 
Le Liban veut la paix!
Parce que la mémoire ne doit pas être sélective et concerne tous les acteurs de l'Histoire

1996
Parce que l'Histoire ne doit pas être un éternel recommencement

2006
Parce que le Liban a trop connu la guerre dans son Histoire pour qu'elle recommence...
2023
Souvenons nous de Cana en 1996
Liban:
À Cana, peur et résignation face au conflit frontalier avec Israël

La ville a été durement touchée par les conflits avec Israël

Les affrontements à la frontière israélo-libanaise se sont intensifiés
Plus de 40 combattants du Hezbollah ont été tués à la frontière



25 octobre 2023- Dans la ville de Cana, au sud du Liban, où les bombardements israéliens ont tué plus de 100 personnes en 1996 et quelque 28 en 2006, les affrontements frontaliers font craindre une nouvelle guerre.

Les habitants de la ville, mentionné dans la Bible comme l'endroit où Jésus a accompli son premier miracle en transformant l'eau en vin, se sont habitués à être pris entre les feux croisés d'Israël et la milice chiite du Hezbollah.

"La guerre se déroule à la frontière. Ce n'est peut-être pas encore notre tour, mais on ne sait pas ce qui va se passer dans quelques jours. On attend, c'est tout",
a déclaré Rabab Yousef, âgée de 57 ans, qui a perdu sa fille sous les décombres d'une frappe aérienne israélienne en 2006.

"De temps en temps, ils déclenchent une guerre et on perd un membre de sa famille. Vous donnez naissance à un enfant et vous ne savez pas s'il restera avec vous", a-t-elle déclaré.

La violence s'est rapidement déchaînée à la frontière nord d'Israël avec le Liban lorsque que le conflit a éclaté dans la bande de Gaza après que le Hamas, allié du Hezbollah, a lancé son attaque sur le sol israélien le 7 octobre dernier.

Depuis lors, la milice chiite libanaise, l'allié régional le plus puissant de l'Iran, a été impliquée dans des échanges de tirs de plus en plus nourris avec l'armée israélienne.

Plus de 40 combattants du Hezbollah ont été tués dans les zones frontalières jusqu'à présent, tandis que l'armée israélienne affirme qu'au moins sept de ses soldats sont morts.

À Cana, à 11 km au nord de la frontière israélienne, beaucoup de rues sont tapissées des portraits du chef du Hezbollah, Sayyed Hassan Nasrallah, et du chef du mouvement chiite Amal, Nabih Berri.

DE NOMBREUSES GUERRES

Ghazi Hussein Ai Deebh, un forgeron de 55 ans, affirme de son côté avoir déjà tout vu.

"C'est devenu normal, car nous avons connu de nombreuses guerres".

En 2006, il a porté le corps d'un enfant tué lors d'une attaque israélienne qui a fait 28 morts, dont la moitié étaient des enfants.

Cana a connu un incident encore plus dévastateur dix ans plus tôt, en 1996, quand un bombardement israélien a touché une base de casques bleus de l'Onu où s'étaient réfugiés des centaines de civils, tuant 106 personnes.

Israël a regretté l'incident, ce qui l'a conduit à mettre fin à son opération "Raisins de la colère" au Liban, lancée en représailles aux tirs d'artillerie du Hezbollah pendant la période où Israël occupait une partie du sud du Liban.

"Je les revois encore, comme si ça c'était passé aujourd'hui. Surtout les enfants, rien ne vous brise autant le coeur (que la mort) d'enfants", a déclaré Jamil Salameh, survivant de l'attaque et aujourd'hui le gardien d'un mémorial commémorant l'incident.

Sabah Krecht, âgée de 57 ans, explique qu'en raison de la grave crise économique que traverse le Liban, de nombreuses personnes n'ont pas les moyens de partir.

"Nous avons peur", dit-elle, "mais où pouvons-nous aller ? Cette fois, on a l'impression qu'ils nous donnent du temps pour que nous puissions fuir, mais il est financièrement difficile d'aller ailleurs".

(Reportage Riham Alkousaa ; version française Diana Mandiá, édité par Kate Entringer)

Mes petits enfants de Cana

La foudre passée
Dans la poussière étouffante
tout s'effondre

Plus de maman
Dans les gravats
ses voiles noirs ont disparu

Des cris des râles
A peine parfois le hoquet
d'une prière
brisée
net

Pour vous
plus de miracle
ni de fête de la terre

Si seulement votre martyre n'était vain
Grands sourires noirs
biffés

Mes petits enfants de Cana


Georges Meckler
LE SANG DES CEDRES (2008)


Archives LBV - Après le massacre de Cana en 1996


> Notre page spéciale Mémoire Cana Liban Palestine réalisée en 2006/2007

Le New York Times rejette la position israélienne sur le massacre de l’hôpital Baptiste Al-Ahli de Gaza

Cliquez pour accéder à l'article NYT (traduction aavec Chrome)
Cet évènement a largement influencé l'évolution des opinions publiques
Une enquête révèle qu'une roquette tirée depuis la ville israélienne de Nahal Oz aurait bien frappé le malheureux
hôpital le 17 octobre 2023.
• Les enquêtes de NPR et de la BBC aboutissent également à des conclusions similaires

Nasrallah: un silence stratégique?
Après plus de deux semaines d'escalade militaire sur la frontière du sud-Liban, les hauts dignitaires du Hezbollah se sont exprimés à maintes reprises sauf un: Sayyed Hassan Nasrallah, son secrétaire général.
Bien plus que les observateurs libanais, ce sont les occidentaux et Israel que ce silence intrigue même si, pour certains libanais, sa prise de parole pourrait bien siginifier le pire et mener à l'ouverture d'un nouveau front de guerre redouté et très risqué pour le Liban. > Lire...


Cana, nichée dans les collines du sud-Liban, site historique de la Galilée antique
Les Libanais du Sud, une clé pour éviter la guerre
La question que se posent tous les Libanais aujourd’hui porte sur les intentions du Hezbollah dans le contexte de la guerre opposant les Palestiniens et les Israéliens. En effet, le temps est suspendu pour les Libanais depuis le 7 octobre 2023, surtout pour les habitants du Sud. Les résidents des villages frontaliers ont quitté leurs maisons pour aller vers des localités plus grandes et relativement sûres comme Tyr ou Nabatiyé. Certains font des allers-retours vers Beyrouth au gré des nouvelles et des opérations militaires menées depuis le Liban-Sud. Un fatalisme s’installe parmi un grand nombre d’entre eux. Ils ne veulent pas d’une nouvelle guerre mais s’y résignent, plient sous le poids du parti de Dieu.
Mais que veulent ces Libanais du Sud qui avaient, dans leur grande majorité, refait allégeance au Hezbollah lors des élections législatives de 2022 ?
Les habitants du Sud ont les qualités et les travers de l’ensemble des Libanais. Ils veulent une bonne éducation pour leurs enfants. Leurs familles sont éclatées à travers les continents à la poursuite d’une vie décente. Ils sont tout autant dépendants que les autres Libanais des réseaux clientélistes et de la solidarité confessionnelle. Ils reviennent au village pour y construire une maison, souvent fastueuse. Ils sont fiers de leur identité libanaise, et c’est une relation pragmatique qu’ils entretiennent avec le Hezbollah. De leur point de vue, ce dernier garantit leur sécurité depuis 2006 et leur a offert une période de sécurité et de stabilité sans précédent depuis la création de l’État d’Israël en 1948. Plus encore, sa force de dissuasion leur ouvre des perspectives de prospérité économique avec l’accord de délimitation des frontières maritimes en 2022. Dans cette équation à une variable, le Hezbollah semble être, malgré toutes leurs réserves sur son rôle interne, la garantie d’une certaine normalité dans le Liban-Sud. Dans cette optique, « l’arsenal de dissuasion » du Hezbollah continue à avoir leur soutien et leur bénédiction. Bien que le Hezbollah soit aujourd’hui le premier responsable (sans être le seul) de la faillite de l’État libanais, le pragmatisme semble l’emporter. > Lire la suite du point de vue de Naji ABOU KHALIL

18 Avril 1996 : Massacre à Qana

L'article du PalestineTimes de 1997 traduit en français

Voici le reportage du massacre de Qana qui eut lieu le 18 avril 1996.
C'était sans aucun doute un acte terroriste, effectué par un État qui s'est du coup révélé être un menteur sans vergogne.

Robert Fisk révèle la Vérité et expose les mensonges. Passons enfin à Qana.
Robert Fisk fut le premier journaliste à pénétrer l'enceinte des Casques Bleus du Fidji après qu'elle fut attaquée par des obus de proximité au plus fort des bombardements israéliens du Sud Liban l'année dernière.


Au cours de sa description très détaillée et émouvante, qui fit couler les larmes de plusieurs membres du public, il raconta la scène alors qu'il entrait dans le camp. "Le sang coulait à flots depuis les portes de l'enceinte des Nations Unis, dans laquelle ces pauvres gens avaient trouvé refuge. C'était les portes de l'enfer. Alors que je pénétrai à l'intérieur, je vis une petite fille entourant de ses bras le corps d'un homme d'âge mûr, berçant le corps de droite à gauche et gémissant et pleurant sans cesse "mon père, mon père". Il y avait des bébés sans tête, des femmes sans bras. Je n'oublierai jamais ce que j'ai vu. J'ai tout décrit dans le quotidien qui m'emploie." Il raconta ensuite toute l'histoire du massacre de Qana.

Le fait qu'il parlait le 18 avril, exactement un an après l'attaque d'Israël, rendit sa présentation d'autant plus poignante. "Pour nous reporters de l'époque - et pour les Nations Unis - la vérité ou autre de l'explication d'Israël - qu'ils n'avaient jamais eu l'intention d'attaquer la base Onusienne, ni les civils musulmans qu'elle protégeait - reposait sur leur affirmation qu'ils ne pouvaient pas voir où tombaient les obus. Mais les survivants, des soldats de l'ONU comme les réfugiés, ont tous témoigné avoir vu un avion israélien sans pilote capable de prendre des photos de reconnaissance, survoler le camp pendant le massacre. Et si c'était vrai, alors la conclusion était évidente : les Israéliens savaient très bien ce qu'ils faisaient." Après avoir interrogé les réfugiés et les soldats des Nations Unies, Robert Fisk entendit des rumeurs à plusieurs reprises qu'un soldat de l'ONU d'une base proche avait filmé tout à fait par hasard le bombardement de Qana ainsi que l'avion de reconnaissance israélien. Sa recherche du film mystérieux resta sans succès. On lui dit que les personnels de l'ONU avaient reçu les ordres strictes de ne pas parler de son existence à qui que ce soit.

Deux jours après les funérailles communes des victimes du massacre de Qana, la sonnerie du téléphone de Fisk retentit dans son appartement de Beyrouth. Une voix anonyme lui donna une référence sur une carte et ajouta : "13h". L'audience de Fisk restait captivée par son récit émouvant, peut-être l'événement principal de la soirée, et mérite d'être reproduit mot à mot. La référence de carte indiquait un carrefour à l'extérieur de Qana. Je n'ai jamais conduit aussi vite jusqu'au Sud Liban. A 13h, dans mon rétroviseur, je vis une Jeep de l'ONU s'arrêter derrière moi. Un soldat de l'ONU en tenue de combat et portant le béret bleu s'approcha de moi, me serra la main et dit : "J'ai fait une copie de la vidéo avant que les Nations Unies ne la saisissent. On y voit l'avion. J'ai pris une décision personnelle. J'ai deux enfants en bas-âge. Du même âge que ceux que j'ai portés, morts, dans mes bras à Qana. C'est pour eux que je le fais." Et de sa chemise kaki, il sortit une cassette vidéo et la jeta sur le siège passager de ma voiture. C'était, je pense rétrospectivement, l'acte individuel et personnel le plus dramatique que j'ai jamais vu faire un soldat. Les grands pouvoirs peuvent parfois essayer de cacher des choses, mais les petites gens peuvent parfois gagner.

Le film à l'état brut, sans coupures, montrait clairement la base des Nations Unies de Qana sous les bombardements avec l'avion sans pilote au-dessus. Fisk commenta la projection de la vidéo au public, montrant la trajectoire et la direction des obus qui venaient de l'extérieur. Un hélicoptère israélien était également visible au-dessus de Qana au moment de l'attaque, larguant des balises lumineuses pour éviter les missiles à tête chercheuse thermique. Qana était recouverte de fumée tandis que les obus d'artillerie tombaient du ciel. A un moment, les flammes étaient clairement visibles dans la base de l'ONU. Fisk annonça en montrant l'écran, "Ici, c'est la salle de conférence en feu. Il y a environ 50 personnes qui sont en train d'être brûlées vives en ce moment. Cette fumée, continua-t-il, montrant une autre section proche sur l'écran, provient en fait de la crémation de ces gens alors que les murs prennent feu."

Le public restait immobile et silencieux comme des jurés dans un tribunal, tandis que Fisk présentait ses preuves avec la précision méticuleuse et le sang-froid d'un avocat de l'accusation démolissant de façon convaincante l'argument principal des avocats de la défense. Après que la vidéo fut arrêtée, il retourna sur le podium et finit son discours sur les phrases suivantes : "C'est ici, je crois, que le travail du journaliste doit s'arrêter et que les faits historiques doivent prendre la relève.
Pour votre gentillesse ce soir, mesdames et messieurs, et pour votre gentillesse de m'avoir invité à Ottawa pour vous faire cette présentation, je vous remercie beaucoup." Un tonnerre d'applaudissement et une ovation debout s'ensuivit.


Robert Fisk, reporter vétéran du Moyen Orient, présenta une conférence le mois dernier devant un public de 350 personnes, à Ottawa au Canada, intitulée "Menaces, Mensonges et Vidéo : Être correspondent au Moyen-Orient" . Le titre aurait pu aussi bien être : "Honnêteté et Intégrité Morale : Être correspondent au Moyen-Orient". Avec un style oral pénétrant et une diction anglaise parfaite, il parla pendant 1h45, s'appuyant sur son expérience de 30 ans comme journaliste professionnel, dont 21 passés en tant que correspondent au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.

Source : The Palestine Times daté de juin 1997








































Notre moteur de recherche personnalisé ci-dessus vous permet d'accéder, grâce à la technologie avancée de Google, à tout le contenu et aux archives de LibanVision accumulées depuis fin 2000 inclus le sommet de la Francophonie d'Octobre 2002.

LibanVision, c'est d'abord un vrai guide de navigation sur Internet à partir d'un tri exhaustif des acteurs représentatifs de la francophonie au Liban et à l'étranger. LibanVision se définit comme apolitique, oriente vers des liens de toutes tendances de pensée ayant en commun l'usage de la langue française.Nous déclinons ainsi toute responsabilité concernant la nature éventuelle des contenus des liens sélectionnés.





LibanVision, Observatoire de la Francophonie libanaise dans le monde, infos & news, moteur et outil de recherche dédié au Liban et au web libanais francophone.
Site-web d'informations, de ressources et de liens libanais francophones; annuaire, guide et plateforme de navigation sur Internet en français sur le Liban.
LibanVision, the first lebanese francophone dashboard to navigate easily on the web through french speaking websites and blogs, facebook or youtube.
Site optimisé pour Google Chrome - LBVision - OBServatoire de la francophonie libanaise - Liban - Lebanon - Jean-Michel DRUART - 2000-2017-2019-2022-2023