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Le tourisme au Liban:
une mine de découvertes et un pilier de l'économie libanaise


Eté-Automne 2009
Les visiteurs étrangers dépensent de plus en plus au Liban
Les dépenses effectuées par des touristes visitant le Liban ont progressé de 15% pendant les neuf premiers mois de 2009, en comparaison avec la même période de l'année dernière.>> Lire la suite

Hausse de 61% du nombre de touristes à fin Juin
Selon les chiffres du ministère du Tourisme, près de 200 000 visiteurs ont foulé le sol libanais en juin, un nombre en hausse de 40,1 % par rapport au même mois de l'an dernier. Depuis janvier, 761 415 touristes ont ainsi visité le Liban, contre 473 574 à la même période de l'an dernier, un nombre en hausse de 60,8 %. Ces chiffres témoignent d'une forte croissance de l'activité touristique au cours des six premiers mois de l'année, en dépit du contexte de crise mondiale. Selon plusieurs observateurs, le déroulement des dernières législatives dans un climat de détente devrait se répercuter positivement sur le nombre de touristes dans les mois à venir.
Au niveau de la répartition des visiteurs par nationalité au cours des six premiers mois, les Arabes ont raflé la première place, près de 290 000 ressortissants provenant des pays de la région ayant visité le Liban depuis le début de l'année. Ils ont été suivis des touristes européens (185 621) et asiatiques (123 240).
Les autorités espèrent dépasser deux millions de visiteurs cette année.
Si cet objectif est atteint, le Liban aura ainsi enregistré un record historique
sur le plan touristique depuis plus d'un demi-siècle.


Le tourisme culturel, un nouvel humanisme:
compte-rendu des rencontres de L'Orient le Jour à la Maison du Livre lire >>>

Avec plus de 1,3 million de touristes en 2008, le Liban renoue
avec la période faste d’avant-guerre
Le nombre de visiteurs l’année dernière a frôlé le record historique atteint en 1974. Pour le ministre Élie Marouni, cette performance peut être largement améliorée en 2009… si aucun incident ne vient perturber l’accalmie actuelle.
Au moment où des roquettes étaient tirées à partir du Liban sur le nord d’Israël, le ministre du Tourisme, Élie Marouni, tenait hier une conférence de presse pour annoncer l’afflux de plus de 1,3 million de touristes au Liban en 2008 – un niveau jamais atteint depuis 1974, date à laquelle plus de 1,4 million de visiteurs avaient foulé le sol libanais. Ironie du sort ou simple coïncidence ? Une chose est sûre : le Liban, qui a payé un lourd tribut économique à la guerre, a besoin, plus que jamais, de bénéficier d’une stabilité politique, indispensable à son essor sur le plan touristique. C’est en substance le message qu’a voulu livrer le ministre Marouni au début de la conférence, avant d’exposer en détail les résultats de l’activité touristique en 2008 et de dresser le bilan de son action depuis son entrée en fonctions en août dernier.
Au total, 1 332 551 touristes précisément se sont rendus au pays du Cèdre, un nombre en hausse de 31 % par rapport à 2007 et de 4 % par rapport à 2004, considérée comme la meilleure année depuis la fin de la guerre civile.
Sur le seul mois de décembre, le ministère a recensé 137 720 ressortissants étrangers, contre 95 086 en décembre 2007, soit une hausse de 45,9 %. En termes de répartition géographique des visiteurs, les Arabes ont occupé la première place avec 63 340 visiteurs, en hausse de 83 % par rapport au même mois de l’année précédente, tandis que les Européens ont constitué le deuxième plus grand groupe avec 32 294 visiteurs, soit près du quart des touristes en décembre. Quant au taux d’occupation moyen des lits d’hôtels, « il a varié en 2008 entre 40 % et 60 % pour les hôtels situés dans la capitale et entre 30 % et 50 % pour les établissements en dehors de Beyrouth », a indiqué Nada Sardouk, directrice générale du ministère, avant d’ajouter que la saison des fêtes a été particulièrement porteuse à ce niveau, la plupart des hôtels de la capitale ayant affiché complet.
Évoquant les efforts ministériels pour soutenir le développement du secteur, M. Marouni a affirmé qu’une série d’accords touristiques ont été signés au cours des derniers mois, notamment avec le Mexique, l’Égypte et la Chine. « Deux autres accords seront conclus prochainement, l’un avec le Koweït, la semaine prochaine en marge du sommet économique arabe, et l’autre avec le Venezuela, le 23 janvier », a-t-il ajouté.
Parallèlement, le ministère a accordé en 2008 des permis à 433 nouveaux établissements touristiques dont 18 hôtels, a souligné Marouni. Selon lui, ces nouveaux hôtels, restaurants, agences de voyages, sociétés de location de voitures et autres sociétés touristiques contribueront à la création de nouveaux emplois et à accélérer ainsi la croissance économique du pays. Sur un autre plan, Marouni a indiqué que des discussions étaient en cours avec le président de la République et le PDG de la Middle East Airlines (MEA) pour étudier les moyens susceptibles d’augmenter le nombre de vols à destination du Liban et de baisser les prix des billets d’avion afin d’accroître le nombre de visiteurs étrangers.
Perspectives optimistes pour 2009
Interrogé par L’Orient-Le Jour sur ses prévisions pour 2009, le ministre a estimé que « le nombre de touristes pourrait atteindre celui des habitants du Liban, si jamais la stabilité sur les plans politique et sécuritaire se maintenait », ajoutant que le Liban possède tout le potentiel requis pour attirer un plus grand nombre de visiteurs. D’ailleurs, le New York Times a récemment placé Beyrouth en première position parmi les 44 meilleures destinations de 2009 – une recommandation qui devrait produire un effet positif sur le terrain. Pour accompagner cette vague d’optimisme, le ministère du Tourisme se prépare déjà au lancement de plusieurs festivals touristiques, dont le festival du shopping, et le festival international des yachts et des bateaux à vapeur, a indiqué Marouni. En parallèle, des efforts sont déployés pour promouvoir le tourisme électronique, un moyen efficace pour attirer davantage de visiteurs, a-t-il ajouté.
Mais avec un budget annuel de 7,6 millions de dollars, soit 0,07 % du total du budget prévu pour 2009, l’État aura certainement du mal à soutenir un secteur qui contribue pourtant à plus de 10 % du PIB national.

Bachir EL-KHOURY

Décembre 2008
Insider's Guide to Lebanon
Enfin un guide sur le Liban écrit par des natifs du pays, qui évitent attrapes touristes et clichés orientalistes pour ne révéler que ce qui est 100% authentique, ou baladi comme on dit chez nous.
Les auteurs ont sillonné le pays du nord au sud et d’ouest en est pour inclure données historiques, bonnes adresses et un compte rendu honnête des hôtels, restaurants et boutiques.


En Anglais insider signifie initié. Le terme est davantage utilisé dans le secteur financier pour stigmatiser le délit d'initié lorsque vous bénéficiez d'informations privilégiées obtenues de l'intérieur d'une entreprise. En choisissant et en appliquant ce titre à ce nouveau guide, les auteurs veulent donc faire bénéficier le visiteur des meilleurs tuyaux pour découvrir leur Liban authentique, celui qu'ils vivent au quotidien de l'intérieur.
Même si votre anglais n'est pas parfait, cette initiative se révèle fort pertinente et plaira aux français et plus généralement aux francophones qui veulent échapper aux clichés:

>> lire le communiqué de presse de l'éditeur

Progression régulière du taux d’occupation des hôtels de Beyrouth en 2008
Le taux d’occupation en janvier dans les hôtels de Beyrouth était de 43 % en janvier, 32 % en février, 34 % en mars et 44 % en avril. En revanche, il a reculé à 29 % en mai 2008 en raison des hostilités qui ont eu lieu au Liban. Mais le taux d’occupation a de nouveau atteint 61% en juin 2008 au lendemain de l’accord de Doha et de la baisse de la tension politique dans le pays qui ont aidé à renforcer la confiance et le dynamisme dans le secteur du tourisme.
Le taux d’occupation a continué à s’améliorer en juillet s’élevant à 61 % pour évoluer encore plus en août et atteindre 91 %. Août est le mois pendant lequel culmine l’arrivée des touristes au Liban. Le taux d’occupation devait reculer en septembre à 50 % et remonter en octobre à 82 %. En comparant les années 2007 et 2008, les taux d’occupation des hôtels étaient de 21 % en juin, 41 % en juillet, 46 % en août, 37 % en octobre et 41 % en octobre 2007. Il était de 35 % sur toute l’année 2007.
Par ailleurs, les revenus disponibles par chambre étaient de 89 dollars à Beyrouth au cours des dix premiers mois de 2008, en hausse de 49 dollars pour la même période de 2007, classant les hôtels de Beyrouth à la 17e place dans la région. Ces revenus étaient de 59 dollars en janvier, 40 dollars en février, 38 dollars en mars, 59 dollars en avril, 44 dollars en mai, 103 dollars en juin, 202 dollars en août, 70 dollars en septembre et 89 dollars en octobre.
La moyenne du tarif par chambre à Beyrouth est inférieure à la moyenne régionale de 193 dollars, qui a accusé un accroissement de 19,7 %, soit de 161 dollars au cours des dix premiers mois de 2007. Mais la moyenne du tarif par chambre à Beyrouth s’est accrue en octobre 2008 de 8,4 % par rapport à octobre 2007.

Près d’un million de visiteurs sur les 9 premiers mois
Selon les chiffres du ministère du Tourisme, 97 856 touristes ont visité le Liban au mois de septembre, portant ainsi le nombre total de visiteurs depuis le début de l’année à 983 585, en hausse de 28,3 % par rapport à la même période de l’an dernier.
Pour le seul mois de septembre, le nombre de touristes s’est accru de 20,4 % par rapport au même mois de 2007. Quant à la répartition des touristes par provenance, les touristes arabes ont occupé le premier rang avec 35 104 touristes, dont 41 % de Jordaniens, 19 % d’Irakiens et 16 % de Saoudiens. Les Européens, deuxième plus grand groupe, ont été au nombre de 27 404, dont 23 % de Français, 16 % d’Allemands et 10 % de Britanniques. Avec presque un million de touristes sur les neuf premiers mois, le Liban pourrait ainsi dépasser cette année le nombre record de 1,28 million de touristes, enregistré en 2004.


Le Salon mondial arabe du tourisme et du voyage en octobre à Beyrouth
Le ministre du Tourisme, Élie Marouni, a annoncé le retour et l’ouverture du Salon mondial arabe du tourisme et du voyage (AWTTE), du 16 au 19 octobre 2008 à Beyrouth, au BIEL. Ce Salon, organisé par le ministère et le groupe al-Iktissad wal-Aamal, avait été annulé à deux reprises, en 2006 et en 2007, en raison de la situation politique et sécuritaire dans le pays. « Sa tenue prend donc une importance particulière d’autant qu’elle couronne une saison touristique exceptionnelle cette année au Liban, qui s’est traduite par des taux d’occupation des hôtels élevés », a souligné le ministre.

L’affluence des visiteurs, que ce soit des touristes, des expatriés ou des Libanais de la diaspora, témoigne de la compétitivité du tourisme libanais, « une richesse qu’il ne faut gaspiller sous aucun prétexte politique », ainsi que de l’amitié de « nos frères arabes », a poursuivi M. Marouni, affirmant que l’objectif de son mandat à la tête du ministère sera de renforcer la coopération avec le secteur privé. Pour sa part, le directeur d’al-Iktissad wal-Aamal, Raouf Abou Zaki, a indiqué que 12 pays ont déjà confirmé leur participation, et que des négociations sont en cours avec huit autres.

Au total plus d’une centaine d’opérateurs issus de pays arabes, asiatiques et européens seront représentés au Salon.


Deux millions de touristes au Liban en 2020 selon l’OMT
Août 2008- Le secteur du tourisme au Liban a été « instable » ces quatre dernières années, selon le dernier rapport de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT).
Dans cette étude appelée « la vision du tourisme en 2020 », l’OMT affirme qu’un million deux cent mille touristes se sont rendus au Liban au cours des quatre années passées.
L’organisation estime que ce chiffre pourrait grimper jusqu’à deux millions en 2020.
L’industrie du tourisme au Proche-Orient devrait enregistrer une moyenne de croissance de 7,1 % au cours de la période 1995-2020 contre une croissance annuelle de 4,1 % sur un plan international.
Le rapport a néanmoins souligné que le Liban reste loin derrière d’autre pays du Proche-Orient tels que l’Égypte qui devrait attirer le plus grand nombre de touristes
en 2020, soit près de 17 millions de visiteurs.
L’Arabie saoudite sera le pays qui fournira le plus grand nombre de touristes
au niveau régional.
Quant au Liban, les ressortissants arabes continueront de représenter la moitié des visiteurs du pays.
Le rapport a cependant indiqué que le coût de séjour d’un touriste au Liban devient de plus en plus élevé. La plupart des hôtels concentrés à Beyrouth et au Mont-Liban sont classés cinq étoiles et plus.
D’après l’OMT, cette situation pourrait constituer une menace pour la compétitivité du secteur touristique au Liban par rapport au reste des pays de la région.

Le taux d’occupation des hôtels à Beyrouth a été de 38 % en 2007
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Le taux d’occupation des hôtels et appartements meublés
en baisse de 14,4 % en 2007
Février 2008 - Selon les chiffres publiés par le ministère du Tourisme et cités par Lebanon This Week de la Byblos Bank, 441 306 personnes ont passé 984 433 nuitées dans les hôtels et appartements meublés locaux en 2007. Chaque client a donc passé 2,23 nuitées en moyenne l’année dernière, contre 2,46 nuitées en 2006 et 2,49 nuitées en 2005.
Les hôtels et appartements meublés ont été fréquentés par des clients issus de 148 pays, qui ont dépensé quelque 59 millions de dollars en accommodations hôtelières, en 2007, en recul de 14,5 % par rapport à 2006 (69 millions de dollars) et de 13,2 % en comparaison avec 2005 (68 millions de dollars).
Ces chiffres mettent en relief la stagnation de l’industrie hôtelière au cours des trois dernières années, alors qu’en 2004, 560 444 clients ont passé 1,48 million de nuitées dans les hôtels, soit 2,65 nuitées par personne en moyenne, déboursant quelque 89 millions de dollars en frais de logement.
Les ressortissants arabes, citoyens libanais inclus, ont représenté 74,3 % de l’ensemble de la clientèle et 69,1 % de la durée de résidence agrégée, contre 70,3 % du total de la clientèle et 65,5 % du nombre de nuitées en 2006, et 68,8 % et 63,1 % en 2005.
24,6 % de la clientèle du secteur hôtelier (108 691 personnes) est de nationalité libanaise, contre 19,2 % en 2006. Les ressortissants saoudiens ont représenté 10,4 % (46 044 personnes) de l’ensemble de la clientèle, suivis par les Jordaniens avec 8,2 % (36 028 clients), les Irakiens avec 6 % (26 525 clients), les Koweïtiens avec 5,4 % (23 721 clients), les Syriens avec 4,8 % (21 414 clients), les Émiratis avec 4,5 % (19 889 clients), les Égyptiens avec 3,2 % (14 244 clients), les Français avec 3 % (13 356 clients) et les Bahreïnis avec 2,6 % (11 361 clients).


Bilan 2007: les Libanais de l’étranger maintiennent
le secteur touristique en vie
18 Décembre 2007- C’est un triste bilan de l’année écoulée qu’a dressé hier le ministre du Tourisme, Joe Sarkis, avant de quitter ses fonctions. Les principales réalisations du ministère en 2007 tiennent en deux mots : gestion de crise et promotion.
Dans le volet gestion de crise, ont été brièvement évoqués les aides fiscales et les prêts bonifiés accordés aux opérateurs affectés par la guerre de juillet.
Le volet promotion en revanche était plus fourni, concentrant l’essentiel des activités du ministère. Afin d’encourager le tourisme au Liban, le ministère a participé à un certain nombre de foires internationales et signé plusieurs accords de coopération, notamment avec la Chine.
Pas moins de quatre spots publicitaires sur le Liban ont également été diffusés sur les chaînes locales et internationales. Le dernier en date témoigne d’ailleurs du degré d’ambition du tourisme libanais, sans cesse revu à la baisse. Ce spot, filmé à l’aéroport de Beyrouth, met en scène des retrouvailles entre les voyageurs et leurs proches, avec pour slogan : « Il n’y a pas d’endroit plus sûr que les bras de vos bien-aimés» (« There is no safer place than the arms of your loved ones »). L’insécurité et l’instabilité au Liban étant loin de rassurer les touristes, le ministère et avec lui l’ensemble du secteur touristique ont donc décidé de miser sur les Libanais de l’étranger, diaspora et expatriés.
L’enjeu n’est pas des moindres. Selon l’administration centrale des statistiques, sur les 2 140 591 voyageurs entrés au pays du Cèdre l’an dernier, 914 716 étaient libanais, soit plus de 42 % du total des entrants. Et au rythme auquel les jeunes continuent à quitter le pays, cette source de revenus n’est pas prête de se tarir. Si la hausse de l’émigration est considéré comme un indicateur négatif pour l’économie nationale, cela n’est pas pour déplaire à certains secteurs.

770 000 billets d’avion vendus
Les agences de voyages, en particulier, ont vu leur chiffre d’affaires augmenter de plus de 25 % cette année, uniquement grâce aux ventes de billets d’avion. « Les Libanais de l’étranger nous font vivre depuis deux ans, la clientèle arabe étant encore très timide et les Occidentaux quasi inexistants », explique le président du syndicat des agences de voyages, Jean Abboud. Ainsi, près de 770 000 billets d’avion ont été émis jusqu’à fin novembre, contre 650 000 sur l’ensemble de l’année dernière. « Fin octobre, les agences de voyages avaient déjà engrangé environ 365 millions de dollars des ventes de billets, l’équivalent des recettes de toute l’année 2006 », poursuit M. Abboud, soulignant que l’activité de tourisme des tour-opérateurs, en revanche, est presque nulle. « 90 % des agences de voyages, qui reposent sur le “ticketing”, s’en sortent relativement bien, mais les 10 % restantes sont dans une situation très difficile. » D’autant que l’instabilité politique a aussi affecté les voyages organisés à l’extérieur pour les Libanais.

Autre secteur touristique paradoxalement maintenu en vie uniquement grâce aux Libanais : celui de la restauration.

« Globalement, l’année n’a pas été mauvaise, sauf pour les établissements du centre-ville, affirme le président du syndicat de la restauration, Paul Ariss. Aucun restaurant n’a fermé ses portes sauf dans le cœur de la capitale. De nouveaux projets ont même vu le jour à Hamra, à Verdun, à Achrafieh, à Gemmayzé et autres. Les restaurateurs de Batroun, affectés par les évènements de Nahr el-Bared, commencent aussi à retrouver le sourire. »
Outre le développement des établissements libanais à l’étranger sous forme de franchises, « qui a pris une tournure exceptionnelle cette année », la restauration a été soutenue par la demande locale et celle des expatriés, explique Paul Ariss, saluant au passage l’attitude flexible des banques à l’égard des opérateurs en difficulté.
« Le million de Libanais expatriés, surtout dans les pays arabes et en Afrique, qui reviennent environ cinq fois par an, ont permis d’assurer la continuité des affaires », souligne-t-il.

Les hôtels sous perfusion
Un secteur vital pour l’industrie profite cependant moins de cette équation : les hôtels. Même si le pouvoir d’achat des expatriés est généralement élevé, ils sont nombreux à se loger chez des proches ou dans les appartements meublés.
« Globalement, le chiffre d’affaires du secteur hôtelier a baissé de 50 % par rapport à 2006, déplore le président du syndicat, Pierre Achkar. Mais il existe de nombreuses disparités en fonction des régions et du type d’établissement. »
Et si un certain regain a été observé à l’approche des fêtes, il est loin de compenser l’inertie des 11 premiers mois.
« Ces derniers jours, les réservations varient comme un marché boursier, réagissant à la moindre nouvelle politique. Avec l’annonce d’une élection présidentielle imminente, la semaine dernière, les réservations ont fortement augmenté, avant de chuter à nouveau après le report. »
Les espoirs d’une fin d’année satisfaisante existent néanmoins, mais cela ne permettra pas de contrebalancer toute une année gâchée, assure Achkar qui parle d’un secteur en « soins intensifs ».

Le nombre de visiteurs en baisse de 7 % fin octobre, sur un an
« J’aurais souhaité vous parler de réalisations à la hauteur de ce que nous avions planifié et de nos ambitions », a déclaré hier Joe Sarkis. Le plan évoqué par le ministre a été élaboré début 2006, lorsque le Liban s’apprêtait à accueillir environ 1,6 million de touristes au cours de l’année. Quant aux ambitions, elles consistaient à exploiter, dans les quelques années suivantes, la capacité maximale des infrastructures touristiques (nombre de lits, unités d’habitations...) et des services (aéroport, transport, routes, électricité). Cette capacité se situe entre 3 et 3,5 millions de touristes par an, a affirmé Joe Sarkis à L’Orient-Le Jour, estimant que le Liban ne peut pas devenir une destination de tourisme de masse.
La réalité est que le nombre de touristes au Liban n’a pas dépassé le million de visiteurs en 2006, et ne dépassera pas ce seuil cette année non plus, selon le ministre. En effet, sur les dix premiers mois de 2007, le nombre de visiteurs s’est élevé à 855 573, contre 922 202 fin octobre 2006, soit une baisse de 7,2 % sur un an.
Sahar AL-ATTARpour L'Orient-Le Jour

Le nombre de visiteurs en baisse de 8 % en septembre
Sur un an, le bilan des neuf premiers mois encore plus lourd qu'en 2006
L’instabilité politique de cette année a davantage pesé sur le tourisme que la guerre de l’été 2006. En effet, le bilan des mois écoulés est encore plus catastrophique que celui de l’année dernière.
Sur les premiers mois de 2007, le nombre de touristes au Liban a reculé de 8 % par rapport à la même période de l’année dernière, selon les chiffres du ministère du Tourisme, cités par le Lebanon Weekly Monitor de la Bank Audi. Entre janvier et septembre, seuls 766 680 touristes ont foulé le sol libanais, contre 833 385 un an plus tôt. Alors que l’activité touristique avait été quasi nulle en juillet, août et septembre 2006, cette comparaison illustre bien l’impact dévastateur de la crise politique sur le secteur.
Le dynamisme, relatif, de l’activité touristique durant les mois de juillet et août 2007 s’est rapidement essoufflé avec la fin de la saison estivale et l’approche des élections présidentielles. En septembre, le nombre de touristes a chuté de 44,5 % par rapport au mois précédent, pour s’établir à 81 270 personnes. En comparaison annuelle, le nombre de visiteurs a augmenté de 20,2 % par rapport à septembre 2006, mais à cette époque le pays sortait à peine de la guerre. Par rapport à septembre 2005, en revanche, le nombre de touristes a chuté de 31,1 %.
Sur une base cumulative, la reprise de juillet et août derniers n’a pas pu compenser 6 mois d’inertie.
Les chiffres du tourisme ont globalement suivi les fluctuations du climat politico-sécuritaire. Avec le sit-in de l’opposition dans le centre-ville, l’année a très mal commencé, puis la situation s’est légèrement améliorée en mars et avril, avant de replonger en mai et juin, avec les événements de Nahr el-Bared et l’assassinat de Walid Eido. La brève accalmie estivale a ensuite laissé la place aux tiraillements présidentiels, faisant fuir les quelques touristes restants.
Sur les neuf premiers mois, les Arabes ont une nouvelle fois été les touristes les plus courageux, représentant 35,3 % du total des visiteurs, suivis par les Européens (26,3 %), les Asiatiques (19,1 %) et les Américains (12 %).
Par pays, les Jordaniens ont été les plus fidèles cette année, représentant 11,8 % du total. Quelque 72 290 Irakiens (qui ont connu pire que le Liban en termes d’instabilité) ont également fait le voyage (9,5 % du total), ainsi que 55 474 Français et 51 921 Iraniens. Les Saoudiens ont été plus frileux cette année, n’arrivant qu’en cinquième position, suivis par les Américains, les Koweïtiens, les Canadiens, les Allemands et les Anglais


Les opérateurs vivotent et tentent de faire de la résistance
La saison estivale gâchée avant même de commencer ;
le secteur touristique en berne

Depuis le début de l’année 2007, le secteur touristique attend impatiemment l’été pour compenser les pertes subies en juillet dernier. Malheureusement, la saison s’annonce mal, et les touristes tant attendus ne seront sans doute pas au rendez-vous. « Les demandes de touristes étrangers sont presque nulles. Non seulement il n’y a quasiment pas de visiteurs à l’heure actuelle, mais en plus il n’y a pratiquement pas de réservations vers le Liban pour les mois à venir. Même les résidents ne cessent de retarder leurs voyages à l’étranger », affirme Élie Nakhal, responsable de l’agence de voyage du même nom. « Les Libanais de l’extérieur sont aussi hésitants à rentrer cette année, sans parler du tourisme interne totalement en berne, renchérit Nadine Kurban, de Kurban Travel et Avis. C’est presque pire qu’en basse saison, que ce soit au niveau des réservations de vols ou de voitures. »
En effet, les réservations de la MEA ont baissé entre 25 et 30 % par rapport à l’année dernière, et les vols arrivent à peine remplis, selon une source bien informée. Cette dernière affirme également qu’un certain nombre de vols supplémentaires prévus en haute saison ont été annulés. Par exemple, sur les trois vols additionnels hebdomadaires prévus vers Djeddah, seuls deux ont été maintenus. À destination de Dubaï, un vol par semaine sur les trois prévus en été assurera les liaisons cette année.
Par conséquent, les hôtels sont pratiquement déserts, malgré des offres de plus en plus alléchantes. Leur situation est d’autant plus dramatique qu’ils sont totalement tributaires de la clientèle étrangère, les expatriés ayant le plus souvent des lieux de résidence dans leur pays natal. Un des grands hôtels de la capitale affiche actuellement un taux d’occupation de près de 15 %, et un taux de réservation pour le mois de juillet de 8 %, malgré des propositions de package intéressantes. Même son de cloche dans les hôtels des régions « habituellement » touristiques.
Le secteur de la restauration subit quant à lui un double coup dur. D’abord, les Libanais résidents eux-mêmes boudent les lieux publics par crainte des attentats. Et les touristes se font toujours attendre. « En moyenne, le taux d’activité dans les restaurants et les cafés est de 10 %, contre 100 % en juin 2006 », indique Paul Ariss, président du syndicat des restaurants, cafés et pâtisseries. « Dans les régions estivales, à la montagne, dans la Békaa, au Sud ou au Nord, l’activité est quasi nulle, poursuit-il. Seule Beyrouth tire son épingle du jeu avec un taux d’activité de près de 30 %. » Et encore. Au centre-ville, près de 30 établissements ont déjà fermé leurs portes, et M. Ariss s’attend à une vingtaine d’autres faillites d’ici à un ou deux mois, si la situation perdure. Déjà entre 2005 et 2006, le chiffre d’affaires du secteur, qui compte près de 5 000 établissements et qui emploie environ 50 000 personnes à plus de 95 % libanaises, avait baissé de plus de 50 %.
Stratégies de survie
En attendant un sursaut plutôt improbable, comment survit le secteur ? Fidèles à leur réputation, les Libanais essayent de garder leur optimisme, et font de la résistance. L’agence de voyage Nakhal, par exemple, a créé un portail d’activités sur Internet qui permet d’offrir des services de voyages à des clients à l’étranger. « Nous avons créé une société on-line, pour devenir moins dépendants du marché libanais » explique M. Nakhal. À Kurban Travel, des réductions d’effectifs ont été décidées, soutenues par de nombreux départs volontaires : « Chaque mois, nous voyons partir des salariés vers le Golfe, et nous ne sommes pas en mesure de les retenir. »
Dans la restauration, les congés non payés sont également devenus légion. Mais certains avaient planifié des stratégies en amont. « Dans le contrat de location, nous avions prévu une clause selon laquelle si une crise intervient, nous pouvons reporter le paiement du loyer », indique Walid Baroudi, propriétaire d’un restaurant à Gemmayzé. « En général, ce qui permet aux établissements de la région de tenir est leur petite taille. Il s’agit le plus souvent de petits investissements et d’une stratégie misant sur la qualité. Cela a permis à Gemmayzé de se créer une clientèle locale, fidèle et régulière. » Aussi, lorsque cette rue a été désertée par crainte des attentats, M. Baroudi a développé les services de ventes à emporter. Un certain nombre d’établissements au centre-ville ont également ouvert des branches dans d’autres régions, leur permettant de rester ouverts au centre-ville, du moins à midi.
Le cas des hôteliers, en revanche, est certainement le plus problématique. En général, un hôtel au Liban doit afficher un taux d’occupation moyen supérieur à 35 % pour rentrer dans ses frais, ses coûts fixes étant très élevés. Là encore, les réductions d’effectifs et les congés non payés sont monnaie courante, mais leur survie dépend surtout du soutien de leur banquier.
Globalement, les opérateurs du secteur vivotent, mais aucun d’entre eux n’arrive à se projeter dans un avenir lointain. À la question de savoir combien ils pourraient tenir, les plus optimistes répondent 6 à 7 mois. Les plus pessimistes, en revanche, ne croient plus en un avenir touristique pour le pays des Cèdres. « Entre le sit-in au centre-ville, les attentats et Nahr el-Bared, le Liban n’est plus un pays touristique, c’est un pays de guerre », conclut M. Nakhal.
Sahar AL-ATTAR
Activité touristique: la décrue continue
Le nombre de visiteurs en baisse de 26,75 % fin mars, sur un an
Selon les chiffres officiels publiés hier, 80 207 touristes ont visité le Liban durant le mois de mars 2007. Parmi eux, comme toujours, les ressortissants arabes ont occupé la première place avec 28 909 visiteurs en mars, dont 32 % de Jordaniens,
17 % d’Irakiens et 16 % de Saoudiens.
Quelque 20 744 Européens ont également fait le déplacement, parmi lesquels 22 % de Français, 15 % d’Allemands et 11 % de Britanniques. Enfin, le nombre de touristes asiatiques s’est élevé à 16 778 et celui des américains à 7 374.
Par rapport à mars 2006, l’activité touristique a chuté de 10,73 %. Sur les trois premiers mois de l’année, la comparaison n’est pas plus encourageante.
Quelque 180 523 visiteurs ont été enregistrés au premier trimestre de l’année, contre 246 459 touristes sur la même période de 2006, soit une baisse annuelle de 26,75 %. Fin mars, les Arabes représentaient 38 % des touristes et les Européens 28 %.


Location de voiture en France

Courte ou longue durée



Si la saison des fêtes est avortée, les licenciements seront incontournables
Les hôtels et les restaurants au bord de l’agonie.

Beyrouth, 29 Novembre 2006- Après avoir raté la saison estivale qui s’annonçait la meilleure depuis 1975, le tourisme peine à reprendre son souffle.
Le marasme ambiant dû à l’instabilité politique et sécuritaire menace désormais la saison des fêtes, « la bouffée d’oxygène » de l’année.
Impuissants, les professionnels assistent ainsi à l’effondrement de leurs activités. L’appel au sauvetage qui a été lancé maintes fois à l’adresse du gouvernement ne semble pas avoir eu un quelconque écho.
Face à cette passivité, les organismes économiques avaient décrété une grève la semaine dernière en guise d’avertissement. Mais si ce mouvement n’a été que partiellement suivi, c’est essentiellement pour des raisons de « timing », explique Paul Ariss, président du syndicat des restaurateurs. « Le moment choisi était mauvais, c’est la fin du mois et des salaires doivent être payés. Mais sur le fond, le message est clair: la situation est désastreuse », a-t-il affirmé.

Des hôtels vides
Première victime du vide touristique : les hôtels. Poursuivi par la malédiction, le secteur hôtelier a vu ses espoirs de récupération des pertes de juillet s’évanouir avec l’aggravation du climat politique. Ces craintes ont ensuite été confirmées par des annulations de réservations en série, depuis l’assassinat de Pierre Gemayel, autant pour les nuitées que pour les événements (mariages, congrès, etc.).
Le taux d’occupation actuel dans les hôtels de la capitale se situe entre 20 et 30 %, un taux qui est loin d’être acceptable selon Nizar Alouf, directeur de l’hôtel Riviera.
Le taux d’occupation enregistré n’est pas toujours de nature touristique. Au Bristol, par exemple, la quasi-totalité des clients sont des membres du Croissant-Rouge saoudien qui effectuent une opération ponctuelle de bénévolat, a indiqué Nazira el-Atrach, une responsable de l’hôtel.
Les attentes du secteur étaient donc tournées vers les périodes des fêtes. « On s’attendait à une occupation complète pendant 15 à 20 jours, pour Noël, le Nouvel An et Adha », a expliqué le président du syndicat, Pierre Achkar, qui ne cache plus son pessimisme. Solennellement, il parle de « décès de la destination “Liban” pour le tourisme ».
« Les réservations pour les fêtes se font à l’avance. Même si la situation s’améliore, il restera très peu de temps au secteur pour récupérer ses pertes », a-t-il ajouté.
Pour les hôtels, cette nouvelle crise risque donc d’être le coup fatal. Mais ces conséquences ne se feront sentir qu’après les fêtes.
« Les trois premiers mois de l’année sont traditionnellement une période morte, censée être compensée par celle des fêtes », a expliqué M. Alouf. « Si ce n’est pas le cas, le mois de janvier sera celui des décisions de licenciements et de fermetures »,
a renchéri M. Achkar.
Car, outre les frais de fonctionnement difficilement récupérables, de nombreux hôtels avaient entrepris des investissements et des travaux de renouvellement en prévision d’une année touristique prometteuse.
Parallèlement, l’ouverture de nouveaux hôtels semble de plus en plus incertaine.
L’hôtel Hyatt, dans l’expectative, a ainsi ordonné l’arrêt des travaux de construction. D’autres trop engagés dans les travaux n’ont d’autre choix que de continuer.
« Les hôtels Hilton et Four Seasons, qui étaient censés ouvrir bientôt, poursuivent les travaux de construction, mais évidemment pas à une vitesse de croisière. Finalement, rien ne garantit l’ouverture de ces hôtels à la finalisation de la construction »,
a commenté M. Alouf.

5 500 restaurants menacés
Les restaurants semblent voués au même destin, même si certaines zones de la capitale enregistrent une activité relativement stable, comme à Gemmayzé.
En revanche, le centre-ville, qui subit depuis plus d’un an les séquelles de l’instabilité politique, vit un calvaire ininterrompu.
Paul Ariss explique qu’aucune exemption ou allègement de loyers n’a été effectué, sauf de légères baisses de certaines charges imposées par Solidere. Il a souligné qu’aucune fermeture n’a encore été enregistrée, mais, là aussi, le mois de janvier risque de sonner le glas.
« Les appels lancés au gouvernement pour un soutien du secteur sont vains. Le dossier proposant les demandes d’allègements fiscaux et le report du paiement d’impôts demeure dans les tiroirs du gouvernement », s’est insurgé M. Ariss qui estime que le gouvernement n’a aucun sens des priorités.
Les 5 500 restaurants et cafés recensés dans le pays, qui emploient environ 55 000 salariés dont plus de 80 % sont des jeunes, ont déjà lourdement payé le prix de la guerre de juillet. Avant cette nouvelle crise politique, le syndicat avait prévu une baisse du chiffre d’affaires du secteur de l’ordre de 50 % pour 2006 et une baisse de quelque 615 millions de dollars, sans parler du manque à gagner évalué à près de 74 millions de dollars. Aujourd’hui, si les mauvais présages se confirment pour les fêtes, ces chiffres seront malheureusement revus à la hausse.
Le tourisme, secteur-clé de l’économie libanaise et source de revenu de centaines de milliers de citoyens, est incontestablement au bord de l’agonie. De crise politique en crise politique, la confiance des touristes sera difficile à rétablir. Jusque-là, les professionnels du secteur avaient appliqué une série de politiques de gestion des crises pour éviter la voie des licenciements. Mais dans un environnement de plus en plus défavorable, ils n’auront bientôt plus les moyens de ces politiques.

Article de Magali GHOSN

Centrale de réservation d'hôtel pour les voyageurs entre
la France & le Liban

Le tourisme et les voyages généreraient une activité économique de 4,4 milliards de dollars en 2006
Le Conseil mondial du tourisme et du voyage (WTTC) a publié son rapport pour 2006. Selon le document, cité par le Lebanon Weekly Monitor, l’industrie du tourisme et du voyage devrait générer au Liban au cours de l’année en cours près de 4,4 milliards de dollars en termes d’activités économiques, atteignant même 8,7 milliards de dollars en 2016.
En outre, l’industrie du tourisme et du voyage dans la région du Proche-Orient qui englobe Bahreïn, l’Iran, le Koweït, Israël, la Jordanie, le Liban, Oman, le Qatar, l’Arabie saoudite, la Syrie et les Émirats arabes unis devrait générer une activité économique de près de 279 milliards en 2016.

Le rapport s’attend à ce que l’industrie du tourisme et du voyage au Liban enregistre une croissance de 6,2 % en 2006 et de 4,4 % en termes réels et en rythme annuel, entre 2007 et 2016. Globalement, l’activité économique de cette in dustrie devrait croître en rythme annuel de 4,2 % en termes réels au cours des prochaines dix années alors que sur un plan régional, cette activité économique enregistrerait une croissance de 4,4 % entre 2007 et 2016. Le même rapport souligne qu’au Liban, la part de l’industrie du tourisme dans le PIB passerait de 10,9 % en 2006 à 14,4 % en 2016. Par comparaison, cette industrie contribuerait à 10,3 % du PIB mondial en 2006 alors que pour la région du Proche-Orient, cette industrie contribuerait à 9,6 % du PIB.
L’industrie du tourisme et du voyage au Liban devrait par ailleurs générer 175 000 emplois en 2006 ou représenter 10,6 % du total des emplois dans le pays. Autrement dit, un emploi sur 9,5 se rapporterait à cette industrie. En 2016, cette industrie devrait générer au Liban 276 000 emplois, ou représenter 14,2 % du total des emplois dans le pays, c’est-à-dire qu’un emploi sur 7,1 serait attribué à cette industrie.
La part de l’industrie mondiale du tourisme et du voyage représente d’autre part 8,7 % de l’emploi global alors que les emplois se rapportant à cette industrie sont dans le monde de 234,3 millions et devraient s’élever à 279,3 millions d’emplois en 2016.
Selon le rapport du WTTC, les capitaux investis dans le tourisme et le voyage au Liban sont estimés à près de 455,1 millions de dollars, soit 12,1 % du total des investissements en 2006.
Les capitaux investis dans le tourisme et le voyage représenteraient 714,8 millions de dollars, soit 11,8 % du total des investissements en 2016.

2006 Destination Liban!
Plus de 1,6 million de visiteurs attendus pour 2006 !
Le Liban a enregistré, sur les cinq premiers mois de l’année, une hausse de 23 % du nombre des touristes, par rapport à la saison remarquable de 2004, et de 53 % par rapport à 2005.
Ces indicateurs positifs ont été annoncés par le ministre du Tourisme, Joe Sarkis, lors du lancement, à Bhamdoun, de la saison estivale de 2006. Le ministre a affiché un optimisme certain pour cette saison et a espéré un flux d’environ 1,6 million de visiteurs d’ici à la fin de l’année.
Le ministère prépare une large campagne médiatique, locale et internationale, pour promouvoir le tourisme et attirer les investissements dans ce secteur, a souligné le ministre M. Sarkis.

Signature d’un programme de coopération triennal
entre le Liban et l’Égypte
Le ministre du Tourisme, Joe Sarkis, a signé le 22 Juin 2006 avec son homologue égyptien un programme de coopération triennal. Cette signature s’est inscrite dans le cadre de la réunion des ministres arabes du Tourisme, au Caire. Ce programme permettra aux deux pays de profiter des informations et des expériences mutuelles dans le domaine du tourisme et de coopérer dans les formations au niveau des législations et des programmes touristiques.
« Le tourisme est désormais une industrie à part entière et un moteur pour les économies dans le monde, d’où la responsabilité croissante des preneurs de décisions dans ce secteur », a souligné M. Sarkis.
Le ministre a encore une fois rappelé la série d’indicateurs positifs récents.
« Près de 460 000 touristes se sont rendus au Liban les cinq premiers mois de l’année, soit une hausse de 23 % par rapport à la même période de 2004 et 53 % par rapport à celle de 2005. »
M. Sarkis a par ailleurs rencontré le vice-président de l’Organisation mondiale du tourisme, Taleb Rifaï, pour discuter des préparatifs de la réunion du comité pour le Moyen-Orient au sein l’organisation qui aura lieu à Beyrouth fin octobre.


BEYROUTH, 9 décembre 2005 (Source:XINHUANET)

La Chine et le Liban ont signé à Beyrouth un accord dans le but de promouvoir leur coopération dans le tourisme.

L'accord a été signé par l'ambassadeur chinois au Liban, Liu Xianghua et le ministre libanais du Tourisme, Joseph Sarkis.
Selon ce document, les deux pays vont promouvoir les communications entre leurs compagnies et organisations touristiques et encourager les investissements mutuels dans le secteur du tourisme.
Le document stipule que les deux pays forment le personnel spécialisé pour l'industrie du tourisme, intensifient l'échange des compétences professionnelles dans le secteur et encouragent les instituts de recherche touristique à prendre davantage de contacts et d'activités conjointes.
Les deux pays sont exhortés à fournir mutuellement l'assistance dans la création des bureaux du tourisme dans leurs territoires.
Les deux parties ont également convenu d'établir un comité conjoint pour coordonner leurs efforts de coopération.
Le Liban est riche en ressources touristiques. Selon les statistiques officielles, le Liban a reçu quelque 1,3 million de touristes étrangers en 2004.

Léger recul du nombre de touristes au Liban
Le nombre de touristes au Liban a reculé en octobre, par rapport à la même période de l’année dernière, passant de 64 194 visiteurs en octobre 2004 à 61 093 le mois dernier,
selon les derniers chiffres du ministère du Tourisme.
Les Européens ont été les plus nombreux à fouler le sol libanais en octobre, devant les Arabes et les Asiatiques.
Une tendance qui reste marginale puisque, sur les dix premiers mois de l’année, les Européens arrivent en deuxième position, loin derrière les Arabes. Depuis janvier, ces derniers ont représenté 40 % des touristes au Liban, contre 28 % pour les Européens.


Tourisme: le RDCL remet au ministre un document de travail
et de réflexion en cinq points

Beyrouth, 31 octobre 2005- Une délégation du Rassemblement des dirigeants et chefs d’entreprise libanais (RDCL) conduite par Armand Pharès a rencontré le ministre du Tourisme, M. Joe Sarkis, et lui a remis un document de travail sur le thème
« Pour un tourisme au Liban tout au long de l’année ».
Le document de travail est axé sur cinq points principaux : simplifier la procédure d’obtention de visas et baisser les taxes d’aéroport ; dynamiser la participation officielle du Liban aux salons internationaux spécialisés en tourisme ; dynamiser le contrôle des établissements touristiques à travers une police touristique plus efficace et un département de la protection du consommateur plus actif ; réorganiser et restructurer le Conseil national du tourisme qui semble incapable en ce moment d’accomplir la mission qui lui est impartie ; doubler le nombre des guides touristiques et multiplier la distribution des brochures touristiques aux établissements hôteliers et de restauration.


Tourisme - Baisse de 16 % sur les huit premiers mois de 2005
et forte diminution des vacanciers arabes
Le Liban a accueilli 778 793 touristes sur les huit premiers mois de cette année, contre 943 846 lors de la période correspondante de l’année dernière, ce qui représente un recul de 15,9 % en rythme annuel, selon les chiffres du ministère du Tourisme. Pour le seul mois d’août, le Liban a accueilli 182 912 touristes, contre 212 113 le même mois de l’année 2004, ce qui représente une baisse de 13,8 %.
La mauvaise performance du mois généralement le plus fréquenté de l’année est surtout due à une diminution du nombre de touristes arabes, puisqu’ils étaient 102 855 à venir au Liban le mois dernier, soit 21 % de moins qu’en août 2004.
En revanche les touristes européens sont restés relativement fidèles à la destination : leur nombre a diminué de 4,7 % en rythme annuel.
Les touristes originaires des pays arabes restent malgré tout les plus nombreux, avec une part de 56,2 % du total. En août, ils étaient 36 571 Saoudiens (36 % des touristes arabes), 24 569 Jordaniens (24 %), et 17 963 Koweïtiens (17 %). Les Européens arrivent en deuxième position, avec une part de 19,2 % du total, soit 35 178 visiteurs. Les Français représentent 28 % des touristes européens (9 664), suivis des Allemands (6 585) et des Britanniques (3 667). Les touristes asiatiques sont au nombre de 22 143. Quant aux visiteurs libanais, ils ont été 249 844 à revenir au pays en août.
Le bilan de la saison est moins bon qu’en 2004, mais le secteur limite les dégâts: le taux d’occupation des hôtels a été de plus de 60 % pour l'été 2005.
La multiplication des attentats survenus ces derniers mois dans diverses régions du pays n’a pas manqué d’affecter le secteur du tourisme. Les hôtels, surtout ceux qui étaient à proximité des lieux des attentats, en ont gravement subi les conséquences. Mais la saison hôtelière a pu être sauvée grâce à l’effort de certains professionnels et surtout des touristes qui, en dépit des difficultés, ont choisi le Liban comme destination pour leurs vacances.
Loin des 100 % de taux d’occupation affichés en août 2004, les hôtels subissent de plein fouet cette année les conséquences des attentats qui secouent le Liban depuis plusieurs mois. « Il est inutile de comparer la saison 2005 avec la précédente, ceci ne ferait que noircir le tableau », déclare Pierre Achkar, président du syndicat des hôteliers. Malgré un commentaire relativement négatif, M. Achkar estime à 60 % environ le taux d’occupation moyen en juillet et à 75 % en août. Les tout premiers jours d’août ont même affiché un taux d’occupation exceptionnel de près de 100 %, dit-il. Les chiffres avancés par plusieurs hôteliers confirment cette estimation, même s’ils révèlent de fortes disparités entre Beyrouth et le reste du pays.


Forte progression de la destination Liban
en 2004: + 23%

94000 touristes français
sur un total de près de 1.300.000 touristes
Le Tourisme, atout n° 1 du Liban
2004: une année record pour le tourisme libanais dans le sillage du trafic
de l'Aéroport International de Beyrouth


L'aéroport de Beyrouth a connu une forte hausse de son activité au premier trimestre 2004, avec un trafic passagers de 665.449 voyageurs, en augmentation de 20,74% par rapport à la même période l'an dernier, selon des chiffres officiels. Sur ce total, le nombre des arrivées a atteint 305.755 passagers (+21,2%), des départs 325.658 (+18,5%) et de ceux qui sont en transit 34.036 (+41,61%). Le trafic aérien était également en augmentation de 12,55% sur la même période de 2003. Récemment rénové, l'aéroport de Beyrouth a une capacité d'accueil de quelque cinq millions de passagers. En dépit des conflits qui secouent le Moyen-Orient, le Liban a franchi la barre d'un million de touristes en 2003, pour la première fois depuis trente ans. Les Arabes (à l'exception des Syriens) constituent 43% des visiteurs du pays du Cèdre, suivis par les Européens (26,3%).
La hausse de l'euro et les difficultés que rencontrent de plus en plus les ressortissants arabes à obtenir des visas pour les Etats-Unis et l'Europe expliquent l'engouement pour le Liban. Pour encourager les touristes occidentaux à venir plus nombreux, le ministère libanais du Tourisme vient de lancer un nouveau site internet (www.destinationlebanon.com). Soucieux de modifier son image, le Liban est l'objet depuis un an d'une campagne promotionnelle, y compris dans les médias américains. A la demande du gouvernement libanais, la chaîne satellitaire américaine CNN International a commencé au printemps 2003 une campagne publicitaire sur douze mois pour promouvoir le
tourisme.

En couverture du Géo spécial Liban de Février 2004:
vue du port d'El-Mina près de Tripoli


A découvrir: LibanPassion.com


Le Liban vu en photos, passionément, par Serge Abbé


NOUVELLE PRESENTATION du LIBAN sur le WEB
(AUTOMNE 2005)

Blanc-bleu : le pétrole du Liban...
Aller dévaler les pistes de Faraya le matin (photo Marwan Assaf) puis descendre piquer une tête, moins d’une heure plus tard, dans la grande bleue, à Aïn el-Mreissé ( photo Ibrahim Tawil) ou n’importe où sur le littoral libanais : voilà le seul, le vrai pétrole du Liban. Nous n’avons peut-être pas les pistes de Gstaad ni les plages de Bora Bora, mais en dotant les ministères du Tourisme et de l’Environnement d’un budget à la hauteur de leurs besoins et d’une réelle mission, en mettant à leur tête des commis de l’État totalement apolitisés, le pays pourrait faire douze mois sur douze le plein de touristes étrangers. Retrouver sa véritable vocation de Suisse moyen-orientale. Payer la moitié de sa dette publique. Faire un magnifique pied de nez à Israël et aux autres. Qu’on se le dise et, surtout, que les dirigeants libanais s’y emploient.

L'Orient Le Jour du 1er Mars 2004



A une quarantaine de kilomètres au nord de Beyrouth, Byblos est une des plus anciennes villes du monde (entre 7000 et 9000 ans de présence humaine sur le même site). Aujourd'hui, elle est une petite ville qui vit essentiellement du tourisme, comme en témoignent les souks rénovés et les boutiques.... La suite?
Byblos

Ce n'est vouloir vexer aucun autre site du pays mais elle est souvent le chouchou de nombreux touristes européens en visite au Liban.
Qu'on l'appelle Byblos ou Jbeil, son charme et sa quiétude sont irrésistibles.
---
Visite guidée et
Reportage grâce à l'Hebdo Magazine

Beyrouth-Paris via Larnaca
Promotion jusqu'au 15 Décembre


Départs quotidiens 7h15 am, Connections faciles
Cyprus Aiways au Liban,
Imm.Starco, Beyrouth CentreVille
Tel: 01 37 11 36

...Quelques sites visités par LibanVision...

Notre rubrique
" Spéciale Parcs et Réserves Naturels du Liban ":
l'exemple de Yammouné, joyau de la nature libanaise.

Le Tourisme au Liban est très sensible à l'environnement régional
Illustration sur l'année 2003...

Le Liban a franchi la barre du million de touristes fin 2003 pour la première fois depuis 20 ans!

Le Liban a franchi la barre du million de touristes fin 2003, une première depuis environ 20 ans, selon les statistiques du ministère du Tourisme. Plus de 1 015 950 visiteurs ont été enregistrés en 2003 contre 956 464 en 2002, soit une hausse de 6,2 %. Ce taux reste toutefois loin de celui enregistré en 2002, qui a connu une hausse de 14 % du nombre de touristes. Selon les chiffres du ministère, les seules années où le nombre de visiteurs a dépassé la barre du million ont été en 1972 (1 028 798 de touristes) et en 1974 (1 423 950 de touristes). Ce bon résultat a été cependant assombri par les mois de mars, d’avril et de mai, sévèrement touchés par la guerre en Irak. L’arrivée des touristes a chuté respectivement de 32 %, 23 % et 5 % par rapport à 2002. Par contre, les mois de juin, juillet, août, septembre et novembre ont enregistré une hausse de 4 %, 8 %, 23 %, 18 % et 27 % respectivement par rapport à l’année précédente. L’afflux des touristes a atteint son maximum en août avec 191 000 visiteurs. Le chiffre record de touristes enregistré l’année dernière malgré le contexte régional est dû notamment à l’afflux des touristes de la région, qui, depuis le 11 septembre, se détournent progressivement des destinations européennes et américaines. Les visiteurs arabes viennent en tête du classement des touristes par nationalités : 43 % du total des visiteurs fin 2003 (à 438 000), suivis de l’Europe (26,2 %), de l’Asie (13 %), des deux Amériques (11,8 %), de l’Océanie (3,2 %) et de l’Afrique (2,2 %).
En octobre 2003, Newsweek avait souligné que Beyrouth se trouvait parmi les 12 capitales de la mode, aux côtés de Paris et de Los Angeles. Selon un autre numéro de la revue, la capitale libanaise est, à l’instar de Tokyo et de Rio de Janeiro, le meilleur endroit pour passer le réveillon du Nouvel An.
Les ministères du Tourisme et de l’Économie comptent sur une bonne activité touristique en 2004, grâce notamment à une plus grande participation aux foires et aux salons internationaux de tourisme et à une campagne publicitaire d’un million de dollars sur CNN, qui sera lancée à la fin du mois de janvier.


Saison Hiver 2004:
ça continue en Mars grâce à un enneigement exceptionnel.



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Insolite...

Baalbeck sous la neige pendant l'Hiver 2003 (photo Ramez Ismail)


Printemps 2003: la corniche de Beyrouth se refait une beauté


L'Ecotourisme au Liban

un axe en plein essor


Promotion, collaboration intersectorielle et statistiques pour un tourisme culturel plus riche:
les recommandations d’un colloque à l’Usek

Beyrouth-Mars 2004; Au terme d’un colloque de deux jours sur le tourisme culturel, la faculté des beaux-arts de l’Université Saint-Esprit de Kaslik (Usek) a publié les principales recommandations hier. Le communiqué de l’Usek précise que l’établissement compte « développer (ces points) à l’avenir avec ses partenaires, dans l’objectif de soutenir le développement du tourisme culturel au moyen d’une approche universitaire et multidisciplinaire ». Il est précisé notamment que « la plupart des intervenants ont déploré le peu d’investissement des pouvoirs publics dans la promotion du tourisme en général et du tourisme culturel en particulier ». Voilà pourquoi une des recommandations les plus importantes a porté sur la nécessité d’une implication plus significative des institutions publiques dans ce domaine, afin qu’elles puissent mettre en place un cadre propice aux investissements dans le secteur. « C’est ainsi que pourrait naître une vision globale du tourisme au Liban, et qu’il deviendrait possible d’implanter une gestion intégrée des pôles d’attraction touristiques au Liban, les plus rentables compensant les déficits de sites à grande valeur patrimoniale, mais moins attirants pour les touristes », poursuit le communiqué. Les recommandations ont porté principalement sur trois thèmes.
En ce qui concerne le domaine de la recherche, les participants au colloque ont estimé que plusieurs types d’études étaient nécessaires pour promouvoir une conservation du patrimoine qui n’entraverait pas l’investissement dans les structures touristiques. Il serait utile, à titre d’exemple, d’évaluer la contribution des sites historiques à l’économie locale et nationale, afin de s’armer d’arguments solides pour leur promotion. Les intervenants ont déploré l’absence de statistiques fiables et ont recommandé d’effectuer un certain nombre d’enquêtes d’opinion sur les sites tels que Byblos ou Baalbeck, ce qui permettrait de définir les comportements types des visiteurs, mais aussi de se faire une idée sur la capacité d’absorption de ces lieux. L’Usek a annoncé qu’elle serait prête à mener de telles recherches statistiques.
Les recommandations ont également porté sur la communication et la promotion touristique. Les spécialistes ont estimé qu’« il n’existe que peu, ou pas, de publications fiables sur le Liban » et qu’« il est important d’avoir des publications sur les sites significatifs comme Tyr, à titre d’exemple, qui n’a jamais fait l’objet d’une étude à sa hauteur ». L’une des recommandations a porté sur la promotion orientée vers la préservation virtuelle des sites archéologiques, à l’image du programme « Strabon » développé par l’Usek et portant sur le site de Faqra.
Toutefois, il ne faudrait pas, selon les conférenciers, se limiter aux sites très connus, mais valoriser d’autres plus discrets, en les faisant connaître tant aux touristes étrangers qu’aux Libanais eux-mêmes. Parmi les méthodes suggérées figurent les chantiers de jeunes et des campagnes de sensibilisation dans le cadre des établissements scolaires et universitaires.
L’Usek, quant à elle, projette de nouer des partenariats avec des municipalités, afin de restaurer et de promouvoir le patrimoine libanais.
Enfin, les intervenants ont plaidé pour une collaboration intersectorielle dans l’objectif de la promotion du tourisme culturel. Ils ont évoqué la mise en place de structures d’accueil, telles que des syndicats d’initiative ou des chambres d’hôtes, au niveau des communes ou à plus grande échelle, ce qui impliquerait une meilleure coordination entre les secteurs privé et public, notamment avec les ministères du Tourisme, de l’Environnement et de la Culture (au niveau de la Direction générale des antiquités).
En conclusion, les participants au colloque ont recommandé d’entreprendre une démarche stratégique, concertée et intégrée, « à la manière de l’action de la faculté des beaux-arts de l’Usek dans la vallée de la Qadicha », qui contribuerait à la conservation des biens patrimoniaux tout en les valorisant d’un point de vue touristique.

Un Séjour de Ski ou de Sports d'Hiver au Liban?
...Un Projet original qu'il faut absolument préméditer...

 

INFOS GENERALES et GUIDES TOURISTIQUES

Progression constante de la fréquentation touristique au Liban
Le Liban a accueilli en 2004 plus de 1.400000 touristes contre 1.074000 en 2003, 885000
en 2002 et 837000 en 2001.


Des bonnes Cartes du Liban ?


En Mars 2002, le Liban était la Destination du Mois



Libanvision vous propose avec ses Partenaires Professionnels du Tourisme...

Beyrouth vu du Metn

"L'ETE INDIEN au LIBAN"
Le Liban hors-saison

Pour voir la carte du pays, les villes et principaux sites, cliquez sur le drapeau...



Les Institutionnels


Ministère du Tourisme du Liban, Visitez le site officiel dont l'entrée en matière est particulièrement dynamique;étant donné le nombre de visiteurs francophones, et années de la Francophonie obligent..., une nouvelle version entièrement francophone a enfin vu le jour. Voilà donc sûrement une bonne vitrine pour le Tourisme au Liban, véritable pilier d'une économie par ailleurs en difficulté; espèrons donc que cela contribuera à developper les tourisme des Européens dès que quelques freins psychologiques auront disparu!
Vous pourrez aussi consulter une variante de cette version du
Ministère élaborée par l'agence Web -Waw- et que nous avons trouvé particulièrement conviviale.


Portrait avec l'Hebdo Magazine>>>
Nada Sardouk, Directrice Générale du Tourisme, francophone active et convaincue...

Office du Tourisme du Liban à Paris, 124, rue du Faubourg Saint Honoré Paris 8ème, 01 43 59 12 13; Enfin un site web disponible pour l'été 2001 que l'on doit à son dynamique directeur Mr Akl.On pourra trouver tous les renseignements de base pour un premier voyage et commander les brochures des différents sites à visiter.Pour découvrir l'Artisanat Libanais, sachez qu'une boutique de l'Artisan du Liban est désormais ouverte au 30, rue de Varenne dans le 7ème, Métro Sèvres-Babylone; une bonne manière de se préparer ou de se remémorer un voyage au Liban...

Aéroport international de Beyrouth, véritable indicateur du climat touristique au Liban; il est doté d'installations désormais très modernes aux normes internationales et d'une excellente signalétique trilingue.

Middle East Airlines , site de la compagnie nationale MEA pour les horaires et vos réservations.Sa santé semble s'améliorer depuis la mise en place du partenariat avec Air-France et de l'utilisation du "Hub" de Paris-Roissy pour les correspondances vers le monde entier.Le suspense réside quant à savoir si ce symbole de la nation sera une des premières compagnies privatisées dans un avenir proche;au moins partiellement dans un premier temps?



Les Mouvements de l'Aéroport de Beyrouth:
tous les horaires d'avion des compagnies desservant Beyrouth, les départs et arrivées de la semaine avec Terranet



Avant de Partir...

Tous les Conseils Utiles dans la fiche "LIBAN" du Ministère Français des Affaires Etrangères: Visas, Sécurité, Santé etc...


Fiche Expresse sur le Liban
, par le portail Adonet/Offices du Tourisme du Monde...

Voyager au Liban, un véritable guide pratique et simple pour préparer votre voyage au Liban et appliquer les astuces qui vous permettront de vite vous sentir à l'aise dans le pays.Crée en 1997, il propose une version renovée qui vous familiarisera avec les usages de la société et facilitera vos prises de contacts.

Les Pages Vertes du Liban sur Tyros, le site le plus complet sur le plan touristique,réalisé à partir du Canada.Le parcourir est certainement la meilleure manière de mieux connaitre son propre pays ou de préparer son voyage;Beaucoup d'histoire,de documentations et de plans clairs sur les endroits qu'il ne faut pas manquer de visiter.Beaucoup d'infos sur Beyrouth et le Sud en particulier,région encore méconnue pour les raisons que l'on sait...Des liens nombreux mais classiques permettent une navigation à la fois agréable et futée.

Page du Liban, c'est le site des Libanais et libanophiles de Suisse.Il distille une bonne synthèse du pays ave une rédaction de qualité et une approche claire.

Liban-Infos, site franco-libanais assez généraliste à la présentation sobre et qui propose une section tourisme assez développée.Il s'adresse plutôt aux résidents en France qui veulent mieux connaitre le pays avant de s'y rendre.Bonne liste de restos libanais sur Paris par exemple. Lorsqu'il est en cours de maintenance ,il propose temporairement une Page Provisoire.

WebPortalis, il y a des bonnes idées et du professionnalisme dans ce portail récent et prometteur, axé semble t-il sur le tourisme, en Français, les news en Anglais, le reste, souvent un peu de culture, ... mélangé! Si tout cela est plutôt conforme à une certaine réalité Libanaise, cela peut aussi engendrer un peu de confusion...La rubrique de photos et sur les sites touristiques est la plus séduisante, ce qui valide notre choix de classification dans cette catégorie plus que dans une approche généraliste.

Tolebanon , une édition Libanaise de city-guides préparée de Paris, comme pour la plupart des pays arabes.L'accès en Français est direct et le concept séduisant; vous êtes convié à y apporter votre contribution éventuelle en espérant que la couverture de Beyrouth sera à la hauteur de la richesse de la ville en matière de Patrimoine, de loisirs et de sorties.Au Printemps 2002, en dehors du site généraliste sur le Liban, sont déjà disponibles les City-Guides sur Beyrouth, Jounieh et Beiteddine . La conception est certes assez professionnelle mais on emettra le souhait de davantage de lisibilité et d'informations non biaisées par des considérations commerciales.

Orients.com , un site à mi chemin entre catalogue touristique et culturel, agence de voyage; pour exciter votre curiosité intellectuelle sur les routes de la soie ou le Liban occupe une place de premier choix.

Atlas mondial sur le Net, la page du Liban est à visiter, même si l'accès à sa carte détaillée n'est pas toujours si aisé...En attendant vous pouvez vous lancer dans un tour du monde et apprendre les drapeaux ou les hymnes nationaux de tous les Etats du monde.Bon courage!

Climat et Géologie du Liban , une page judicieuse et utilement détaillée sur le site du Ministère de l'agriculture.

Cartothèque, pour les spécialistes et chercheurs passionnés, la page Liban de la banque de données cartographiques de l'Université de Jussieu à Paris.

LebanonAtlas, quelque soit votre centre d'interêt,rien de mieux qu'une bonne carte pour tout comprendre surtout lorqu'elle est intéractive...Vous serez étonnés par la grande précision et le professionnalisme qui sont au rendez vous sur ce site offrant des cartes sur plein de thèmes inattendus.

Le Cèdre, une page sur le Cedrus Libani,emblême du pays à ne pas confondre avec les autres types de cèdres...Plein de subtilités scientifiques à saisir, malheureusement sans photos.Anecdotique pour les uns mais capital pour les autres...comme par exemple Désirée Aziz et Laurent Abad qui co -réalisèrent un superbe ouvrage sur le Liban, pays des Cèdres, subtil mélange de profonds poèmes et de Photos aussi grandes que grandioses.Retrouvez en vite quelques unes des plus belles grâce au site d'un passioné du Pays.

Les Cèdres du Liban, un site perso qui nous vient du Canada et qui , outre son propre contenu vous a selectionné les meilleurs liens sur l'arbre emblématique du Liban.

Beyrouth-Accueil, à mi-chemin entre le social et le tourisme, l'Association des Françaises du Liban s'adresse essentiellement aux personnes qui débarquent dans la capitale du Liban pour y résider un certain temps.

Touristica, revue libanaise essentiellement francophone, paraissant 5 ou 6 fois par an.Elle s'adresse aussi bien aux professionnels du tourisme qu'aux particuliers voulant se tenir informés de l'actualité du secteur touristique, des grands projets en cours de réalisaion, des promotions proposées par les agences etc....A l'heure ou le tourisme est bien souvent présenté comme un des maillons forts du développement économique du Liban, voilà une initiative bien utile et concrète pour assurer la promotion des atouts du Liban en prorité dans le monde francophone.

Coucher de soleil à Raouché par Ph.Vaugouin

Les Guides Touristiques



Les Guides sur le Liban
A titre d'information, afin que vous sachiez quoi demander à votre libraire traditionnel ou en ligne, voici une sélection des principaux guides touristiques parus ces dernières années:


Lonely Planet du Liban

Le Guide en Français !

LibanLebanon

Un portail d'initiation au Liban, issu d'un séjour mais également utile pour bien le préparer, illustré de nombreuses photos et la volonté de faire passer son message de pluralité et de tolérance.

-Le Liban de Pierre Pinta, éditions Olizane, un aperçu varié et bien écrit en 1994 puis réedité en 1999, toujours avec le même goût critique.A mi-chemin entre récit littéraire et carnet de vie, on comprend que l'auteur a longtemps vécu à Beyrouth ; il transmet fidèlement certaines vérités à la fois historiques et d'atmosphères grâce à son immersion personnelle dans la société Libanaise.Sa qualité littéraire est ainsi illustrée dès la Préface: vous êtes invité à un Voyage en Libanie...Le Liban :" un non-lieu mais délicieux" , citation de Selim Nassib.

-Bonjour le Liban, aux éditions du Pélican, écrit en 1995; moins littéraire mais davantage accessible;au delà des sites à visiter pour le touriste, une bonne place est consacrée aux différents aspects de la vie au quotidien dans la société Libanaise.

-Le Petit Futé, dans un style plus décontracté,écrit en 1996, puis rafraichi entre 1999 et 2000, il donne les repères nécéssaires et tente de distiller le maximum de bons tuyaux destinés aux voyageurs ne cherchant pas le luxe et les paillettes.Une nouvelle édition semblerait toutefois utile car tout change très vite dans un pays qui se reconstruit et ou les lieux de loisirs bourgeonnent comme les arbres au printemps.

-Au Liban,Guide Visa-Hachette, sérieux et complet donc fidèle à sa réputation, il donne les incontournables repères historiques puis décrit très bien ce qu'il faut voir à travers des circuits bien conçus;il mentionne aussi les meilleurs endroits pour les sorties;mais la mode ,on le sait, évolue ici encore plus vite qu'ailleurs! Il demeure néammoins une valeur sûre par sa précision.

-Liban, Guide Arthaud ,collection grands voyages;Plus récent puiqu'écrit en 1999 par Hareth Boustany,expert en archéologie et de l'époque Phénicienne.Les amateurs d'histoire seront ravis car la part belle est réservée à ces thèmes.Ensuite un ABCdaire de mots quotidiens sert de fil conducteur à l'ouvrage ce qui lui donne un côté original et ludique.

-Le Liban par Yahoo Travel, pages à consulter par curiosité et ...pour une vision typiquement anglophone du pays car inspirées du Lonely Planet version Anglaise! On serait en droit d'attendre mieux, même si l'on sait qu'en général, les Francophones ressentent mieux le Liban que n'importe quel autre Occidental; d'ailleurs qu'en pensez-vous?

Le Liban par Amadeus, la bonne fiche de synthèse sur le Liban, réalisée en Français, pour le compte du célèbre système international de réservations par les Guides Columbus

Plaisirs du Liban, quelques pages claires pour vous persuader s' il le faut de la fascination qu'exerce toujours le pays,même de Paris.Le Liban demeure un mythe ou persiste la variété de sensations et du plaisir qu'il procure.Alors ce site de "Publex" partenaire du fameux Magazine-Hebdo Paris-Match, vous incitera certainement à franchir le pas et à préparer votre voyage!

Le Liban sur Voyage, la chaine de l'évasion sur le cable et le satellite

Le Liban sur la route d'un globe-trotter: site personnel avec des textes clairs et de belles et grandes photos de l'été 2003 sur Beyrouth, Byblos, le Chouf etc...Visite conseillée...

Sur la Route... du Liban, site très bien réalisé avec de jolies photos et des impressions de voyages.

Passe-Frontières, magazine Français dit "des nouveaux voyageurs" , sans doute encore trop confidentiel, à destination de tous ceux qui cherchent autant le contact avec les populations que l'observation des sites.Il délivre avant tout des Récits de Voyages particulièrement pertinents et souvent bien illustrés en photos.En témoigne le numéro de l'été 2001 sur le Liban qui reflète fidèlement les réalités contrastées du pays mais qui laisse encore un goût d'inachevé.Vivement un site-web pour partager ce plein de sensations...

Voyage.fr, le guide Liban de la grande chaine thématique française par cable ou satellite.Du travail bien fait qui donne vraiment l'envie de découvrir le Liban! et comme c'est une Télé, vous pourrez visionner des reportages principalement centrés sur Beyrouth. Au nombre de 5 et d'une durée de 5mns chacun, ils sont particulièrement bien réalisés et fidèles à la réalité que vous pourrez sentir sur place!

Tourisme TV, entrez dans cette télé du Net spécialisée dans le tourisme essentiellement destinée aux candidats aux voyages...Ce site est devenu plus un magazine francophone du tourisme avec des reportages visuels qu'un guide télévisuel des voyages par destination.Le Liban s'y montre donc épisodiquement quand il s'y passe quelque chose dans le secteur de l'économie touristique.

 

Beyrouth by Night



Les Guides Personnels

from Cesar Kastoun


7 Jours au Liban, Guide de vos Vacances au Liban
, voilà un site vivant et original venu d'un Libanais du Canada qui vous donne une idée du pays et de tout ce qu'il faut voir pour se cultiver autant que pour s'amuser dans l'hypothèse ou vous disposez d'une semaine pour séjourner au Liban.Un vrai site-scénario qui donne envie de mettre en pratique toutes les idées qu'il distille!

Bienvenue au Liban , site personnel qui propose une bonne présentation générale du pays mais la mise à jour demeure,nous semble t-il, perfectible.Pour les plus patriotes, l'accueil avec le drapeau et l'écoute de l'hymne national donneront un caractère solemnel à votre navigation sur le Net! Au-delà, le menu se trouve en bas de la page d'accueil et propose des rubriques très diverses et pleines d'interêt comme, par exemple, une bonne synthèse des différentes phases de la guerre du Liban, ce qui est indispensable de connaitre pour encore comprendre le Liban d'aujourd'hui, plus de 10 ans aprés la fin.

Libanais.Info, est un bon site, utile et complet, réalisé entre 2002 et 2003 par des étudiants libanais installés à Lyon en France.Une présentation soignée particulièrement adaptée à ceux qui veulent se faire une idée d'un pays qu'il aimerait connaitre.A coup sûr, après avoir surfer, votre coeur balancera entre votre envie de le connaitre et la nostalgie de ceux qui l'ont connu.

Liban, Pays des Cèdres, un site clair et synthétique, sans superflu,avec une bonne galerie de photos et des listes qui semblent bien mises à jour,ce qui est une qualité dans ce domaine.

Liban, le Pays des Merveilles, bon site personnel animé et varié réalisé de manière assez professionnelle qui ouvre pas mal d'horizons sur le Liban et donne certainement envie de mieux faire sa connaissance; un certain nombre de liens pertinents en font à ce jour un de nos préférés parmi les sites personnels d'informations générales.Son accès est depuis peu impossible; espèrons que cette frustration ne soit que passagère et qu'il n'ait pas définitivement quitté le Web!

Liban l'Eternel, voici un bon guide sur le Pays avec de bonnes illustrations et de bons commentaires.Nous vous invitons à le découvrir à partir de ses pages sur Byblos/Jbeil d'ou vous pourrez ensuite circuler à travers le pays en toute liberté entre Histoire, Géographie et Impressions sur la Société.

Liban, mon beau pays, un site personnel bien construit et cair qui nous vient du Canada.

Connaitre le Liban, autre bon site d'introduction générale au pays par un Libanais aimant son pays d'origine.Souvent fabriquer un site permet d'afffirmer l'attachement à ses racines.

Découvrir le Liban, à mi-chemin entre pages persos et site vous trouverez ici pas mal de choses avec photos , liens et musique en accompagnement.

Le Liban vu de Belgique, un mini-site sympa et bien illustré qui vous donne l'essentiel.

Libanon, un bon petit site sympa avec une présentation bien personnelle.

Lebanon, avec un tel titre, on ne s'y attend guère, mais c'est bien un site personnel en Français qui est proposé pour une première approche du Liban.

Voyage en Orient, quelques bonnes pages et belles photos sur le Liban par Mr Hervé Lucas

Liban, un site sympa..., son titre, tout simplement et bien mérité!



Lebnan/Liban
, un petit dernier, né au Printemps 2000 sur la Côte d'Azur, mais que nous classerons vite parmi les premiers des sites personnels sur le pays, grâce à sa clarté et ses qualités de synthèse.Une page entière consacrée au Cèdre avec de jolies photos.

Mouka, un petit portail sur le Pays qui vous emmènent vers une sélection assez classique de liens en Français ou en Anglais

Mon cher Liban , site personnel sur le pays avec des commentaires et infos sous un angle plutôt affectif ainsi qu' une rubrique spécialement dédicacée à la chanteuse Fairuz.

Chouf , voilà un site né avec le millénaire et qui vous fera découvrir en long et en large, entre mer et montagne, cette région pleine de richesses et de diversités, des Palais de Beit ed Dine aux Cèdres de Barouk en passant par le village de Deir el Kamar.Fief de la communauté Druze et symbole d'une co-existence historiquement tumultueuse avec les Chrétiens Maronites , elle marque souvent le visiteur étranger par sa grande propreté et la différence des sensations qu'elle engendre par rapport aux autres régions du Liban.Profitez aussi de la rubrique sur les liens avec les pages et sites persos qui est assez fournie.Nous nous réjouissons du choix du Français comme première langue de ce site dédié à une région qui, en dépit de nombreux efforts entrepris par la France et le Liban a toujours manifesté un penchant vers l'Anglophonie...Voilà donc une excellente contribution à l'inversion de cette tendance!

Lebanonone, un site personnel avec de jolies photos de Deir el Kamar et Beit ed Dine comme entrée en matière.

Le Liban vu de loin, un site personnel qui nous vient d'un Libanais du Canada, qui date un peu...mais qui vaut surtout par de bonnes photos contrastées, d'hier et actuelles.

Discover Lebanon/Découvrez le Liban, un site bilingue, mais davantage anglophone, avec notamment une rubrique assez à jour et bien faite sur les lieux de sorties.Il semble que ce site soit encore en cours de développement et qu'il dispose d'un potentiel intéressant.

Evasion au Liban, une succession d'impressions personnelles à l'occasion d'un périple au Printemps 2001; quelques bonnes photos...

Mini-Guide du Liban, un petit guide sympa et fort utile, fruit de l'expérience personnelle retirée du séjour d'un groupe de la région Parisienne.

Surflebanon, la version française d'un bon site personnel qui présente le Liban touristique, essentiellement autour du thème des sports de glisse.

Liban/Cedarland, un très bon site personnel qui nous vient du Canada.Mr Philippe Azzi vous distille l'essentiel sur le pays et nous aimons bien la carte de la page d'accueil.

Cedarland, vous n'apprendrez ici rien de spécial si ce n'est que ce site est en Anglais et que vous pourrez en pofiter pour le perfectionner...en parcourant la plupart des thèmes classiques abordés dans la plupart des sites personnels bien construits.Dans un souci d'ouverture et de pluralité qui caractérise l"esprit francophone, nous tenions donc à mentionné un site purement anglophone de qualité.

Le Liban par Christiane Nakad, voilà une page de synthèse sur le pays qui vous en donnera un juste aperçu sous de nombreux aspects.

Parcours au Liban, site qui ne manque pas d'intérêt avec de bons clichés ayant pour thème un voyage épousant les contours de la Méditerranée et qui nous vient de Belgique.

Carnets de Voyages, un site en forme de portail vers les pages-souvenirs de ceux qui ont des choses à dire après leur voyage.Il suffit de taper tout d'abord Liban dans la case destination pour avoir ainsi accès aux impressions d' une dizaine de Globe-trotters qui y sont passé. Libre à vous, par la suite, de partir sillonner le monde entier...bien sûr!!

Promo Beyrouth, c'est le nom de la partie libanaise d'un portail personnel avec une galerie de photos.

Récits de Voyage au Liban, par une délégation de l' ARRI, à l'automne 2001, association du rayonnement international; vous y trouverez de jolies photos mais surtout des compte-rendus de qualité, reflets objectifs du Liban d'aujourd'hui et du rayonnement de la culture francophone au pays du Levant.Voilà un bon reportage à la lisière du Tourisme et de l'Actualité Géo-politique.

Impressions de Voyage , un site perso suite à un séjour au Liban fin 98 avec, en prime, quelques vérités toujours bonnes à dire...

 

Dossier Tourisme, par le Rotary-club du Bénélux.Des impressions trop sévères même si elles correspondent parfois à une certaine réalité; mais le Liban n'est pas un pays tout à fait comme les autres et encore faut-il le savoir avant de venir à sa rencontre...
Site archéologique

Cesar's Palace, un site perso de Mr Kastoun très plaisant ou le Liban occupe une bonne place, tout en pouvant se balader alternativement de l'Orient à l'Occident.

Voyage au Liban en 2000, site réalisé par une lycéenne de Suisse romande avec de très jolies photos comme celle de la plaine de la Bekaa et de la vie à la campagne qui lui confèrent une certaine originalité.

Liban de loin, un bon site réalisé par une jeune Libanaise du Canada qui , comme beaucoup, ne peut oublier le charme de son pays, même si éloignée de lui...

Histoire et Géographie du Liban, des infos classiques mais nécéssaires sur ce site qui fait le tour des pays ou l'Islam est présent.



Au Printemps 2002, le LIBAN s'affichera dans le Métro Parisien
avec une Campagne basée sur les Contrastes:


Le Liban, " Up and Down " pour le contraste Montagne/Mer
" High-Tech " et Antique pour celui de la Modernité et des richesses du Passé

Office du Tourisme du Liban à Paris

Le Liban ne se décrit pas, il se vit...

 


L'emblême millènaire: le Cèdre, ici dans le Chouf,
vu par Libano Verde/Liban Vert



Côté montagne: Village de Hasroun au Nord,

... dans la région de la Kadisha

 

 


Côté Mer: La Baie de Jounieh

Paris-Beyrouth via Larnaca/Chypre
avec

* Hors taxes Aéroport, conditions spéciales

Offrez-vous l'été Indien ou les douceurs de l'hiver au Levant!

Circuits 7 Jours/ 6 Nuits ou Week-ends sur mesure...

PHOTOS d'hier et d'aujourd'hui


Souwar.com
Le site libanais de référence qui collecte et diffuse les photos prises par ses internautes; entre tourisme, histoire ou modanités, voilà sans doute la plus grande banque de photos du Liban!


Au revoir cartes postales, Ahlan Super Cartes Postales du Liban!

Le Liban comme vous ne l'aviez jamais vu sur des cartes postales multimédias! C'est l'idée avant-gardiste de Michel Sfeir et de la société Paravision SAL, qui offre à travers ce projet des facettes inédites du Liban.
L'idée de ces cartes postales a germé aux Etats-Unis, raconte Michel Sfeir, PDG de Paravision et responsable en communication et marketing auprès de Berytech, un pôle technologique ouvert aux entreprises et aux idées nouvelles. Je suis passionné de photos et je voulais envoyer une carte postale à des amis en France. J'ai donc mis sur un CD des photos et un petit film vidéo. Le concept a séduit et l'idée a fait son chemin." Ce projet ambitieux, développé par Paravision, spécialisée dans le développement multimédia off-line et on-line, a nécessité deux ans de préparation, surtout pour mettre au point les meilleures technologies et exploiter à fond les idées que la société voulait communiquer. Il concerne presque toutes les villes importantes sur le plan touristique au Liban. "Pour la première fois, des photos du Liban vu du ciel, du fond sous-marin, et des photos prises en parapente à 360° seront visibles. Nous travaillons également sur les réserves naturelles du Chouf et de Ehden, Kobeyate et Tyr", révèle Michel Sfeir. Cette carte postale digitale ou multimédia est en fait une super carte boostée avec des photos, de la vidéo et des infos, grâce aux nouvelles technologies. 38 CD sont en préparation, dont 15 sont déjà sur le marché. Pour toutes les villes comme Baalbeck, plusieurs pochettes sont disponibles. Dans chaque carte postale, une vidéo d'une durée de 3 minutes, et 50 à 100 photos avec possibilité d'impression en haute résolution; pour chaque ville, un historique corrigé par des historiens; une visite guidée avec plan et détails des monuments, un économiseur d'écran à télécharger et des vues panoramiques visualisables à 360° sont les plus qu'offre cette carte postale d'un genre inédit. Les concepteurs de ce projet ont abordé des aspects jusque-là méconnus au Liban comme l'écotourisme, la spéléologie, les endroits où l'on peut faire du rafting, de la plongée sous-marine, etc. "Nous essayons de répondre aux questions et aux attentes des Libanais et des étrangers car ces cartes postales qui seront diffusées largement au Liban seront aussi distribuées à Paris, au Brésil, etc. C'est pour ces raisons que des versions portugaises, espagnoles et allemandes sont prévues en plus de l'arabe, du français et de l'anglais. Notre cible, c'est les Libanais résidant à l'étranger, les touristes étrangers ou d'origine libanaise visitant le Liban et les étrangers dans leur pays intéressés par le Liban (restaurants, magasins qui vendent des produits libanais...) ainsi que tous les libanais qui ne connaissent pas leur patrimoine et ceux qui désirent le partager. Pour le lancement, un million de brochures sera distribué dans les lieux touristiques, à l'aéroport..." De nombreuses études de marché ont précédé le projet et le prix a été fixé de manière à être accessible à toutes les bourses. Vendue 5000LL hors taxes, cette carte postale multimédia est une source d'informations sur le Liban vu sous tous les angles. De plus, conçue de manière très ergonomique, elle permet une telle facilité de navigation et un menu si simple que même les néophytes peuvent s'en servir. Question envoi postal, il est bon de savoir qu'il existe une loi au Liban qui stipule que toutes les cartes postales sont affranchies au même prix, quel que soit leur poids. Cette initiative novatrice, conçue et exécutée avec un grand souci du détail et de l'esthétique, a remporté l'adhésion enthousiaste du ministère du Tourisme qui n'a pas hésité une seconde à y apposer son logo, conférant ainsi à la carte postale multimédia un crédit officiel et la reconnaissance d'un travail sérieux... Le projet est également parrainé par An-Nahar et Noun qui le co-sponsorisent et ont collaboré à son élaboration. "L'année prochaine, poursuit Michel Sfeir, nous lançons le projet d'un festival de la carte postale, pour lequel nous avons commencé à collecter des cartes de 1870. Nous allons par la suite lancer une campagne pour récupérer d'anciennes cartes concernant des villes et des villages du Liban afin de retracer leur évolution."

Lu dans Noun Août-Septembre 2003

Les incontournables dans la Tradition...

Liban en 360°
et un site de plus sur ce concept? oui mais cela est produit par la Société Swelpix, une référence désormais dans le création de sites-web animés et sophistiqués;
d'ailleurs il ne s'agit pas que d'un site-web, car vous pourrez vous procurez tout le contenu sur un CD Rom; une bonne idée de cadeau en vente dans les Librairies...

et...
Un nouveau site dédié aux photos et à la promotion touristique du Liban:

Cèdre-Voyage
un site prometteur avec de jolies photos que vous pourrez même acheter en ligne

Ras Beyrouth vu du littoral Nord


Guide panoramique et culturel du LIBAN
Faites le tour du Liban en Français et en Photos 360° grâce à ce site qui vous donne une approche artistique et culturelle du pays à partir d'une carte qui selectionne des sites touristiques originaux.De quoi vous séduire et vous faire naitre de multiples envies!...

La Banque de Photos du Liban , une véritable banque de données avec plus de 12000 photos disponibles à partir d 'un index ou d'un clic sur une carte du pays.Un travail que l'on doit à une collaboration entre l'Université Américaine de Beyrouth -AUB- et le Ministère Libanais du Tourisme.

Panoramas du Liban , pas besoin de prendre l'avion pour avoir le vertige des sensations face à la beauté de certains sites Libanais.La montagne est assez proche de la mer pour offrir un tas de possibilité de combler le plaisir de vos yeux...en gardant les pieds sur terre!! Ce site est unique et original même s'il requiert un peu de connaissance et d'adresse pour y naviguer.

Salamlak!, photothèque du photographe illustrateur Elie Galey sur les pays du Proche et Moyen-Orient, le Liban mais aussi la Syrie,la Palestine, la Syrie, l'Irak et la Jordanie; des prises de vues de sites bien connus mais aussi dans des reportages de presse de grand médias francophones.

Diaporama du Liban
Un excellent tri de photos par régions mais aussi par sensations...A découvrir !

Liban: A lovely world , ou comment faire le tour du Liban en photos à partir d'une carte animée...En version Française, c'est un lovely site!

Beyrouth en Noir et Blanc; une belle serie de photos prise à la fin de la guerre, vers 1991 et 1992.

Album Photos du Liban, un aperçu très complet et éclectique stimulé par l' opportunité des paysages et des sensations.La présentation et les commentaires illustrent un voyage riche et un sens aigu de l'observation.

Photos Privées du Liban, une superbe page- patchwork du portail Lebhost, composée des plus belles photos envoyées par les internautes photographes.

Photos du Liban.un excellent apercu des villes et principaux sites à visiter.Vous accèdez par ici, directement à la section photos du site évoqué auparavant,"Liban, Pays des Merveilles".

Photos du Liban. Site bien actualisé et souvent très bien référencé avec de nombreuses photos de toutes les époques depuis le début du siècle; de quoi satisfaire autant les branchés que les nostalgiques!

Photos du Liban.De nombreuses photos de tout ce qu'il faut voir aujourd'hui, mais aussi ce qu'on aurait pu voir dans le passé et ce qu'on ne veut plus jamais revoir dans le futur;beaucoup de réalisme et d'émotion se dégagent de ce site grâce à cette navigation dans le temps.

Photos de Séjours, quelques prises de vues au format original d'un périple au pays.

Photos de Voyages, une page mosaique de belles photos réalisées en l'an 2000.

Le Liban Vert, Une riche contribution photographique sur le Liban en provenance de l'Espagne et en Version Française !.

Photos Insolites, quelques photos uniques et inédites que vous ne trouverez pas ailleurs.

Photos Souvenirs, réalisées lors d'une escale à Beyrouth en 1983 dans le cadre d'une mission du Navire-Corvette le Dupleix, à un moment crucial de la Guerre du Liban.

Photos de Tripoli/Trablous, très bonnes photos et impressions de la capitale du Nord-Liban par le photographe Alain Goulard.

Banques de Photos, 18 jolies photos à ce jour dans ce site personnel dont elles constituent l'atout essentiel.

Carte et Photos du Liban, un belle carte très grande et claire puis des photos d'un format sympa font de ce site très visuel sur le pays un bon support de sensations...

Cartes Postales, extraites d'un site personnel réalisé en France, les grandes classiques d 'hier et d'aujourd'hui, sur Baalbeck, Beyrouth, Broumana et Aanjar.

Photos d'Avant-Guerre, accèdez à la partie Liban du site personnel d'un Libanais de France qui exprime sa nostalgie à travers les photos.

Photos de Guerre, en 1976, une exposition du photographe Philippe Buffon qu'il a intiulée " la guerre des hôtels", en référence au quartier des grands hôtels qui fut au coeur des batailles des miliciens ou snipers..

Photos de Voyage Liban/Syrie, un menu d'une bonne quarantaine de photos qu'on ne se lasse pas de faire défiler tant elle font comprendre la diversité de la région; Anti-monotonie garantie...

Photos de voyages, sur le thème Liban, terre lointaine; une jolie série de photos que l'on peut agrandir, notamment sur Baalbeck et Beit Eddine qui rendront le Liban plus proche!

Yann Arthus-Bertrand, le site du fameux photographe qui fut invité à présenter entre Juillet et Novembre 2002, son exposition "La Terre vue du ciel", autour de la Place de l'Etoile de Beyrouth; une expo qui eu un grand succès comme dans beaucoup d'autres villes du monde, alors que le Sommet de la Francophonie attirait les regards sur le Liban. Vous entrerez ici par une page interne car la plupart du site est en animation flash et donc un peu lourd à charger, beauté et définition des photographies obligent!...

écusson du Liban

Drapeau du Liban, le plus grand drapeau du Liban sur le Net nous vient tout droit du Canada; à mettre dans le livre des records pour toujours car on ne peut faire plus que plein écran, même si la connexion est aléatoire! On trouve aussi beaucoup d'autres choses sur ce site conçu par M.Elias Freije à partir du Canada, de façon très affective, avec de nombreuses photos bien sûr.

Photos du Sud Liban et de Khiam , un site que l' on doit à plusieurs jeunes qui se sont aventurés le long de la frontière peu de temps après la libération du Sud.Nous attirons votre attention sur le centre de détention de Khiam qui avec ses cellules d'un mètre carré , ses poteaux de torture et branchements électriques ...n 'a pourtant pas grand chose à envier aux camps de concentration si souvent évoqués! Le centre peut désormais être visité et un centre Médico-psychologique à destination des ex-prisonniers y a été installé en hiver 2001 avec le concours de l'Union Européenne.

Lebanon Quest, un nouveau site proposant un patchwork de photos originales autour des endroits connus et moins connus et surtout décrivant des scènes de la vie quotidienne au Liban. Sa présentation bilingue Français-Anglais constitue un atout supplémentaire et chaque internaute peut apporter sa contribution.

Prises de vues aériennes du Liban, un service proposé par la société internationale spécialisée Maps International.Une approche différente, originale et impressionnante.Une façon de visiter le pays en se payant un tour d'avion!
Photos des sites archéologiques du Liban
et de quelques autres endroits reflètant bien l'atmosphère variée du pays;du grand format qui permet une grande netteté.Coup de coeur spécial pour les sublimes prises de vue des couchers de soleil.Assurément concocté par un sacré amoureux du Liban.

Photos de Beyrouth avant-guerre Ne vous laissez pas aller à trop de nostalgie tout de même..à chaque époque,son propre style.

Photos de Beyrouth été 2000, de bonnes prises de vue notamment du quartier du nouveau Centre-Ville; de quoi vous saisir par le contraste avec le site précédent!

Photos de voyages, autour d'un séjour de deux jumeaux au Liban.Des prises de vue nettes et de bonne qualité.

Beyrouth en pleine reconstruction, un site avec plein de photos du Nouveau Beyrouth, de sa nouvelle architecture, à l'occasion d'un festival de cerf-volant...De quoi changer l'image de la ville en montrant la réalité positive des choses...

Les Billets de Banque Libanais, donnent une idée de l'atmosphère de l'époque glorieuse du Liban.C'est une approche originale.

Les Timbres Postes du Liban grâce aux Postes Francaises.

Histoire de la MEA , la compagnie aérienne nationale.

Liban, Ski au Pays des Cèdres, un bon texte et de bonnes photos venus de Suisse dans la revue Alpes de Février 2002; voilà une bonne référence en la matière pour la Suisse du Moyen-Orient.

La Destination de la Semaine avec


Le Portail de IDM - Inconet & DataManagement


EXCURSIONS et VISITES

Beyrouth Avant et Après la Guerre du Liban...

Galerie de Photos exclusives avec l'IDAL

DownTownBeirut / Centre-Ville de Beyrouth, vous ne serez certes pas encore au coeur de la francophonie libanaise en navigant dans ce site...Mais, venant d'Amérique, il est certainement le plus complet sur ce que les Libanais appelle communément le "Centre-Ville" là ou il fait bon flâner ou s'afficher le soir dans les très - ou trop?- nombreux cafés-trottoirs.





Des Villes et Villages du Liban du Nord au ...Sud





Liban-Villages est un site crée à l'Automne 2005, encore en plein développement, dans la mouvance de Libanoscopie, et qui a pour ambition de vous faire connaitre en français le maximum de villages libanais.

Nord-Liban, le portail de la région Nord dans un anglais simple et accessible pour savoir l'essentiel sur ses différentes régions, villes et sites tels Koura, Akkar, Bcharré/Vallée de la Qadisha, Zgharta/Ehden, etc...

Tripoli-City, voilà un site- portail de la grande ville du Nord-Liban qui fait enfin honneur à la francophonie de cette région avec la version complète en Français d'un contenu particulièrement bien étoffé et illustré.Cela méritait bien une mention spéciale notre part.

Tripoli-Lebanon.com, le portail de la seconde ville a été récompensé pour sa grande qualité;même Beyrouth pourrait en rougir, mais un peu de francais serait appréciable.

El Mina, un site spécialement dédié pour ce port de pêche presque devenu un quartier de Tripoli mais qui conserve un charme tout à fait particulier et un cadre naturel.

Kalamoun, un village côtier à quelques kms au Sud de Tripoli, porte de la région de Koura dont l'économie est partagée entre les oliveraies et les complexes touristiques.

Anfeh ou Enfé, enfin un site pour cette petite cité qui vit historiquement avec la mer, située entre Tripoli/Trablous et Chekka.Vous êtes ici au coeur du Koura côtier, dans le pays Grec-Orthodoxe du Liban.Ne manquez pas les vestiges immergés d'un rempart datant le l'épopée des croisés, le Chateau de Néphin, ni les quelques parcs à Huitres parmi les rares salins du Liban ou encore le grand complexe de divertissement de Las Salinas situé à la sortie du Village en allant vers Tripoli.

Akkar, une excellente page personnelle réalisée par un chercheur d'origine Libanaise de l'Université de Troyes sur cette région du "grand Nord" Libanais et sur le village qui porte son nom.Vous y trouverez en particulier, une très belle carte de l 'ensemble du Liban.L'adresse sur le web a changé mais nous avons heureusement pu vite la retrouver...

Mar Challita près Kobayat

Andkit ou Andaket, un village charmant du Akkar, à quelques kms au Nord de Kobayat, niché dans ses collines et bien plus francophone que le Site Web réalisé par une Libanaise émigrée au Canada, ne le laisse supposer.Qu'il est intéressant de constater que le dynamisme des Libanais et leur soif de communication se révèlent jusque dans des lieux qui paraissent à la fois si loin et si près de tout. A propos de francophonie dans cette région, c'est la jeunesse qui illustre sa vigueur:

Une nouvelle adresse relative à
Andaket et animée par les Scouts du groupe St Joseph est accessible depuis fin 2002...


Qoubayat ou Kobayat
,
Le site-web, régulièrement mis à jour, fête ses 5 ans à Noel 2004...

Kobayat, est une petite ville de la région agricole du Akkar au Nord Liban, au coeur du fief Maronite de la région et très active sur le plan culturel et social. Elle a toujours été très attachée, par tradition tout au long de son histoire et grâce à ses élites, à l'entretien de relations privilégiées avec la France. La ville dispose par exemple d'un hopital très moderne, baptisé Hôpital de la Paix, fruit de l' aide francaise, ainsi que d'une Cathédrale et de plusieurs églises dont l'une, dans la vallée sainte de Helsban, Mar Challita, un peu à l'extérieur du centre-ville, est particulièrement attachante et illustre l'enracinement millénaire des valeurs chrétiennes dans cette région du monde.
Ce site est assurément un des mieux documentés du pays pour une localité de cette importance. Cette région mérite vraiment un détour!
église du Nord Liban/Akkar

Kobayat Tour Guide, pour ne rien manquer de Kobayat mais aussi de la richesse de ses Alentours, de Andaket à Menjez en passant par le temple d'Akroum ou la Forteresse d'Akkar, dans les détails et... en Français, des pages web réalisées avec le concours de l'Unesco.

Menjez, village dans les collines du Akkar, à l'extrême Nord du Liban. Ici, vous êtes à deux pas de la frontière syrienne et le Crac des Chevaliers est à portée de jumelles.Les habitants sont des Chrétiens Maronites comme le rappelle l'Eglise Saint Daniel.

Il se raconte que le village fut d'abord baptisé Mont Guise à l'époque des croisades, du nom de la famille qui construisit la forteresse "Notre Dame" à proximité du village. Ce nom se transforma ensuite progressivement à travers l'Arabisation en Menjez.

Hadeth el Joubbeh, un village perché du Nord, avec sa beauté sauvage et qui se dévoile grâce à l'initiative de Libanais toujours attachés et respectueux de leurs racines ou que le destin les ait envoyé, parfois si loin...

Akoura , un site personnel de la famille Wehbi, sur ce village de montagne de la caza de Jbeil/Byblos et agrémenté de nombreuses photos.

Baskinta , un bien joli village de montagne non loin du site archéologique de Faqra, qui allie si bien la pureté de l'air et la limpidité de ses rivières riches en poissons.On en profitera pour manger de la truite dans un des restaurants de charme de cette localité d'altitude idéale pour ceux qui cherchent le calme.Notez que la station de ski de Qanat Bakich ou Kanat Bakiche se situe à proximité de Baskinta.Un hôtel de bon confort le Snowland pourra vous y accueillir.

Batroun, une charmante petite ville côtière du Nord-Liban, située à seulement une cinquantaine de kms de Beyrouth.La Francophilie de sa population serait récompensée par une version Francophone du site Internet...

Meziara, un village du Nord du Liban, entre Zgharta et Ehden (la distinction est ici purement géographique puisqu'il faut savoir que ces deux agglomérations appartiennent en fait à la même municipalité).

Emigrés de Miziara.
la fameuse maison-boeing de Meziara
L'appel des racines Miziara est un petit village d'irréductibles Libanais qui font de plus en plus parler d'eux à cause des splendides maisons qu'ils érigent. Richissimes milliardaires capricieux ou travailleurs invétérés?
L'Hebdo-Magazine s'est rendu sur les lieux...

Alors que vous êtes encore à Zghorta, les villas de Miziara semblent vous narguer de leur hauteur prétentieuse. Une fois sur place, leur splendeur ou leur bizarrerie architecturales, c'est selon, impressionnent. Là, une villa de trois étages expose sa devanture de temple romain; un peu plus loin, une pyramide trône paisiblement, et à gauche, au bout du sentier, un Boeing grandeur nature surplombe la colline. Et c'est bien cette «maison», précisément, qui a lancé la rumeur au sujet du village. Certains affirment qu'elle appartient à un richissime milliardaire qui, ne sachant que faire de son argent, l'aurait investi dans cette construction pour le moins déconcertante. Par conséquent, toutes les maisons luxueuses ­ et elles sont nombreuses ­ appartiendraient à cette classe de propriétaires, nouveaux riches dépensiers. Ils seraient partis faire fortune en Afrique depuis peu, dans le pétrole ou les diamants, et seraient revenus au pays faire de ce village (choisi au hasard?) leur résidence estivale, loin de la grande ville et des curieux.
Et le nom des rues n'est pas pour dégonfler la rumeur: trouver un «boulevard Nigeria» dans un pays où les rues ont, au mieux, le nom d'un haut fonctionnaire, et au pire, un numéro, paraît pour le moins insolite.

Le luxe, modestement...
La réalité s'avère toute autre. Mme Dahboul est la propriétaire de la maison aux colonnes romaines; sa maison côtoie le Boeing. Nous la trouvons en bras de chemise, occupée à faire son ménage, astiquant elle-même son sol et époussetant ses armoires en compagnie de ses femmes de ménage. Elle parle de son voisin, absent pour le moment. Elle raconte: «Nous, à Miziara, aimons notre village. Une grande partie d'entre nous a voyagé, mais nous revenons tous ici, acheter un lopin de terre et y construire la maison de nos rêves. Mon voisin est un homme qui n'est pas assez fortuné pour s'offrir une villa luxueuse, alors il a décidé de construire un bâtiment qui lui semblait original. C'est son père qui a posé la première pierre, il y a de cela près de quinze ou vingt ans, et ce n'est que cette année que le fils a pu achever la maison et la peindre.» Impressionnante, hors du commun et un peu mégalo, cette maison fait donc beaucoup parler d'elle, mais c'est davantage parce qu'elle sort de l'ordinaire que parce qu'elle reflète un luxe particulier. Et surtout, comme la majorité des grandes maisons de Miziara, celles dont on parle, un peu impressionné et un peu envieux, ses fondations ont été posées il y a de cela plus d'une décennie. En effet, M. Dahboul père a commencé la construction de sa maison il y a de cela 16 ans. Quant à la maison des Honein, reproduction fidèle d'un château moyenâgeux aux jardins parsemés de linge à sécher (!), la famille a commencé à la construire il y a 15 ans. Si les intérieurs sont d'un luxe raffiné et rare, mêlant l'art nègre au salon libanais, les villas nécessitent encore entre deux et cinq ans de travaux et de patience. Le village est donc un gigantesque chantier depuis plus de vingt ans. Alors pourquoi n'en parle-t-on qu'aujourd'hui? La réponse des habitants est laconique est nonchalante: ils n'en ont aucune idée. Les seuls éléments de réponse nous sont apportés par Mme Dahboul: elle suppose que Miziara a commencé à être connue pour son équipe de basket-ball, ses adeptes de parapente qui, du haut de la colline, aperçoivent clairement le Boeing, et son sanctuaire dédié à la Vierge, Notre-Dame des Grâces, qui attire bon nombre de fidèles. Et à la question de savoir pourquoi ces familles bâtissent des maisons trop chères pour elles au point d'étaler leur construction sur des décennies, les femmes répondent qu'elles et leurs maris, originaires de Miziara, sont des bâtisseurs dans l'âme. Le rêve de chacun ici est de construire sa maison, même si cela doit prendre des années et que seuls ses enfants en verront la réalisation.

Les Libanais d'Afrique
Si seules les femmes nous parlent, c'est parce qu'en cette période, à Miziara, vous ne trouverez que des habitations désertées ou habitées par des mères ou épouses. En effet, le seul élément précis de la rumeur est que les Miziariotes vivent à cheval entre le Liban et l'Afrique. La moitié d'entre eux y sont durant l'année et ne rentrent qu'en été, ce qui fait passer la population locale de 6000 à 12000 habitants. Certaines familles ont la moitié ou les trois quarts de leurs membres en Afrique, souvent au Nigeria, et tout le monde, à Miziara, y a un proche. Des liens très forts unissent donc les deux terres, car c'est l'Afrique qui a permis aux habitants de réaliser leurs rêves et de bâtir leur village. Ils sont fiers de dire, aujourd'hui, qu'ils ont mis en place les infrastructures des routes, des égouts et de l'électricité sans l'aide de personne et encore moins de l'Etat libanais. Leurs trois écoles, ils les ont fondées seuls, tout comme leurs églises. Cependant, les relations avec le continent africain ne sont pas seulement financières, même si Miziara vit, en grande partie, des envois pécuniaires. «Nous aimons les pays où nous sommes allés travailler, dit Mme Honein; toute notre fortune provient de là-bas, certains d'entre nous y sont nés et nous y avons tous vécu des moments extrêmement difficiles.» Histoire d'amour et de rejet donc, dans une Afrique où le danger est omniprésent, qu'il prenne les traits de la violence, d'un insecte à la morsure mortelle, de la malaria ou de la chaleur insoutenable. Histoire passionnelle qui semble se prolonger dans les mariages mixtes que contractent les Miziariotes. Les femmes évoquent, en effet, un sourire aux lèvres, les premiers métisses libanais-nigérians... Quant aux nouvelles générations, leur lien avec l'Afrique est tout aussi contradictoire. Certains jeunes, âgés d'à peine 14 ans, savent déjà qu'ils iront reprendre l'affaire d'un père, d'un oncle ou d'un cousin, comme si la terre africaine était, de manière évidente, le prolongement du Liban. D'autres, comme la fille de Mme Honein, sont nés au Nigeria, y ont grandi et s'y sont mariés; pour eux, Miziara et Lagos sont de la même tourbe, et ils ne voient pas d'inconvénient à vivre entre les deux. Certains parents, enfin, adoptent des positions plus tranchées. Ils refusent de voir leurs enfants endurer les mêmes souffrances qu'eux. Ainsi en est-il de Mme Chaghouri, habitant la pyramide stylisée dans le creux du village. Elle est revenue il y a peu de temps pour élever ses six enfants dans l'amour de leur pays. «La vie en Afrique n'est pas aisée, confie-t-elle; elle demande beaucoup de sacrifices. Regardez ici, les femmes et les enfants sont séparés des maris et des pères, et ne les voient au mieux qu'une fois par trimestre. Moi, je veux que mes enfants restent au Liban, qu'ils contribuent à sa construction; et puis, dans la situation actuelle, nous devons faire en sorte que nos enfants restent, car s'ils partent, eux, leurs amis et leurs voisins, à qui appartiendra le pays? Aux vieillards invalides?» Vie difficile donc que celle des femmes du village, mais leur plus grand soulagement reste d'avoir pu assurer à leurs enfants un toit, même inachevé.

 

Byblos/Jbeil , découvrez en profondeur et sous un angle historico-archéologique une des plus anciennes cités du monde-6000 ans environ-, ou fut crée l'alphabet, à travers le site de la fondation Louis Cardahi dont le but essentiel est la préservation du patrimoine de ce site déjà classé par l'Unesco.Vous pouvez aussi naviguer, mais en Anglais sur Bybloscity, site très moderne vis à vis du côté historique des lieux.... ou encore sur Jbeil.com , mais ce dernier est assez succin.
Byblos ou Jbeil est sans doute le site le plus visité par les touristes européens grâce à son grand intérêt archéologique combiné à son atout de proximité de Beyrouth.


le port de byblos/jbeil
Photo de Jean-Bernard Carillet

 

Kesrouan, même si cette page du portail Lebvote est en Anglais, elle est la meilleure pour vous parler de cette région privilégiée de villégiature et d'estivage.Certes, elle a connu son apogée durant la guerre, mais des stations comme par exemple Ajaltoun( très jolie petite ville), Kleiat, Reyfoun, Faytroun ou Meyrouba, que vous traverserez en allant vers Faraya, demeurent des lieux de loisirs ou il fait bon manger et danser à la fraicheur de leurs 1000 à 1200 mètres d'altitude si proches de la mer.Vous y palperez donc l' un des principaux charmes du Liban...

Douma , excellente base de départ pour d'inoubliables randonnées , ce village de la montagne libanaise jumelé avec la ville Francaise de Digne les Bains dans les Alpes de Haute-Provence, devrait donc rapidement proposer une version de son site en Francais.Ses paysages évoquent la Corse ou la Haute Provence et l'on retiendra surtout ses innombrables maisons aux toîts rouges typiquement libanaises ainsi que sa Cathédrale sur-dimensionée dont les prises de vues en hauteur, à partir des lacets environnants sont inoubliables...

Beit Chabab, village perché du Metn, connu pour la fabrication des cloches.Une page de la revue du Liban nous rappelle à ce titre sa contribution au Patrimoine Libanais.

Bickfaya, une petite ville du haut Metn, lovée à la fraicheur de ses 1000 mètres d'altitude ou le Francophone se sentira vraiment à l'aise; Ville à la fois très propre et très fleurie qui, faut-il le rappeler, est le fief de la Famille Gemayel comme le rappelle le monument à l'entrée de le ville.Nous regrettons que le site soit si succin et que le commentaire ne soit qu'en Anglais car la région est réputée comme particulièrement Francophile.Gageons donc que nos commentaires auront quelque peu compensé cette carence...

Le Casino du Liban, le lieu du Tourisme plaisir par excellence; voir notre commentaire en rubrique "Art de Vivre" ainsi qu' un bon reportage d'atmosphère de la Revue du Liban au moment de sa réouverture fin 1996.

Jounieh ,la ville à 20 kms au nord de Beyrouth a connu une croissance exponentielle de sa population durant la guerre et les constructions ont un peu gâché le site.Vu la francophonie ambiante dans cette région ce serait sympa de se mettre au Francais sur le Net;jolies prises de vue sur le site pour le plaisir des yeux...

Bsalim, quiconque "monte" à Broummana à partir de Jal-El-Dib passera par Bsalim dont la centrale electrique à l'entrée du village ne fut pas épargnée! Bsalim est un charmant village résidentiel à quelque 300 mètres d'altitude, surplombant la Grande Bleue et qui démontre une grande netteté et beaucoup de massifs fleuris.Le site web personnel d'un habitant en témoigne...

Mansourieh, un adorable site sur cette petite ville résidentielle du Metn, perchée sur les hauteurs de Beyrouth, en direction de Broummana.Il le serait encore plus avec un peu de Français d'autant qu'une large part de la population de cette région est francophone...Merci d'avance!

Broummana , le site de la municipalité de cette station estivale de moyenne altitude avec ses cafée-trottoirs, ses hôtels et résidences de luxe qui en font l'endroit huppé qui attire l'été une clientèle du golfe de plus en plus nombreuse mais aussi les Beyrouthins en quête de fraîcheur.Cela explique sans doute le choix de l'Anglais comme langue du site mais rien n'est irreversible...

Beit-Mery/Ain-Saadé, à deux pas de Broummana, cette municipalité tout étirée en longueur est un lieu de détente et d'estivage proche de Beyrouth.Le site naturel offre de superbes vues et nous aimerions que la Municipalité pensent aux francophones sur le site Web! Fort heureusement, on doit à un Libanais de Beit-Mery sans doute installé en France, la réalisation d'un site très complet sur Beit Mery en Français.Ce site fait de l'endroit une vraie porte d'entrée sur le pays dont il embrasse déjà du regard sa capitale.

Dbayeh, le site-web de cette localité entre plage - La Marina de Dbayeh et ses Yachts - et les collines résidentielles, sans oublier les Grands Magasins le long de l'Autostrade, le fameux ABC et le supermarché Spinney's.Vous le voyez, vous ne pourrez pas ignorer longtemps Dbayeh si vous êtes un touriste citadin! Un peu de Français serait sûrement utile et surtout logique dans ce site...

Enfin un vrai site-web pour la capitale !



Nahr El Kalb


Le site des stèles commémoratives de Nahr el-Kalb au Mont Liban a été sélectionné pour une inscription au registre Mémoire du Monde de l'Unesco.On distingue sur cette photo aérienne, à droite de la baie de Jounieh, le creux de cette vallée dite "Le fleuve du chien".


Beyrouth
, enfin un vrai site dynamique sur la capitale du Liban que l'on doit à TV5..., à défaut d'un grand site web local et institutionnel que mériterait la capitale Libanaise.
Nous vous proposons, grâce au Consulat honoraire de Monaco, un plan de Beyrouth mentionnant les principaux axes de circulations et quartiers, ce qui vous permettra de mieux vous repèrer.
Cliquez ici ou sur la carte!


Beyrouth, quelques repères chiffrés dans la page qui lui est consacré dans le site-index des métropoles et encore le City-Guide sur Beyrouth du portail Tolebanon déjà mentionné.

 

Aley, station de villégiature à une quinzaine de kms de Beyrouth, par la route de Damas, et qui domine la capitale de ses 800 mètres d'altitude.Elle est devenue une petite ville, chef-lieu de Caza, et forme dorénavant une agglomération avec la ville voisine de Bhamdoum et tente de renouer avec son prestige d'avant-guerre.C'était la station privilégiée des visiteurs du Golfe et voilà qu'elle s'ouvre au monde en proposant une version de son site Web entièrement francophone.Libanvision apprécie beaucoup cette attention de la part d'une municipalité de toute évidence dynamique.

Ainab, visitez le site de ce village sur la route d'Aley à qui le raisin a donné son nom et qui devrait suivre l 'exemple de son chef-lieu en offrant une place au Français dans sa rédaction.

Araya, petite ville située à une douzaine de kms de Beyrouth qu'elle domine sur ses hauteurs, cette municipalité dynamique bénéficie d'une position privilégiée sur l'axe Beyrouth-Damas. Elle vient de signer fin 2003, un accord de coopération décentralisée avec la ville de Cholet, située dans l'Ouest de la France.

Bsous, un charmant village du Mont-Liban tout proche du chef-lieu de Aaley et de Kahalé, à une quinzaine de kilomètres seulement de Beyrouth pour le habitués de la route de Damas.Le choix du Français comme langue du site web ne peut que vous inciter à lui rendre visite avant de découvrir, lors de votre venue au Liban, le site géographique qui bénéficie déjà de la fraicheur de la moyenne altitude.

Chartoun, un joli site en Français pour ce village de la caza de Aley, qui a beaucoup souffert de la guerre au début des années 80 et compte beaucoup de déplacés.

Mtein, est un village du Mont Liban situé à une bonne trentaine de kms de Beyrouth;beaucoup meurtri au début de la guerre, il essaie de renaître avec vigueur et son site est là pour témoigner de la volonté de ses habitants.

Falougha, au coeur du Mont-Liban, un site enchanteur ou coexistent principalement Marionites et Druzes; cette région attire par sa fraicheur bon nombre de Touristes des pays du Golfe Persique; Son accès à partir de Saoufar, sur l'Autostrade Beyrouth-Damas est grandement facilité depuis 2002.La Municipalité a marqué en 2002 son attachement à la Francophonie en offrant un terrain sur une colline ou sera prochainement érigée une statue de l'écrivain poète Lamartine.
Les Municipalités de Falougha et Hammana - voir le lien ci-après- constituent sans doute un pôle majeur du Tourisme dans la Montagne Libanaise de Moyenne Altitude.

Hammana, une petite ville paisible et très propre du Mont-Liban au coeur de la belle montagne Libanaise, synonyme de coexistence de communautés. Nous suggérons aux francophones qui en sont résidents ou originaires d'apporter leur touche à ce site au demeurant très attractif.

Moukhtara, village du Chouf qui vous souhaite la bienvenue et dont nous aimerions que sa Francophonie dépasse cette simple formule de politesse; le site est néammoins bien construit et sa présentation plutôt plaisante.Un des intérêts de ce site réside dans la page consacrée à l'Histoire de la célèbre famille Joumblatt, originaire comme chacun sait ou doit le savoir, de cette région du Chouf et dont le château résidentiel se trouve dans cette localité de charme.

Anjar, une page d'un site personnel sur cette ville-site archéologique un peu moins connu que Baalbek ou Byblos mais qui mérite bien un détour et permet de découvrir une région particulière.

Lac de Qaraoun, une page spéciale sur ce site encore trop méconnu mais à rencontrer absolument grâce à Libanvision.Si vous devez aller à Baalbeck, ne manquez pas l'occasion de faire un détour pour visiter cette contrée de la Bekaa Ouest dont Saghbine est le centre de vie principal et le lac de Qaraoun, le centre d'attractions et de loisirs paisibles.


Saida ou Sidon
, le site de la capitale économique de la région du Sud-Liban et fief du Premier Ministre, R. Hariri n'est qu'en Anglais et mériterait une touche esthétique mettant davantage en valeur les attraits touristiques de la cité.S'il connait cette anomalie, sans doute peut-il y remédier en cette année de la Francophonie au Liban! Après tout, le Caravansérail des Français est un des sites les plus visités, idéal pour dénicher un souvenir, au même titre que le fameux Chateau des Croisés ou Chateau de la Mer (notre photo) dont les abords ont été aménagés avec beaucoup de soin tout comme la plupart des larges avenues maritimes depuis la construction du nouveau stade à l'entrée nord de la ville...
A visiter également le site du
Musée historique de Saida sous l'égide de la Fondation Debbané.


Joun, un joli petit site pour un joli petit village lui aussi perché à l'intérieur des terres au-dessus de Saida.

Maghdouché, village proche de Saida; une grande statue de la Sainte Vierge, connue sous le nom de Vierge de Mantara, domine la plaine du sommet d'une colline; il est impossible de ne pas la voir dès qu'on a traversé Saida en direction du Sud; impressionant et majestueux vu d'en-bas tout comme le panorama vu d'en haut, si l'on prend la peine d'accéder à ce site qui peut être considéré comme la Harissa du Sud.

Marjayoun, peu de français sur ce site très complet de la petite ville du Sud-Liban, longtemps siège de l'occupation;son intérêt réside aussi dans les nombreux liens qu'il propose vers d'autres villages.Dans les environs, trône perché au sommet d'une colline, le fameux Chateau de Beaufort, ancienne place forte des croisés dans la région et qui est désormais accessible depuis la libération de la zone en Mai 2000.

Chateau de Beaufort, près de Marjayoun.

Abbassieh, un site réalisé à l'initiative et avec l'aide de Libanvision pour ce gros bourg du Sud Liban dans la région de Tyr et dont l'une des caractéristiques est de compter parmi sa population un grand nombre de familles francophones de retour de l'Afrique de l'Ouest.Si vous allez vers Tyr, ne manquez pas de faire un détour vers la partie haute du village dont l'atmosphère ne pourra que remettre en cause bon nombre d'idées reçues sur cette région.

Tyr ou Sour, pas de site institutionnel pour cette municipalité incontournable du Sud-Liban, en tant que site touristique grâce notamment à ses sites archéologiques.Classés par l'UNESCO comme patrimoine mondial, nous vous proposons donc la page consacrée à cette ville dans le site web de l'institution internationale qui est le principal acteur de la défense de son patrimoine.Dans le même esprit, Il convient également de citer les efforts de l'Association Internationale pour la Sauvegarde de Tyr, présidée par Mme Maha Chalabi.On pourra aussi consulter un site personnel bien illustré en Photos de Tyr.

Notre Page-Article sur la ville et le site de Tyr

Ain Ebel, au coeur des collines de la zone libérée du Sud Liban, à quelques kilomètres de Bint-Jbel.Il s'agit d'un village que l'on l'appelle parfois la jeune mariée du Sud et dont la population est chrétienne maronite pour la plupart.Beaucoup de ses ressortissants furent contraints de partir à Beyrouth ou d'émigrer à la suite de l'occupation. Ils peuvent enfin retrouver leurs racines, avec toute l'émotion que cela engendre.

Bint Jbeil, au coeur du Sud et de la "Caza" dont ce gros bourg animé est le chef-lieu.Le centre ville se reconstitue peu à peu suite au départ des forces de l'ALS et de Tsahal en Mai 2000.Le site web est en Arabe et en Anglais mais nous vous proposons d'y entrer par une excellente Revue de Presse Francophone traitant, on s'en doute, de l'actualité du Proche ou Moyen-Orient.

Qana, pas vraiment un site sur la petite ville du Sud-Liban, située à quelques kms au Sud-Est de Tyr au sommet des collines de la région qui lui confèrent une dimension tout à fait pastorale.Depuis Avril 1996, elle est malheureusement aussi célèbre pour le massacre perpétré par l'Armée d'occupation Israelienne que par les miracles bibliques du Christ...C'est le message que le site web, mis en ligne par la Fondation Hariri, parvient à nous faire passer grâce à la force des images.

Chebaa, qui n'a pas entendu parler des fermes de Chebaa situé sur les hauteurs de ce village, couvrant une superfercie d'environ 22 Km carrés, à deux pas du Plateau du Golan occupé? ce site permettra aux anglophones et arabophones de mieux comprendre la configuration du terrain et l'enjeu réel du problème.Le site réalisé à partir de Dubai pourrait prochainement proposer une version francophone.

Alma el Chaab, un petit village Chrétien du Sud-Liban, quelques kms à l'intérieur des terres et de la ville côtière et frontière de Naqoura, siège logistique des forces de l'ONU, la FINUL ou UNIFIL, en Anglais.Le site web n'est pas terminé mais son cadre naturel doit permettre de faire connaitre ce village aux jolies villas et au site naturel splendide, avec vue sur la mer.

La France et le Canada inaugurent un centre médical au Liban sud

TYR (Liban), 27 jan (AFP) - Un nouveau centre médico-social, construit grâce à des fonds franco-canadiens et destiné à la population du Liban sud, a été inauguré le 26 Janvier 2004 à Aalma Ach-Chaab (près de la frontière libano-israélienne) par les ambassadeurs de France Philippe Lecourtier et du Canada Michel Duval, a constaté un journaliste de l'AFP. Ce centre, doté de nouveaux équipements, a été conçu pour apporter une assistance médicale à la population de cette localité et de huit villages environnants, soit une communauté de près de 30.000 habitants, a indiqué à l'AFP un diplomate français. L'occupation israélienne du Liban sud, qui a pris fin en mai 2000, avait isolé ces villages des établissements hospitaliers de la ville portuaire de Tyr, d'où la décision de créer un nouveau centre pour cette région isolée. La Croix-Rouge libanaise assurera le fonctionnement de ce dispensaire. L'ambassade de France a financé le nouveau bâtiment pour un montant de 80.000 dollars et celle du Canada a apporté 25.000 dollars d'équipements. La localité d'Aalma Ach-Chaab est située dans la zone sous contrôle de la Force intérimaire des Nations unies pour le Liban (Finul) qui compte moins de deux mille hommes comprenant un contingent français.

Rmeich, village chrétien à l'extrême sud du Pays sur la route de Naqoura à Bint-Jbeil; ses habitants ont habituellement entretenu d'excellents rapports avec son environnement chiite.On appréciera cette spécificité tout comme la beauté du paysage qu'illustre parfaitement les photos géantes du site-web.Un peu de Français ne serait pas pour nous déplaire à l'image de nombreuses enseignes que l'on peut voir dans le village.

Tebnine , découvrez ce village du Sud-Liban, assez proche de la frontière, et son chateau perché, grâce à la rubrique d'un site personnel par ailleurs recommandé.Pas de blabla, que des clichés qui illustrent parfaitement la présence Croisée et l'atmosphère parfois médiévale qui se dégage des contrées Libanaises.

Les villes Libanaises sur Geocities, cliquez sur le point rouge dans la carte du Liban pour accèder directement sur la page ou le site de la ville ou du village selectionné.La plupart du temps, le contenu est seulement en Anglais, mais au moins rien ne pourra vous échapper dans les moindres détails si vous le maitrisez.

Liens vers des villes et villages du Liban, grâce à une bonne rubrique du Site-Web Libano-Américain, Berro.com

Des sites touristiques...

 

Grottes de Jeita


Les Grottes de Jeita, une merveille de la nature au Liban, comme l'annonce fièrement la société Mapas qui gère de façon moderne ce fameux site du pays depuis plus de 3 années.Situé à une vingtaine de kms au Nord de Beyrouth, non loin du site de Nahr el Kalb, il est un classique pour le touriste qui découvre le pays et qui aura de surcroit le bonheur de trouver, surtout en été, une inestimable fraicheur dans ces lieux magiques.

La Forêt des Cèdres, découvrir ce site à la fois grandiose et fragile grâce au site-web de l'association - Comité des Amis de la Forêt des Cèdres.C'est un endroit ou plus qu'ailleurs, tourisme rime avec nécéssité de la protection de l'environnement.Le site propose une option bilingue, ce qui lui donne un atout de plus.

La Vallée Sainte du Liban, grâce à une émission religieuse de la Télévision Française, voilà une bonne présentation générale de la Qadisha, berceau des Maronites, classé site naturel mondial par l'UNESCO; vous pourrez ainsi visiter ses principaux sites comme Kozbaya et son célèbre monastère.

Kozaya dans la  Vallée Sainte

Cèdres du Chouf, ce site est là pour vous rappeler que des efforts sont entrepris pour maintenir une réserve naturelle dans cette zone qui constitue un des piliers du patrimoine du Liban en ce qui concerne les Cèdres.Il y a dans la région du Chouf, et de Barouk en particulier, probablement beaucoup plus de cèdres qu'à la forêt des cèdres proprement dite...Saluons les efforts de tous ceux qui se préoccupent de la sauvegarde de l'environnement dans ce Pays des Cèdres ou l'histoire récente l'a tant malmené!

Notre Dame du Liban, ce lieu sanctuaire, connu sous le nom de Harissa, est un lieu de visite quelque soit votre croyance et de pélerinage incontournable pour les chrétiens qui visitent le Liban. A une vingtaine de kms de Beyrouth, la vue dominant la superbe baie de Jounieh vous coupera le souffle et donne au lieu une dimension spirituelle incontestable.

Cliquez ci-dessous!

Notre Dame Harissa , un bien des sites symbole de la Chrétienté en Orient et de ce que l'on appelle souvent le Liban Chrétien..Elle surplombe majestueusement la baie de Jounieh à 600 mètres d'altitude et vous pourrez même vous y rendre en téléférique si vous cherchez les émotions avant même de lui rendre visite.Sachez que chaque 1er Mai, ce sont des milliers de Libanais qui se rendent.. à pied pour honorer la Sainte-Vierge.

Les Sites de la Vierge au Liban, localisation et explication judicieuse dans cette liste préparée pour le site OpusLibani et très utile aux touristes pour qui ce thème peut très bien constituer un circuit d'excursions Intérieures.

Téléphérique, visitez avec curiosité le site de la Société d'exploitation du fameux téléphérique sous lequel vous passer en empruntant l'Autostrade de Jounieh, histoire d'imaginer les sensations que peut procurer l'ascension vers Harissa.Mais, rien ne vaut la réalité!

Chateau Moussa,

En pleine région du Chouf, avant d'arriver à Deir-el-Kamar et Beit-ed-Dine, il faut découvrir l'histoire de ce chateau sorti comme d'un conte de fée mais bien réel grâce à la volonté d'un seul homme.Le site internet n'est qu'en Anglais pour le moment, mais les visites sont aussi assurées en Francais.Ce site-touristique, cette fois- est vite devenu incontournable pour tout visiteur du Liban et celui-ci trouvera sur place une boutique- souvenir ou il lui sera difficile de resister aux tentations compte tenu du charme des lieux...

Khiam, un excellent reportage de l'équipe de Magazine, réalisé un an après la libération du Sud et des prisonniers de ce qui était un véritable camp de concentration à l'aube du XXIème siècle!

Porte de Fatmé (ou de Fatima ), Libanvision prépare un reportage et une page spéciale sur ce lieu de promenade voire de pélerinage, situé sur la municipalité de Kfar Kila et devenu le symbole de la libération du Sud-Liban le 24 mai 2000.

De Beyrouth à Istambul, à Bicyclette...préparatifs et récits d'un voyage pour le moins original !

Toutes les Brochures du Ministère du Tourisme sur les villes et les principaux sites touristiques, de Beyrouth au Sud avec Saida ou Tyr ou au Nord avec Bcharré et la Vallée de la Qadisha en passant par Jeita ou le Chouf et Beit ed Dine.....Le tout exclusivement en Français!

Schoolnet, une excellente page au sein de ce site-réseau éducatif présenté dans notre rubrique Education; n' hésitez pas à faire le tour des principales villes libanaises grâce à cette initiative de Mr Lammine Abdou.

Bien d'autres municipalités comme Baabdath, Choueifate ou encore Deir el Qamar, Bécharré au Nord et Bint-Jbeil au Sud préparent des sites internet pour se faire connaitre; espèrons qu'en cette année de la Francophonie, elles ne négligerons pas la part qu'elles se doivent de réserver au Français pour rayonner autant qu'elles le méritent!

 


Du Liban, découvrez la Syrie...


Carte fournie par Jasmintours - Syrie -




Bon à Savoir:
Accord de coopération entre le Liban et la Syrie conclu en Février 2002