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Sortie dans les librairies du dernier roman d'Alexandre Najjar.
--- BERLIN 36 ---
Vient de paraître Pour Alexandre Najjar, un écrivain se doit de « défendre des valeurs, pas des idéologies ». Fidèle à ses convictions, l'avocat-écrivain poursuit cet objectif de livre en livre. Et plus que jamais dans « Berlin 36 », son dernier roman, qui vient de paraître aux éditions Plon.

Ce roman est celui d’un événement : les jeux Olympiques de Berlin, organisés par le IIIe Reich en 1936. Autour de cette manifestation gravite une foule de personnages manipulateurs ou pittoresques : le Führer, bien déterminé à leurrer le monde en affichant un masque paci­fique de l’Allemagne ; Jesse Owens, l’athlète noir qui défiera les Nazis et leurs théories racistes en remportant quatre médailles d’or ; les ministres Goebbels et Göring, qui déploient mille stratagèmes pour instrumentaliser les Jeux ; le baron Pierre de Coubertin, icône déchue qui se fourvoie en soutenant les organisateurs ; Leni Riefenstahl, l’égérie du Reich, cinéaste exigeante et capricieuse chargée de fixer sur pellicule la spectaculaire mise en scène de l’événement ; Oskar Widmer, un pianiste de jazz qui, tant bien que mal, résiste à la déferlante nazie ; Pierre Gemayel, un jeune Libanais de passage, qui découvre avec étonnement l’envers du décor ; enfin, Claire Lagarde, une courageuse journaliste française qui, en couvrant les Jeux, rencontre subitement l’amour…
Dans un roman foisonnant, Alexandre Najjar met habilement en scène ces personnages, réels pour la plupart, fictifs pour quelques-uns, afin de nous raconter, comme une valse à trois temps, les jeux Olympiques de Berlin et dénoncer, à travers cet événement, le racisme et le terrorisme intellectuel qui sévissent encore de nos jours.
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Alexandre Najjar devant le mémorial dédié à Jesse Owens à Oakville.

«Pour moi, Jesse Owens n'était pas seulement l'athlète accompli qui avait brillé aux Jeux olympiques de Berlin, c'était aussi l'homme qui avait surmonté la ségrégation qui minait son pays et ridiculisé les théories de la suprématie aryenne prônées par les nazis. Au Liban, j'avais, comme lui, connu les "apartheids" et la résistance aux "ténèbres organisées": je ne pouvais rester insensible à son combat contre le racisme et la haine », écrit Alexandre Najjar dans le prologue de Berlin 36.
Né de l'admiration de l'auteur pour Jesse Owens, ce roman - dont les premières pages ont les accents émouvants de La Case de l'oncle Tom ! - n'est pas tant une biographie de l'athlète noir, dont la victoire aux Jeux de Berlin, en 1936, fut un véritable camouflet pour Hitler, qu'une fresque brossant, autour d'un événement historique, les manœuvres sournoises du nazisme. Ce régime qui, sous couvert d'un visage civilisé de l'Allemagne et de ses intentions pacifiques, va chercher, par le biais de la caution des organisateurs des Jeux olympiques, à récupérer cette manifestation pour en faire un véritable instrument de propagande.

Hitler et ses ministres...
C'est donc autour de cet événement sportif, organisé par le IIIe Reich en 1936, que vont graviter les personnages - la plupart bien réels, d'autres fictifs - de ce roman historique. Où l'on voit défiler, dans une succession de petits chapitres, comme autant de courtes séquences, Hitler et ses ministres Goebbels et Göring, Leni Riefenstahl, égérie du régime et fameuse réalisatrice du film Les Dieux du stade, le baron Pierre de Coubertin, fondateur des Jeux, et...Pierre Gemayel, jeune président idéaliste - et patriote! - de la Fédération libanaise de football, de passage dans la capitale allemande. Mais aussi, parmi une foule d'autres personnages, Oskar Wilmer, un pianiste de jazz (musique considérée « noire » et prohibée par les nazis), et Claire Lagarde, une journaliste française venue couvrir les Jeux. Un duo qui, outre l'histoire d'amour qui se noue entre eux, devra faire face au « terrorisme intellectuel » du régime
hitlérien.

Passé et présent
On l'aura compris, dans ce dernier roman, comme dans la majorité de son œuvre précédente, Najjar met l'accent sur les analogies entre passé et présent. Le lecteur ne manquera pas d'identifier les correspondances entre le régime nazi et les phénomènes totalitaires, idéologiques et d'embrigadement des masses qui prédominent au Moyen-Orient. Tout comme il ne manquera pas d'établir un parallèle entre le récent appel au boycott des Jeux olympiques de Pékin pour cause de désaveu de la politique chinoise en matière de droits de l'homme et celui qui eut lieu plus de sept décennies plut tôt !
Écrit d'une plume limpide et basé sur une solide documentation, pour laquelle l'auteur s'est rendu à Berlin, à Lausanne, au Musée de l'Olympisme et sur les traces de Jesse Owens à Chicago, Alabama et Ohio, sans oublier les recherches entreprises dans les archives de L'Orient-Le Jour (l'auteur reproduit un article de Pierre Gemayel envoyé à L'Orient en 1936, publié dans le «Courrier des lecteurs» et dans lequel il regrettait l'absence de participation du Liban aux Jeux!), Berlin 36 est d'une lecture prenante.
Une fresque qui fait habilement se rencontrer les dieux du stade, de la guerre et de l'amour...

Lu ou entendu dans les médias sur Berlin 36

- "Un roman bouleversant et riche d'enseignement."

(France Culture)

Dans « Berlin 36 », Alexandre Najjar réunit les dieux du stade, de la guerre et de l’amour
Par Zéna ZALZAL | 05/09/2009
-"Ecrit d'une plume limpide et basé sur une solide documentation (...), Berlin 36 est d'une lecture prenante. Une fresque qui fait habilement se rencontrer les dieux du stade, de la guerre et de l'amour."

(L'Orient-Le Jour)

"Un nouveau roman d'Alexandre Najjar, une nouvelle plongée dans l'histoire avec une foule de personnages passionnants qu'on accompagne jusqu'au bout du livre pour le fermer à regret sans vouloir le quitter."
(La Revue du Liban)

"Alexandre Najjar est, à juste titre, considéré comme l'un des auteurs libanais de référence. Fasciné par le destin de Jesse Owens, désireux à sa manière de raconter les Jeux de Berlin de 1936, il a compulsé quantité de documents et rencontré d'innombrables témoins... L'essentiel est là : la mise en échec d'une idéologie bousculée par le talent parfaitement imprévisible de Jesse Owens."
(L'Equipe Magazine)

"Les doigts du romancier ont réussi à façonner l'Histoire."
(An Nahar)



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