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Le programme des vols Menajet commence
Menajet

Fin Décembre 2004
Menajet lance un vol hebdomadaire entre Beyrouth et Charleroi Bruxelles Sud

A partir de ce 22 décembre, la compagnie libanaise Menajet opèrera un vol hebdomadaire entre Beyrouth, Capitale du Liban et Charleroi Bruxelles Sud (situé à 46 km de Bruxelles).

Le vol sera effectué tous les mercredi avec un Airbus A320 d’une capacité de 155 places. Il s’agit d’un vol charter commercialisé sous forme de package (vol + hébergement). Ces packages sont commercialisés dans les agences de voyage de Belgique par TAJ Travel . Dès avril 2005, Menajet devrait passer à deux fréquences par semaine.
Les renseignements sur les vols et hébergements peuvent être obtenus chez TAJ Travel, Boulevard Lemonnier, 158 (02.512.24.84) ou dans toute agence de voyages.


Horaires jusqu'à fin Janvier 2005
Charleroi Bruxelles Sud - Beyrouth
Vol IM122 depart 12:10 arrivée 17:20 Le Vendredi sur A320 du 221204-280105
Beyrouth - Charleroi Bruxelles Sud
Vol IM121 depart 06:30 arrivée 11:10 Le Vendredi sur A320 du 221204-280105
Compagnie libanaise lowcost prête à décoller!
L'équipe de Menajet au grand complet lors de la livraison de l'avion à l'Aéroport de Beyrouth

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de présentation de la compagnie

Le voyage à l'état pur!

13 Août 2004
Cette fois c'est bien réel! l'Airbus A320 aux couleurs de Menajet s'est posé pour la première fois à l'Aéroport international de Beyrouth, en provenance de Bordeaux.
C'est donc le Vendredi 13 Août 2004 à 15 heures locales que le premier vol commercial de Menajet à destination de Dalaman en Turquie a quitté l'AIB
LibanVision dit donc à toute l'équipe (notre photo ci-dessus) Mabrouk! Nous exprimons aussi le vif souhait que la desserte d'une ou plusieurs destinations en France devienne vite une réalité pour le bénéfice des libanais de France ou d'Europe mais aussi de tous les amoureux du Liban.

LBV

Le Programme des Destinations Menajet *
Lundi
Venise > Rome
Mardi
Dalaman
Rhodes
Sharm El Sheikh
Mercredi
Bodrum
Corlu
Jeudi
Antalya
Vendredi
Dalaman
Sharm El Sheikh
Samedi
Madrid > Malaga
Dimanche
Gênes > Paris (Beauvais)


* valable pour la période Mi-Août à Fin Septembre 2004,
sous réserves de modifications
Prix communiqués ultérieurement...

Stratégie d’entreprise Menajet à la frontière entre low cost et charter
Par Charif KOJOK

02 Mars 2005- Menajet est entrée en piste, mais pas du côté où on l’attendait. La nouvelle compagnie aérienne, créée selon le modèle des low cost, n’a finalement été autorisée qu’à pratiquer des vols charters. Menajet est soumise à une loi élaborée en 1992 dans le but de protéger les intérêts de la Middle East Airlines (MEA) et qui empêche jusqu’en 2012 toute création au Liban d’un autre transporteur aérien pour les lignes régulières. De plus, Menajet ne dispose pas du droit de faire de la publicité pour ses vols ou de vendre ses billets directement aux particuliers. Les autorisations de vols qui lui sont délivrées sont temporaires, sans garantie de prorogation, et s’appliquent uniquement à des destinations non desservies par la MEA, donc a priori non rentables ou peu fréquentées.
Une dépendance aux tour-opérateurs
Un changement de cap à 180 degrés pour la nouvelle compagnie aérienne qui se retrouve aujourd’hui à proposer des services de taxi volant aux tour-opérateurs. Des vols sont actuellement organisés pour le compte des voyagistes libanais Nakhal et allemand TAJ. Ces derniers prennent en charge l’affrètement de l’avion, déterminent les périodes et les dates de vols, choisissent les destinations à desservir, élaborent les prestations à offrir à bord (repas, boissons), se rémunèrent sur la vente des billets qu’ils commercialisent et associent au vol d’autres prestations obligatoires pour le voyageur (hébergement sur place, circuits touristiques…). Il n’est pas évident dans de telles conditions d’apparaître comme le moins cher du marché pour Menajet dont le business-plan prévoyait la commercialisation de vols « secs » sans prestations ajoutées, et sans passer par l’intermédiaire des agences de voyages.
Des coûts d’exploitation réduits
Commencer ses opérations avec une licence charter permet toutefois à Menajet de s’immiscer en douceur sur le marché du transport aérien à bas tarif, d’en comprendre ses spécificités et de peaufiner au mieux sa stratégie pour le futur. « L’activité charter n’est rentable que six mois de l’année, d’avril à octobre, quand la demande est forte, les avions pleins, et que les clients acceptent de payer le surplus imposé par les tour-opérateurs. En dehors de cette période, l’idéal serait de pouvoir proposer des offres low cost, quand les départs sont moins nombreux et que les clients sont plus regardants sur les prix », admet Riad Mikaoui, PDG de la compagnie, qui continue donc à lutter pour l’obtention d’une licence de compagnie régulière. En attendant, Menajet, même avec un taux de remplissage limité à 30 %, affirme être déjà compétitif sur les prix grâce à sa politique de coûts réduits. Avion sans classe affaires et loué pour éviter d’immobiliser du capital, repas offerts uniquement sur les vols long-courriers, recours systématique à la sous-traitance pour limiter les frais fixes, personnel réduit au strict minimum et rémunéré en partie à l’heure de vol : la compagnie aérienne applique déjà les recettes qui ont fait des compagnies à bas tarifs les champions de la flexibilité et de la compétitivité.
Objectifs :
éviter une dégradation de la situation financière et être prêt à se lancer véritablement dans la guerre des prix lorsque le Liban acceptera d’appliquer sa politique de ciel ouvert à tous. Y compris aux compagnies locales privées.



La première rotation Beyrouth-Paris/Beauvais-Beirut
( via Gênes/Italie) est programmée pour le Dimanche 22 Août!
*

Communiqué
Le vol charter Paris/Beyrouth du 22 Août 2004 affrêtés par Piel Voyages Paris & Nakhal partira finalement
du terminal T3 de Roissy CDG et sera assuré par
la Compagnie Axis-Airways.
Départ programmé à 9h15 avec escale à Gênes

>>> plus de détails?


Regard sur la destination France via
l'Aéroport Paris-Beauvais-Tille


Petits prix et grandes facilités!

L'Aéroport de Beauvais se situe à Tillé à 5 kms environ du centre-ville.
Beauvais n'est distant de Paris que de 68 kms par l'Autoroute A16.
Pour faciliter les transferts, de fréquentes navettes d'Autobus
partent de Paris, à la Porte Maillot,

connue des visiteurs étrangers et situé secteur Nord-Ouest de la capitale.
Le prix du trajet de 10 Euros est réservé aux passagers munis d'un billet d'avion. Certains tours-opérators ou compagnies vous l'offrent parfois.
A titre indicatif, l'Aéroport de Beauvais se situe à moins de 60 kms au Nord-Ouest de l'Aéroport de Roissy-Charles de Gaulle



L’aéroport de Beauvais dans la cour des grands...
grâce aux compagnies à petits prix

Plus de 3 millions de passagers ont désormais utilisé l’aéroport picard. Jacky Lebrun et Marc Amaudry, respectivement président et directeur de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Beauvais, ont présenté ce résultat vendredi en présence de responsables marketing et communication de Ryanair, Paul Fitzsimmons et Carole Arnaud-Battandier. Car ce succès indéniable est bien le fruit d’un véritable partenariat entre la compagnie aérienne irlandaise « low costs » - bas coûts- (ou plutôt « low fares » - bas tarifs- selon la propre terminologie du transporteur) et un aéroport dont la vocation aurait pu rester uniquement régionale.
Lorsque Ryanair s’installe le 1er mai 1997, l’aéroport de Beauvais n’emploie que 22 salariés au service de 60.000 passagers. Aujourd’hui, les 500 salariés travaillent au sein d’un aéroport résolument européen où près de 1 million de passagers ont transité en 2003. Même si les compagnies Sterling et Wizzair sont présents, Ryanair assure à elle seule près de 75% du trafic passager de l’aéroport, reliant « Paris-Beauvais » à l’Italie, l’Espagne, la Suède, l’Ecosse et bien sur, l’Irlande. La CCI de Beauvais reste très sereine en dépit de cette dépendance évidente.
Courant 2005, un nouveau terminal devrait voir le jour pour un investissement total de 15 millions d’euros, financés par moitié par la CCI et les collectivités locales.
Les indicateurs sont au beau fixe : près de 40% des passagers l’utilisent au moins 4 fois par an, près de 48% sont des voyageurs d’affaires (contre 10% il y a 5 ans). Beauvais a ainsi la capacité de fidéliser une clientèle qui n’est pas celle qu’on croit. Et la zone de chalandise est vaste : Paris bien sur, mais aussi les métropoles régionales que sont Amiens, Rouen, Reims ou encore Cergy-Pontoise. L’aéroport de Beauvais devrait bientôt rentrer dans le club des 10 principaux aéroports français en terme de passagers transportés. En liant délibérément son destin à celui des compagnies « low costs », Beauvais se veut un aéroport de niche. Vu l’ambition sans faille affichée par Ryanair, ce pari en forme de partenariat pourrait continuer de s’avérer payant. »

Source: Tourisme4pro.com - Avril 2004

Menajet étudie la faisabilité de créer d'autres liaisons entre Beyrouth et la France, notamment vers Lyon ou Marseille; LibanVision, vous tiendra bien entendu informés en temps réel des évolutions significatives de ces dossiers vitaux pour le développement de l'économie du tourisme libanais et des relations entre le Liban et la France.

Communiqué concernant l'incident technique du Vol Malaga-Rhodes-Beyrouth

Les responsables sont unanimes : « La panne du charter était bénigne »
L' avion de Menajet est conforme à toutes les mesures sécuritaires

L’affaire de l’avion charter libanais qui a atterri le samedi 14 Août à Rhodes à la suite d’une panne technique continue de susciter des réactions de la part de toutes les parties concernées. L’avion, qui transportait 110 Libanais qui rentraient de vacances d’Espagne, a eu une panne pendant le vol, ce qui a poussé le pilote à atterrir à Rhodes. Hier, la société d’aviation privée Menajet a publié un communiqué dans lequel elle a rectifié les informations diffusées par les médias au sujet de cet incident. Les responsables de la société affirment tout d’abord que l’avion utilisé lors de ce vol (Beyrouth-Malaga-Beyrouth) « est du type Airbus 320-211, qui est l’un des appareils les plus modernes employés par l’aviation internationale, sachant que cet avion en particulier est soumis, de manière régulière et toutes les fois qu’il atterrit, à un contrôle sécuritaire stricte, conformément aux réglementations internationales ».
La direction de la société, qui a en outre tenu à préciser que la sécurité des voyageurs est une règle incontournable, a ajouté que l’avion en provenance de Malaga « n’a pas atterri de manière forcée à l’aéroport de Rhodes », comme mentionné dans la presse, mais que c’est le pilote qui a décidé de le faire « par mesure préventive lorsqu’il s’est rendu compte que l’appareil consommait une plus grande quantité d’huile, d’où sa décision de faire escale à Rhodes pour s’assurer de la gravité du problème ». « Une fois le contrôle effectué, l’avion a repris son vol en toute sécurité à destination de Beyrouth », a encore précisé le communiqué, ajoutant que seul le département de communication de la société est habilité à donner des informations sécuritaires sur l’avion. Le texte du communiqué ajoute que « cet appareil répond à toutes les conditions sécuritaires requises, indiquant que les rapports techniques établis par les autorités officielles l’ont déjà confirmé à plusieurs reprises ». Et d’ajouter que l’avion en question est enregistré en France selon les règlements de l’aviation civile internationale.
Rappelons qu’un des passagers avait affirmé dimanche à une chaîne de télévision locale que l’avion a été « forcé d’atterrir à Rhodes et que les passagers ont été contraints de rester dans l’avion alors qu’ils demandaient à changer d’appareil ». À ce sujet, le responsable de l’agence de tourisme libanaise qui a loué l’avion a affirmé à L’Orient-Le Jour que les passagers « n’ont pas été interdits de quitter l’avion par le représentant de l’agence, mais plutôt par les autorités grecques qui avaient catégoriquement refusé de laisser sortir les passagers qui n’avaient pas de visa », soulignant que l’agence avait entre-temps réservé des chambres d’hôtel à Rhodes pour tous ceux qui le désiraient.
Le responsable de l’agence a en outre confirmé que le problème technique rencontré par la société Menajet « n’est pas aussi grave que l’ont décrit les médias » sur base du témoignage donné par notre collègue Hoda Chédid, qui se trouvait à bord de l’avion. « C’est par mesure de sécurité et pour éviter de prendre des risques inutiles que le capitaine de l’avion a décidé de se poser à Rhodes alors qu’il aurait pu facilement le faire à Beyrouth », a indiqué cette source à L’Orient-Le Jour en insistant sur les « conditions sécuritaires extrêmement vigilantes » auxquelles a été soumis l’avion en question. D’ailleurs, « c’est précisément à cause de ce qui s’est passé à Cotonou que les autorités libanaises ont imposé des conditions sécuritaires aussi rédhibitoires à Menajet », a-t-il ajouté. Cette société a tenu en outre à rappeler dans son communiqué que l’avion charter loué par la même agence de voyages et qui a décollé de Beyrouth à destination de Malaga « n’est pas un avion relevant de la société Menajet ».
Rappelons que cet avion, qui appartient à une société privée non libanaise, a été interdit de vol jeudi dernier par les autorités françaises et italiennes pour « non-conformité aux règles de sécurité ». Menajet précise n’avoir aucun lien ni de près ni de loin avec cet appareil.
Pour sa part, le directeur de l’aviation civile libanaise, Hamdi Chok, a affirmé que cet « incident bénin est dû à une panne qui arrive parfois et que régissent des critères techniques bien précis ». « Cette société (Menajet) a obtenu un permis d’exploitation au Liban. Elle est immatriculée en France et entretenue par l’une des sociétés les plus connues d’Europe, Sogerma ».
Et d’ajouter : « Nous comprenons que les passagers aient pu avoir des plaintes au sujet de problèmes qu’ils ont eus avec l’agence de tourisme qui a organisé ce voyage. Notre rôle est toutefois de nous assurer que les critères sécuritaires requis sont respectés pour que la société de transport puisse poursuivre ses vols », a précisé M. Chok.
Entre-temps, les passagers qui accusent l’agence de voyages d’avoir manqué à ses obligations ont décidé d’intenter un procès contre elle pour dénoncer notamment les longues heures d’attente à l’aéroport de Malaga – 12 heures en tout – et le mauvais traitement qu’ils ont subi à Rhodes.

Une réunion est prévue aujourd’hui à cette fin pour confier le dossier à une avocate qui se trouvait, elle aussi, à bord de l’avion. Par ailleurs, le ministre des Transports, Najib Mikati, qui a pris connaissance du dossier, a affirmé hier que « l’année dernière était une des meilleures années sur le plan de la sécurité des vols (aériens) », précisant que « les accidents dans le monde n’ont pas dépassé le nombre de sept, qui, malheureusement, se sont soldés par 300 victimes ».
M. Mikati, qui s’adressait à l’occasion de la réunion de la délégation libanaise qui participera à l’assemblée générale de l’aviation civile à Montréal, le 12 septembre prochain, a souligné que la délégation s’est dit « rassurée des mesures sécuritaires de l’aviation civile ».



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