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Tanger, la renaissance, un dossier

Médi1 Sat veut devenir la première chaîne franco-arabe
du bassin méditerranéen

C'est la petite dernière des chaînes d'informations internationales. Lancée le 6 décembre 2006 à Tanger, balcon marocain entre Orient et Occident, Médi1 Sat a démarré doucement en se positionnant comme une chaîne de proximité s'adressant en priorité aux populations du Grand Maghreb.
Diffusée par satellite de 14 à 20 heures, la chaîne propose, pour le moment, de courts bulletins d'information chaque demi-heure et quatre journaux de douze minutes entre 18 et 20 heures, alternativement en arabe et en français.
Dès le 12 mars, d'autres journaux devraient être diffusés à la mi-journée et des éditions matinales sont en préparation pour septembre. La chaîne compte déjà de nombreux correspondants à travers le monde et s'est assuré la collaboration de plusieurs éditorialistes de la presse française. "Nous n'avons pas l'ambition de concurrencer les grandes chaînes internationales comme Al Jazira, la BBC ou CNN, affirme Pierre Casalta, PDG de la chaîne. Notre but est de devenir la première chaîne tout info du grand bassin méditerranéen et de la communauté maghrébine en Europe."

Homme d'influence et de réseaux, Pierre Casalta est un professionnel des médias, qui dirige ses équipes avec vigueur et autorité. "Un bourreau de travail", disent ses collaborateurs. En 1980, dans un environnement audiovisuel verrouillé, il a créé Médi1, la première radio commerciale franco-marocaine impulsée par le roi du Maroc, Hassan II, et Valéry Giscard d'Estaing.
Aujourd'hui, Médi1 est une référence en Afrique du Nord, avec une audience estimée à 23 millions d'auditeurs, et reste le fer de lance du groupe.
Financée à 56 % par des capitaux marocains et par la Compagnie internationale de radiotélévision (CIRT), filiale française de la Caisse des dépôts et consignations, Médi1 Sat, dotée d'un capital de 15 millions d'euros, vient compléter le dispositif avec l'objectif de s'imposer parmi les nombreuses chaînes satellitaires arabes.

UN "STUDIO ÉCOLE"
Installée dans un bâtiment ultramoderne dans la zone franche de Tanger, la rédaction de Médi1 Sat est composée d'une cinquantaine de journalistes issus de huit nationalités. D'une moyenne d'âge de 25 ans, ils ont été recrutés dans plusieurs pays de la Méditerranée ou proches (Algérie, Tunisie, Maroc, Irak, Emirats, France) et sont tous passés par le "studio école" intégré à la chaîne. En quelques semaines, sous la conduite de professionnels de l'audiovisuel, ils ont appris comment tourner un sujet, le commenter, le monter et le présenter.

Pour le moment, dans la "news room" entièrement numérisée, ils ne font que du "desk" avec des commentaires sur des images issues des agences internationales indexées dans les serveurs de la rédaction. "Cela peut être frustrant de ne pas aller sur le terrain, reconnaît Denis Wittenberg, rédacteur en chef francophone arrivé de France 3 Auvergne et d'Euronews, mais le desk est un exercice noble qui permet de maîtriser certains dossiers et d'affirmer la sensibilité et le regard sur le traitement de l'information". "On informe, on ne commente pas", résume Youssef Belhaissi, jeune journaliste marocain.

Ainsi, pour les sujets sensibles concernant le Proche-Orient, les journalistes n'hésitent pas à dire (en arabe et en français) que les poseurs de bombes sont des "kamikazes" et non des "soldats de Dieu", parlent ouvertement de "terrorisme" et citent les "autorités israéliennes". Une petite révolution pour les téléspectateurs arabes branchés sur Al-Jazira.

"Nous ne sommes pas là pour faire de la propagande", souligne Marc Saikali, directeur de la rédaction, ex-chef du service étranger de France 3. "Depuis que je suis là, je n'ai jamais connu de pressions de qui que ce soit", affirme-t-il. Selon lui, en jouant la proximité, Médi1 Sat ne s'est pas trompée. Pour preuve, quelques jours avant le lancement de la chaîne, Al Jazira a diffusé son premier journal destiné spécifiquement à l'Afrique du Nord depuis son bureau régional de Rabat.

Article de Daniel Psenny paru dans Le Monde-édition du 10 février 2007

Coopération entre Médi1 Sat et LCP-Assemblée nationale
La chaîne parlementaire LCP-Assemblée nationale (LCP-AN) et Medi1 Sat ont signé, le 7 février, un accord de coopération portant sur des acquisitions croisées de programmes, la production d'émissions spéciales et des échanges réguliers d'information entre les rédactions. Ainsi, Medi1 Sat diffusera, chaque semaine, l'émission de LCP-AN consacrée à l'élection présidentielle 2007 vue par les médias "Parties de campagne". Medi1 Sat réalisera, par ailleurs, dans les studios de LCP-AN, l'émission hebdomadaire "Aujourd'hui, rencontre avec..." qui réunira, sous la houlette du journaliste Patrice Martin, les grandes figures maghrébines (intellectuels, universitaires...) vivant en Europe.
Les deux chaînes ont aussi décidé, à la faveur de l'actualité internationale, de produire des émissions spéciales, à Paris ou à Tanger.


Lancement officiel de Medi 1 Sat !

depuis le 1er Décembre 2006 à 14 heures locales
visible en clair sur le satellite Hotbird 7A (13.0E) - 12673.00 V
DVB-S - QPSK - 27500 3/4 - NID: 4369 - TID: 1 - Txp: 98 - Faisceau: Europe
audio: 2051 français; 2052 arabe
Site-web officiel à partir du printemps 2007: www.medi1sat.ma

La Chaîne d'information bilingue (Arabe-Français) Médi-1 Sat, a entamé la diffusion de ses programmes le vendredi 1er décembre 2006 à 14h00.

La chaîne franco-marocaine installée dans la zone franche de Tanger émettra, via le satellite Hotbird, avec un temps d'antenne quotidien de six heures (14h00 à 20h00). Une diffusion qui passera, à terme, à 24h sur 24.

Au programme quotidien de la chaîne d'information bilingue, plusieurs flashs d'information, deux JT en arabe et en français, des magazines et des documentaires.

Leila Bouzidi, journaliste algérienne, présente le premier journal de la chaîne.

Dans les locaux flambant neufs et dotés d'équipements numériques de dernière génération, s'active un staff constitué d'une centaine de personnes, dont une trentaine de journalistes.
Présence libanaise dans la rédaction et le management
Le casting de haut niveau pour cette chaîne a réuni des journalistes expérimentés de différentes nationalités. Des journalistes marocains, tunisiens, algériens, jordaniens et syriens au desk arabe. Des franco-marocains, des français et des suisses au desk français.
Une équipe supervisée par le directeur de l'information libanais, Marc Sekali.
Côté technique, la régie de la chaîne est dirigée par l'expérimenté Paul Hitti.
Un talentueux professionnel qui avait supervisé le lancement de grandes chaînes arabophones d'information telles MBC, Abou Dhabi TV ou Al-Hourra.

Au test de diffusion, deux heures de direct mercredi dernier, la réactivité et le dynamisme de l'équipe de Médi-1 Sat ont été mis à l'épreuve avec succès.
Outre l'incontournable information internationale, la chaîne sera soucieuse de décliner sa particularité régionale à travers une programmation ciblant les téléspectateurs maghrébins. Il s'agit notamment de magazines ou de ''talks-show'' qui auront pour vocation de traiter de la réalité de la vie quotidienne et de l'évolution des sociétés de la région du Maghreb.

Médi-1 Sat, la pionnière de la libéralisation du secteur de l'audiovisuel marocain, est un projet doté d'un budget de trois millions euros, soit près de 33 millions dh.
La société Médi-1 Sat, créée en novembre 2002, est dotée d'un capital de 15 millions euros détenu à 56 % par des actionnaires marocains (à parts égales entre Maroc Télécom et la CDG) et à 30 % par des actionnaires français (compagnie internationale de Radio-Télévision -CIRT-).

Le tour de table est bouclé à hauteur de 14 % par Radio Méditerranée internationale (dont l'actionnariat est à 51 pc marocain et 49 pc français).
La chaîne diffusera son premier journal télévisé en arabe à 18H00 suivi, au bout de chaque demie-heure d'un JT en arabe ou en français jusqu'à la fin des émissions
à 20H00.

La naissance de Medi1 Sat quelques jours avant celle de France 24 qui sera lancée entre le 6 et le 7 décembre 2006, avec un format en arabe dès 2007, est une excellente nouvelle pour la francophonie dans le monde arabe et la pérennité de la coexistence de leur usage, particulièrement
entre le Maghreb et le Machrek.


Le Maroc part à la conquête des téléspectateurs maghrébins
Par Sammy KETZ



TANGER (AFP) - Le Maroc, en inaugurant vendredi la chaîne satellitaire d'information en continu Medi1 Sat, se lance à la conquête des 80 millions de téléspectateurs du Maghreb, déjà convoités par les télévisions du Golfe et du Moyen-Orient.
"Notre périmètre est bien défini: nous voulons être la première chaîne d'informations du Grand Maghreb et de la communauté maghrébine en Europe", affirme le patron de la chaîne, le Français Pierre Casalta (en photo ci-dessus), qui a lancé avec succès en 1981 Medi1, radio en français et en arabe, trés écoutée dans la région.

Dans la zone franche de Tanger, il a bâti sur un terrain de 20.000m2, un immeuble de deux étages de 4.650m2 avec deux studios: l'un pour la présentation des bulletins d'information et l'autre pour les débats.
La construction et les équipements techniques ultra-performants ont coûté 14 millions d'euros et les frais de fonctionnement annuel sont estimés à 15 millions d'euros, qui devraient être financés par la publicité.

Cette station privée compte une centaine d'employés dans leur quasi-totalité marocains, ainsi que 29 journalistes répartis pour moitié de francophones et d'arabophones, eux-mêmes de huit nationalités: marocaine, libanaise, syrienne, algérienne, jordanienne, tunisienne, française et suisse.
La moyenne d'âge est de 28 ans.

Le capital est majoritairement marocain: 26 pc à Maroc Telecom, 26 pc à la Caisse des dépôts et de gestion, 14 pc à la radio Medi1 et 34 pc à un consortium français, la CIRT, qui compte la Caisse des dépôts et consignation.

Dans un premier temps, la télévision diffusera de 14H00 à 20H00, avec des flashs d'information de cinq minutes en arabe et en français toutes les demi-heures, et deux grands journaux de 25 minutes dans les deux langues à 18H00 et 19H00.
Plus tard, elle étendra ses programmes au matin puis à la soirée. Elle devrait diffuser des documentaires, des talk-shows, mais dans l'immédiat pas de sa propre production.

"Notre principe c'est la rigueur, l'honnêteté, la clarté d'écriture sans prendre parti", explique le directeur de la rédaction Marc Saikali, 42 ans,
Français d'origine libanaise.
Quand on demande à cet ancien chef du service étranger de la chaîne française FR3, si on lui a fixé des "lignes rouges", il répond par la négative. "Nous parlons du Sahara occidental et nous diffusons un sujet sur le roi du Maroc Mohammed VI si nous jugeons que cela s'impose dans l'actualité", ajoute-t-il.

Détail révolutionnaire pour la région, il n'y a pas de présentateur vedette: chaque journaliste écrit son commentaire, monte lui-même ses images et mixe le son.

"On joue l'empathie avec le public: les présentateurs sont sympathiques, jeunes, ne cherchent pas éblouir et n'ont pas le visage hiératique comme c'est le cas des chaînes du Golfe", explique Pierre Casalta.

Les journaux en arabe et en français ne sont pas dupliqués. "Il s'agit de les faire dans le même état d'esprit mais il faut qu'ils soient complémentaires",
assure Marc Saikali.

Le 1er décembre, c'est une journaliste algérienne, Leila Bouzidi, qui présentera le premier journal de la chaîne. "Je suis venue en raison de la réputation de la radio Medi1, qui est écoutée par environ 40 pc de la population de mon pays", affirme cette femme de 31 ans qui travaillait sur la chaîne économique CNBC à Dubaï.

Cependant l'absence de reportage sur le terrain attriste des journalistes. "Je fais du desk et de la présentation: c'est très intéressant, mais je crois qu'on sera obligé de passer à la production et couvrir des événements du Maghreb", confie Anas Bensalah, un journaliste marocain, 35 ans.


Tanger-Actualités


Festival du court-métrage méditerranéen de Tanger
Trois films libanais en lice pour le Grand Prix

Tanger. Mythique et indolente. Bercée par les eaux mêlées de la Méditerranée et de l’Atlantique qui se rejoignent en son détroit (le Gibraltar), Tanger, la belle du nord marocain, a toujours le regard fixé sur l’horizon. Cet horizon duquel sont venus vers elle des artistes, des peintres, des écrivains célèbres, à l’instar de Delacroix, Truman Capote, Paul Bowles, etc., attirés par sa lumière, ensorcelés par ses mystères ou captivés par sa douceur et son ouverture… Ce regard vers l’horizon, vers l’autre au-delà de la mer, cette curiosité affable envers ces «autres» qui viennent d’Europe ou du pourtour de la grande bleue,
Tanger les exprime aujourd’hui, plus particulièrement à travers son Festival du court-métrage méditerranéen.
Instauré depuis quatre ans, ce festival consacré aux petits films de fiction (35 mm) commence à s’imposer dans le parcours des «courts».
Pour sa quatrième édition, qui se tient du 11 au 16 septembre, il offre une programmation qui, outre une trentaine de films, de 17 pays, en lice pour le Grand Prix, s’intéresse – à travers les tables rondes et débats qui réuniront les représentants des grands festivals internationaux de courts-métrages – à l’évolution de la production de ce genre cinématographique révélateur de jeunes talents.
Premiers films projetés, au lendemain du film d’ouverture (La morsure du citron, hors compétition) du réalisateur suisse et président du jury du festival cette année, Jean-François Amiguet, les courts-métrages de trois Libanais : Fouad Alywan, Badih Massaad et Rana Salem.
Une ouverture libanaise en somme, «en hommage et par solidarité avec le Liban», assurent les organisateurs du festival, qui insistent également sur la «qualité de la production cinématographique» en provenance du pays du Cèdre.
À l’évidence appréciés par le public tangérois, A Plus de Fouad Alywan, Badkoun Shi…t ? de Badih Massaad et Le premier étage à droite de Rana Salem, les trois films libanais (qui ont comme point commun de traiter du désarroi de la jeunesse libanaise, mais chacun à sa façon) devront concourir néanmoins avec une bonne trentaine de productions : françaises, espagnoles, italiennes, portugaises, égyptienne, algérienne, tunisienne, albanaises, turques, grecques, syriennes, palestiniennes, de Malte, de Croatie et bien sûr marocaine.
Une compétition serrée qui sera soumise au jugement d’un jury composé de professionnels, à l’instar des réalisateurs français et palestinien, Bernard Verley et Rachid Masharoui, de la directrice du Festival africain de Tarifa, Mane Sisneros, du cinéaste marocain Moumen Shimi et de la sociologue marocaine Soumaya Naaman Guessous.
Le suspense reste entier donc. En attendant la cérémonie de clôture le 16 septembre…
Zéna ZALZAL

Medi 1 Sat, démarrage reporté à l'Automne 2006

Finalement, Medi 1 Sat, seule chaîne de télévision autorisée à émettre par la HACA, lors de la première vague des licences audiovisuelles accordées, ne diffusera pas, comme prévu, à partir de fin juillet.
Selon des sources bien informées, ses équipes ont été contraintes de revoir leur calendrier et de reporter d’au moins deux mois le lancement de la chaîne. C’est donc en septembre, si tout va bien, que la chaîne tangéroise commencera à émettre.
Ces sources avancent des problèmes d’ordre technique, sachant que le contenu déjà en boîte permet de couvrir jusqu’à trois mois de diffusion. A ces aspects s’ajoutent des difficultés au niveau du recrutement des profils.

Tanger : dépôt de la candidature pour l’exposition internationale 2012
Le Wali de la région Tanger-Tétouan et président de l’Association Tanger exposition 2012, Mohammed Hassad, a remis le 28 juin au SG du Bureau International des expositions à Paris la lettre officielle de candidature du Maroc.
Elle vise à abriter à Tanger l’Exposition internationale 2012. Elle aura pour thème "Routes du monde, Rencontre des cultures. Pour un monde plus uni ».
Au cas où la candidature marocaine est retenue, l’Exposition Tanger 2012 ouvrira ses portes le Samedi 16 Juin 2012 jusqu’au dimanche 16 Septembre 2012. Les différents stands seront bâtis sur une superficie d’environ 25 hectares sur un site de la baie de Tanger.

Trois nouveaux projets immobiliers
Juillet 2006- Après l’adjudication, en avril dernier, du programme Tanger City Center (construction de deux hôtels, d’un espace commercial, de bureaux et de logements) à l’entreprise espagnole Fadesa, la Société nationale d’aménagement de la baie de Tanger (SNABT) engage actuellement des pourparlers avec les investisseurs potentiels pour la réalisation de trois grands projets intégrés prévoyant l’édification d’hôtels et d’immeubles résidentiels. Trois sites ont été retenus sur la baie de Tanger, deux sur un terrain de trois hectares et le dernier sur un espace de six hectares. La direction de la SNABT entend boucler ces dossiers d’ici à la fin de l’année.

Beyrouth-Casablanca-Beyrouth


Depuis le 31 Octobre 2005


Medi1 de la radio à la TV:
Medi1 Sat, télévision à capitaux franco-libano-marocains devrait émettre par satellite dès l'été 2006! Généraliste à dominante info, elle couvrira le bassin méditerranéen jusqu'au Proche et Moyen-Orient en utilisant, comme pour la radio, le format bilingue francais-arabe.
Le centre opérationnel de la chaine sera également basé à Tanger.
>>> Plus de détails...

Médi 1 Sat commencera à émettre durant l'été 2006


Paul Hitti, un Franco-libanais homme fort de la nouvelle chaine satellitaire

Après avoir bouclé au cours des derniers mois son tour de table définitif et élaboré son business-plan, Médi 1 Sat, la chaîne de télévision satellitaire en gestation depuis 2003, devrait commencer à émettre dès fin juillet.
Son démarrage avait été retardé de quelques mois en raison de problèmes de financement et de l’incertitude sur la composition de l’actionnariat - feu Rafik Hariri, ancien premier ministre libanais et propriétaire de Future TV et de Radio Orient, assassiné en 2005, avait été pressenti comme actionnaire. Maintenant, le tour de table définitif compte des institutions de renom. Il s’agit de Radio Méditerranée International, comme opérateur qui détient 14 % du capital, de deux institutionnels marocains, en l’occurrence Maroc Telecom et la Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG), qui contrôlent chacun 28 %, et de la Caisse de Dépôts et de Consignations (équivalent français de la CDG), propriétaire de 30 %.

80 MDH seront consacrés à l’outil de travail et plus de 100 millions au siège

Selon une source proche du dossier, la chaîne aura un contenu aux allures généralistes en arabe et en français, diffusé vers l’ensemble du Maghreb, à l’instar de sa maison mère, leader dans cette région avec 23 millions d’auditeurs et près de 40 % d’audience en Algérie.
Les promoteurs veulent capitaliser sur ce succès pour faire de Médi 1 Sat une référence dans l’audiovisuel francophone. Des contacts très poussés sont déjà noués avec de grandes sociétés de production de l’Hexagone pour des coproductions d’émissions inédites (Star Acadamy version sportive, télé-show...).

Tous les moyens ont été mis en œuvre pour tenir ce pari. Le budget d’investissement, financé à hauteur de 50 % en fonds propres, totalise près de 350 MDH, dont 80 millions consacrés à l’outil de travail et plus de 100 millions au siège, construit dans la zone industrielle Tanger Free Zone.

Le plan de financement qui en découle est assez équilibré et réaliste puisque le résultat d’exploitation ne devrait virer au vert qu’au premier semestre 2009. Le chiffre d’affaires, pour sa part, devrait atteindre 250 MDH à l’horizon de la cinquième année d’exploitation. Cette prudence a été motivée par l’exacerbation potentielle de la concurrence dans le sillage de la libéralisation du secteur, enclenchée en 2006. En témoigne l’enregistrement par la Haute autorité de la communication et l’audiovisuel (HACA) d’une cinquantaine de candidatures pour la création de nouvelles stations radio et d’une demi-douzaine pour les chaînes de télévision.


Jawad Benbrahim
Source : La Vie Eco


"Tanger s'invite dans LibanVision car son air de famille avec Beyrouth, à travers de nombreux points communs, ne saurait laisser insensibles les libanais, notamment francophones..."

Y passer quelques heures seulement suffisent en effet
pour y palper des sensations toutes libanaises...
Tanger, n'est-elle pas comme Beyrouth un pont naturel entre l'Orient et l'Occident dont elle voit, qui plus est, les rives en permanence?

Les Côtes d'Espagne vues de la Citadelle de Tanger
Sa situation au Nord du Maroc, face à l'Espagne lui confère une situation géographique unique comme une histoire toute particulière. Son principal quartier résidentiel ne se nomme t-il pas "la Montagne"? Sa population davantage cosmopolite que beaucoup d'autres villes du Maghreb est un trait commun avec Beyrouth: Tanger a attiré bon nombre d'artistes, peintres ou écrivains qu'elle inspira, comme le Liban, dès l'ère du romantisme. Son statut particulier durant la première moitié du XXème siècle lui confère aussi cette dimension mythique tant pour ceux qui y séjournèrent que ceux chez qui elle est ancrée dans l'imaginaire. Les Phéniciens en firent une étape privilégiée dès le XVème siècle avant JC, mais la ville offre désormais des perspectives économiques exceptionnelles avec le projet TangerMed dont l'achèvement est prévu pour 2007.

Le Président Français, Jacques Chirac, a fait l'honneur à Tanger d'une visite lors de son voyage officiel au Maroc en Octobre 2003 et nous ne pouvons que suggérer à beaucoup de francophones et de libanais en particulier, plein d'ambitions, de projets ou à la recherche de nouvelles idées, de l'imiter. Ils seront accueillis dans une cité résolument placée au coeur d'une Arabofrancophonie historique, entre racines et avenir.

JMD




En Savoir plus sur l'époque phénicienne de Tanger...


Le dossier sur Tanger par Hicham Raji


Cap sur TangerMed 2007

A une trentaine de kms à l'Est de l'agglomération de Tanger, le projet «Tanger-Méditerranée» représente une priorité stratégique pour un développement économique et social de la région Nord du Maroc. Il s'inscrit dans le cadre d'une politique économique orientant à l'export le Maroc autour de huit filières d'exportation clairement identifiées et s'appuyant notamment sur l'accord de libre échange avec l'Union Européenne mis en œuvre entre 2000 et 2012 ;
La réalisation de «Tanger-Méditerranée» aura des retombées économiques importantes en terme d'emplois, de création de valeur ajoutée et d'investissements extérieurs. La position privilégiée sur le détroit de Gibraltar, à la croisée de deux grandes routes maritimes, et à 15km de l'Union Européenne permettant de desservir un marché de centaines de millions de consommateurs au travers des zones franches industrielle et commerciale à confier à des opérateurs privés de renommée. Il permet aussi de capter une part du marché de transbordement de conteneurs en forte croissance et de devenir le premier hub de transbordement de céréales, infrastructure inexistante actuellement dans la région Nord-Ouest Africaine.
La réalisation, la coordination et la gestion du projet sont confiées à TMSA, société privée dotée de prérogatives publiques, qui intervient dans le cadre d'une convention avec l'Etat et en interaction avec les différents ministères concernés. Le complexe portuaire aura des retombées économiques importantes en terme d’emplois, de création de valeur ajoutée et d’investissements extérieurs.
A ces retombées économiques liées à l’exploitation du port, viennent s’ajouter des retombées importantes liées à sa construction, notamment au travers d’investissements étrangers, ainsi que des retombées liées à l’exploitation des zones franches (valeur ajoutée directe et indirecte, gains directs, emplois, investissements extérieurs).

Source:
Site de l'Agence Spéciale
Tanger-Méditerranée


Une vaste Zone Franche

>>> Logistique

la zone franche logistique adjacente au port de Tanger Méditerranée se veut attractive en terme de taille et de flexibilité. En effet, elle s’étalera sur 60 à 98 ha, proposant à la location des entrepôts construits sur une superficie de 49 000 m² et offrira de nombreuses possibilités d’extension vers d’autres zones du ressort territorial de TMSA. De plus, tout comme l’ensemble de la Zone Economique Spéciale, elle bénéficiera de dispositions très avantageuses en matières fiscale, douanière et de transfert de devises. La zone franche logistique sera confiée à un opérateur dédié, qui, en assurant le rôle de guichet unique auprès des entreprises, offrira des services et des commodités d'une fiscalité avantageuse.

>>> Industrielle
En continuité avec le concept de la zone logistique et dans le prolongement de Tanger – Free Zone (Zone franche de Tanger opérationnelle depuis 2001), un espace de 600 Ha à moins de 25 km du port sera réservé aux opérateurs industriels désirant tirer avantage de l’opportunité des coûts de transformation compétitifs, en bénéficiant des effets de la plate-forme multimodale unique offerte par un site géographique d’exception.

>>> Commerciale
La zone franche commerciale ciblera des entreprises de commerce de gros et de détail et de services. A cet effet, une proposition de valeur sera articulée autour d'une fiscalité avantageuse, de facilités administratives, ainsi que d'infrastructures urbaines modernes. La zone franche commerciale sera confiée à un opérateur dédié, qui en assurant le rôle de guichet unique auprès des entreprises, offrira des services et des commodités de premier plan. Les locaux commerciaux s'étendront sur une superficie de 20 000 m2 et accueilleront à terme prés de 500 entreprises.

Accord de coopération entre Tanger-Méd et Jbel Ali Free Zone
Octobre 2004 - L'Agence spéciale Tanger Méditerranée (ASTM) vient de conclure un accord de coopération stratégique avec l'opérateur émirati de zones franches Jebel Ali Free Zone International (JAFZI).
Objectif :
assurer la commercialisation et la promotion de "Tanger-méditerranée " sur le plan international.
> + de détails?

Quelques Liens utiles
pour connaitre Tanger

Escale à Tanger
avec le Figaro.fr


* Medi 1, Station de Radio Arabofrancophone basée à Tanger

TangerWeb
Le blog de référence pour les bons plans à Tanger!

* Tanger
Histoire, Culture, Documentation

* Salon International du Livre de Tanger
Déjà la 9ème édition en 2005


*
Le Journal de Tanger
toute l'Actu Tangéroise hebdo

* Région Tanger-Tétouan
Le Site personnel du Vice-Président du Conseil Régional est riche en données et en photos.

* Tanger la mythique
avec Tahar Benjelloul

* Le Consulat de France à Tanger


* Sté Nationale d'Aménagement de la
Baie de Tanger

* ENCG Tanger
Ecole Nationale de Commerce et de Gestion

* Festival de Théâtre Amateur de Tanger 2003
avec la pièce "4 heures à Chatila"

* Coopération régionale Tanger-Tétouan et PACA en France,
le point avec l'ADECI

* Hotel Movenpick de Beyrouth

* Asilah
Situé à environ 40 kms de Tanger, véritable perle blanche sur la façade atlantique, il est nécessaire de faire un détour pour visiter cette ville de charme lors de votre séjour à Tanger...

Un Site de Rêve pour Vivre ou Entreprendre


"Tanger est une porte entre l’Europe et l’Orient. C’est notre plus « proche Orient », c’est aussi la porte du désert et celle du Maroc. C’est à Tanger que les rois du Maroc faisaient attendre les délégations diplomatiques avant qu’elles ne rentrent dans le royaume chérifien."
Daniel Rondeau*,
Fondateur des Éditions Quai
Voltaire où il fit redécouvrir l’écrivain Paul Bowles, romancier, éditorialiste et auteur de récits de voyage;
il publia en 1991 chez Grasset, "Chronique d'un Liban Rebelle" à propos de la guerre du Liban, notamment la période 1988-1990.



Tanger, ville d'écrivains Le Tanger de Daniel Rondeau

Rondeau ne s'est pas campé devant Tanger comme un peintre, qui se contenterait d'en refléter l'image la plus juste possible, au moment où il peint. Rondeau a pris le parti de vivre Tanger, comme Morand a vécu et transcrit Venise : il inscrit dans les artères de la ville, du port jusqu'aux cimetières, des cafés jusqu'aux campagnes voisines, la succession de ses visites, et le temps qui passe entre elle. Il ne parcourt pas la ville, il la raconte, comme une histoire, dont les personnages sont ses amis, qu'il évoque avec une infinie pudeur et une réelle affection. Et le Tanger de Daniel Rondeau est d'abord et avant tout une ville livre : celle de Paul Bowles, qui lui déclare : " J'avais toujours su qu'un jour de ma vie, j'entrerais dans un lieu qui me donnerait à la fois la sagesse et l'extase ", et qui a trouvé ce lieu hors du monde à Tanger. Celle de Paul Morand, justement, qui, écrit Rondeau, " vécut ici comme il vécut ailleurs. Beaucoup de travail, par délassement, du grand air, par principe, et des bonnes manières, par pessimisme. " Les formules de Rondeau sonnent juste comme des aphorismes modestes, et suffisent à décrire en quelques traits la galerie de portraits littéraires qu'il enchaîne... Certains personnages sortent tout droit du Tanger cosmopolite qui habite l'imaginaire de la jet-set, tels ce David Herbert, petit-fils du 15ème Comte de Pembroke, et 12ème Comte de Montgomery, irrémédiablement raffiné, nourrissant ses chats et organisant des fêtes pour la bonne société qui l'a affectueusement, et cruellement, surnommé " La Reine sans couronne ". Tout cela vous a un air désenchanté et inutile, comme un verre de sweet sherry bu dans une tasse à thé, et qui prendrait un arrière-goût de menthe... Très étonnantes, certaines pages sur Beckett, objet d'une quête quasi policière de sa part, suivi et espionné dans sa vie privée, ses parcours et détours, ses silences et ses paroles, et qui, lorsqu'il se présente enfin à lui, se montre " très curieux d'Aragon "... Rondeau croise aussi Jean Genet, les ombres de Delacroix, Matisse, Paul Théroux, et la silhouette du milliardaire Forbes, qui a racheté le Palais du Vice-Roi, et y range les soldats de plomb de son fils... Mais ce Tanger un peu affecté n'est qu'une face de la ville, et Rondeau ne s'y arrête pas, évoquant le Maroc des marocains, le figure du roi, avant d'aller errer dans le Sud du pays, de Ouarzazzate à Taroudant, en passant par Assaouira, la vallée du Draa, Zagora, et les portes du désert... En un mot, tout un pays qui vit et vibre sous le soleil, où Rondeau compose, lettre après lettre, l'alphabet secret du bonheur.

écrit en Mai 2000 par Khaled Elraz

8ème Salon du Livre de Tanger
Janvier 2004

Tanger, à l'aise dans la culture
comme en économie...

>>> Tous les liens utiles
commerciaux, universitaires ou administratifs

pour s'implanter à Tanger ou commercer avec le Maroc à partir de Tanger

Séjourner à Tanger?

Bon à Savoir

Si vous êtes libanais ou que vous connaissez la corniche de Beyrouth, vous connaissez le Complexe hotel-resort Movenpick.
Voilà un autre point commun avec Tanger dont le Movenpick au coeur de la zone touristique du Cap Malabata à une dizaine de kms à l'Est de la ville est devenu un des fleurons du tourisme Marocain qui, avec ses 238 chambres ou suites et un magnifique Casino, est un endroit magique sans doute encore trop méconnu des touristes européens.



Hotel & Casino Tanger-Malabata
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Hôtel El Minzah

Un 5* de charme dans le coeur de Tanger,
présent au salon du tourisme arabe
AWTEE de Beyrouth en Septembre 2005



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A cœur ouvert avec la directrice de l’Institut des Journalistes professionnels à Beyrouth

Les journalistes de la ville de Tanger ont été conviés, le 6 Mai 2004, à la salle des conférences du musée de la Légation américaine, à une rencontre avec Majda Abou Fadel, Journaliste libano américaine, directrice de l’Institut de journalistes professionnels à l’Université libanaise américaine à Beyrouth, et ce dans le cadre des activités académiques, organisées par la Section des relations publiques de l’Ambassade des Etats-Unis à Rabat. Les inévitables questions sur la politique américaine en Irak et au Moyen Orient, la sortie du président Georges Bush, mercredi sur des chaînes satellitaires arabes au sujet de la torture des prisonniers d’Abou Ghrib entre autres sujets embarrassants pour l’administration américaine actuelle entre autres sujets, ont été abordés par les questions des journalistes. Mme Abou Fadel a tenu à préciser qu’elle ne représentait pas le gouvernement américain et a coïncidé avec la majorité des intervenants, quant à leurs remarques, ajoutant au sujet de la montée au créneau de Bush que celle-ci n’était nullement convaincante. En réponse à certaines questions au sujet de l’indépendance et de la liberté de la presse aux Etats-Unis, Majda Abou Fadel a reconnu l’existence de différents types de pressions : politiques, économiques et autres. Il n’y a pas de presse indépendante à 100%. Ce qui n’empêche cependant pas les professionnels de faire preuve de respect de la déontologie, et d’exercer leur droit à la liberté d’expression, reconnu constitutionnellement aux USA. Le recours au principe de Freedom of information act donne la possibilité aux journalistes de recourir aux différentes sources afin de s’informer pour informer le public. D’accord, le journalisme est le métier des difficultés, comme on dit, mais il devrait être celui des vérités. A une question sur l’image stéréotypée des musulmans véhiculée par les médias, elle a regretté que du côté arabo musulman, très peu sinon rien n’est entrepris pour réajuster ladite image. Les arabes se parlent entre eux au lieu de communiquer avec l’autre dans sa propre langue et lui expliquer notre façon de voir les choses. Rappelons que Mme Mjda Abou Fadel a séjourné durant une semaine au Maroc où elle a eu une rencontre avec les enseignants de l’Institut supérieur du journalisme autour du thème des ‘’nouvelles orientations en matière de formation journalistique‘’. Elle a présenté également une conférence sur ‘’la liberté d’expression dans le monde arabe’’ et a encadré des ateliers de travail au profit des étudiants de l’Institut supérieur du journalisme et de la communication ayant pour objet, les techniques de l’investigation et des interviews journalistiques. Majda Abou Fadel est détentrice d’une expérience très riche sur les plans académique et professionnel. Professeur de journalisme à l’université libano américaine, elle a donné des conférences au Centre international de la presse à Washington avant de rejoindre l’agence de presse internationale UPI à la capitale des Etats-Unis, puis l’AFP comme rédactrice et correspondante de la section anglophone au centre régional de l’agence au Moyen Orient.


Mr Othman Benjelloun, Pdg du groupe Finance.com
Détenteur de 23% du capital de Médi 1, actionnaire à 2M, le groupe Benjelloun ne semble pas disposé à dormir sur ses lauriers. Il va incessamment lancer une chaîne de télévision.
Baptisée Médi-1-Sat, elle devrait être dirigée par un conseil d’administration où siègeront, autour de Othman Benjelloun, Mourad Chérif, PDG de l’Ona, Pierre Casalta, patron de Médi1, et Bernard Esambert qui sont tous associés dans ce projet.La participation à titre privée de Rafic Hariri, largement appuyé par la France est également évoquée.Il faut dire que Medi1 Sat est destinée à couvrir la zone du Proche-Orient.
Cette irruption du grand capital, jusqu’ici frileux, dans le créneau des médias au Maroc aura des conséquences majeures. Elle s’accompagnera, sans doute, avec une amélioration qualitative du produit presse et une revalorisation matérielle, certaine, du métier de journaliste.


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