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Eté 2005:
la compagnie aérienne Star Airlines
veut dynamiser la liaison Paris-Beyrouth

Paris - Beyrouth - Paris


Paris/Beyrouth/Paris à 417 Euros TTC
en vol régulier, c'est par Star Airlines depuis le 15 Août!

Une fréquence régulière chaque dimanche en basse saison


12 décembre 2005
Raymond Lakah prêt à lâcher les commandes de Star Airlines
Sa démission attendue aujourd'hui est considérée comme le prélude à la vente de la compagnie aérienne.
L'homme d'affaires franco-égyptien, Raymond Lakah, va-t-il mettre fin à son aventure dans le transport aérien français ? Il s'apprête en tout cas à lâcher les rênes de Star Airlines, qu'il avait rachetée en avril dernier.
Vendredi, soit deux jours seulement après la liquidation judiciaire d'Air Horizons, une autre compagnie charter qu'il possède, Raymond Lakah a convoqué aujourd'hui le conseil d'administration de Star Airlines. Son ordre du jour se résume en un point : sa démission de la présidence. Son successeur devrait être l'un de ses proches.Ce retrait est considéré comme le prélude à la mise en vente de la compagnie, qui aurait selon certaines sources besoin d'une recapitalisation de 8 millions d'euros, alors que l'homme d'affaires est déjà confronté à la déconfiture d'Air Horizons, rachetée en avril à son fondateur Cédric Pastour. Sommé fin novembre par le tribunal de commerce de Bobigny d'injecter 400 000 euros de liquidités dans les caisses d'Air Horizons, Raymond Lakah a aussitôt pioché dans la trésorerie de Star Airlines pour s'acquitter de cette somme... A la stupéfaction du tribunal. Celui-ci devrait d'ailleurs désigner dès jeudi un expert chargé de lever le voile sur les relations financières entre les deux compagnies.

Dans ce contexte, l'homme d'affaires – également propriétaire de France Soir – pourrait donc avoir tout intérêt à se séparer de Star Airlines. La compagnie, qui exploite 2 avions Airbus A 330-200 et 4 autres Airbus A 320-200, est l'une des rares compagnies charter à afficher des bénéfices en 2004. De quoi aiguiser les appétits. Certains noms circulent déjà sous cape. Comme celui de l'ancien président d'Air Littoral, Marc Rochet. A la tête d'une société de conseil dans le secteur aérien, il pourrait s'intéresser à Star pour le compte de l'un de ses clients. En revanche, le fondateur de Star, Cédric Pastour, qui avait pourtant déposé une offre de reprise partielle d'Air Horizons la semaine dernière, a confié ce week-end n'être pas «armé financièrement pour se lancer dans l'aventure».


Delphine Denuit pour Le Figaro Economie


Flying Star a mis fin, depuis le 19 Septembre 2005 et de sa propre initiative, à ses fonctions de GSA (Agent général de vente) de StarAirlines qu'elle exerçaient depuis plusieurs mois.
On retiendra de ces mois de collaboration, outre le professionalisme et la qualité de service dont a pu bénéficier la clientèle de la Cie Star Airlines, que Flying Star fut sans doute, sur le plan local, un des acteurs majeurs de la cassure du monopole sur la ligne Paris-Beyrouth.
Le nombre de postulants ne manque pas pour lui succéder et on ne peut que souhaiter à Star Airlines de choisir un nouveau partenaire compétent afin de pouvoir poursuivre ses activités dans les meilleures conditions et de satisfaire une clientèle en cours de fidélisation.

Dans l'intervalle,
les passagers de Star Airlines au départ de Beyrouth doivent désormais contacter la Compagnie au:
01 87 89 84
demandez/ask for Mr Jamil Hariri

Début des vols Paris/Beyrouth/Paris le 23 Juin 2005

à raison de 3 fréquences par semaine*
Tarif : à partir de 499 € TTC
Réservations : 0825 825 589 (0,15 € TTC/min) ou www.star-airlines.fr
ou dans votre agence de voyages.



* -mardi, jeudi et dimanche au départ de Paris CDG à 18h40
-mercredi, vendredi, lundi au départ de Beyrouth Lundi à 01H00

Vols assurés sur Airbus A320-200.


Star Airlines assurera la liaison Paris-Beyrouth à partir du 23 Juin 2005.

La compagnie aérienne française Star Airlines a annoncé qu'elle assurera,
à partir du Jeudi 23 Juin,
la liaison entre Paris et Beyrouth, à raison de trois vols par semaine au lieu des deux rotations initialement prévues.

Initialement annoncée pour le 17 Février puis le 31 Mars, cette nouvelle liaison avait dû être reportée en raison de la situation au Liban.
Cette fois, à l'aube de la saison d'été et sauf évènement inattendu, il semble assuré que le lancement aura bien lieu à la date annoncée




>>> Lire le communiqué de Presse du report au 23 Juin 2005


La compagnie a précisé que des clients ont commencé à faire leurs réservations à travers les agences de voyage.
Qualifiant les prix de la compagnie d’« encourageants »,elle a précisé qu’un billet aller-retour se vend à partir de 433 dollars au départ de l'Aéroport International de Beyrouth.
L’inauguration de ces vols réguliers s’explique par la demande croissante du marché et par le trafic aérien intense entre le Liban et la France, soulignant également « l’importance stratégique de l’Aéroport international de Beyrouth dans la région ».


Le tuyau LibanVision / Our special tip

Le meilleur prix de Star Airlines
pour un Paris-Beyrouth AR trouvé sur le web!

The best fare found on the web for a Paris/Beyrouth roundtrip

Star Airlines becomes 45th carrier to use
Beirut International Airport
Star Airlines, a private French carrier, announced plans to start bi-weekly flights between Paris and Beirut as of End of March 2005. Star Airlines operates charter flights from Paris and other French cities to about 30 destinations mainly in the Mediterranean basin and the West Indies.
Star Airlines will compete with flag carrier Middle East Airlines (MEA) and Air France for passengers along the busy Paris-Beirut route.
MEA flew 935,968 passengers in the first three quarters of 2004, accounting for 35.2% of total travelers using the airport, the largest market share among all carriers using the BIA while Air France was the fifth most active airline at the airport with 108,220 passengers for a 4.1% market share. Also, France was the second most frequent destination for travelers from Beirut airport year-to-September with nearly 300,000 passengers accounting for 11.3% of all travelers from the BIA.

Le directeur général de l’aviation civile, Hamdi Chawk, a autorisé les vols de la compagnie française conformément aux accords passés entre la France et le Liban, en vertu desquels Star Airlines peut opérer en tant que deuxième transporteur français et assurer en cette qualité des vols réguliers entre les deux pays. Star Airlines est la troisième compagnie aérienne qui assure la liaison Paris-Beyrouth, après Air France et la compagnie nationale, la MEA. Les appareils qui assureront les vols sont de type Airbus 320 et 330. Fondée en 1995, la compagnie organise à la fois des vols réguliers à longue distance et de courts trajets, généralement propres aux charters. Selon son PDG, elle a enregistré en termes de passagers une croissance de 3 % sur les 12 derniers mois et des bénéfices de l’ordre de 1,5 million d’euros fin octobre 2004, « malgré les répercussions négatives de la flambée du brut sur le transport aérien français en général ».


Départs:
de Paris-CDG 1 les Mardis Jeudis et Dimanche à 18h40
de Beyrouth les Mercredis Vendredis et Lundis à 01H00
Vols assurés sur Airbus A320-200


Réservations et Vente

France:
0825 825 589 (0,15€/mn)
Liban: 01 37 69 69 (à partir du 10 Janvier)

Le Vol direct Beyrouth-Paris AR à partir de
330 USD au départ de Beyrouth
417 Euros au départ de Paris



Qui est Star Airlines?

Compagnie Aérienne Française fondée en 1995 par Cédric PASTOUR, STAR AIRLINES est une société à capitaux privés. Dédiée au trafic touristique (vols Charter) sur les destinations moyen courrier du Bassin Méditerranéen, STAR AIRLINES exploite des vols réguliers principalement sur des destinations long courrier, en Afrique et au Proche Orient. La flotte de la compagnie est exclusivement constituée d’appareils de la nouvelle génération, tous sortis des chaînes d’assemblage d’Airbus Industrie à TOULOUSE.
L’âge moyen des avions exploités à ce jour par STAR AIRLINES est de quatre ans.
-Pour voir l'ensemble de la flotte cliquez sur la photo ci-dessus-

>>> Plus de détails sur Star Airlines?


La politique du ciel ouvert est un succès,
selon le directeur général de l’Aviation civile


Hamdi Chaouk, directeur de l’Aviation civile, a expliqué à «L’Orient-Le Jour» les bienfaits de la libéralisation du secteur du transport aérien. Quel bilan dressez-vous de la politique du ciel ouvert ? Deux ans après le début de son application, il est possible de dire que cette politique n’a eu que des effets positifs. Les résultats parlent d’eux-mêmes : le nombre de passagers a augmenté de 70 % et les recettes de l’Aéroport international de Beyrouth ont été multipliées par trois. La liaison Beyrouth-Dubaï, par exemple, est désormais desservie par onze compagnies grâce à la politique du ciel ouvert adoptée tant par le Liban que par les Émirats arabes unis. À défaut de cette libéralisation, seules les compagnies nationales de chacun des pays auraient assuré cette liaison. Contrairement à ce que l’on pense, qu’il y ait des vols à 200 dollars et des vols à 550 dollars pour une même destination contribue à augmenter le trafic, ce qui est profitable à toutes les compagnies. Car, d’une part, une proportion plus importante de la population se déplace et, d’autre part, pour un même budget, un voyageur peut effectuer davantage de vols. L’impact de la concurrence, c’est d’avoir changé les mentalités et d’avoir poussé les compagnies à fournir un meilleur service à de meilleurs prix. Le monopole dont bénéficie la MEA est-il justifié ? Avec neuf avions, la MEA ne dessert que 20 liaisons au départ de Beyrouth, alors que le Liban a signé des accord pour 60 liaisons que, pour diverses raisons, la compagnie nationale n’assure pas. Je crois qu’il faut autoriser l’exploitation par d’autres compagnies libanaises des lignes que la MEA ne dessert pas. Dans un premier temps il faudra le faire avec des licences charters et, par la suite, si le Conseil des ministres modifie le décret de 1992, avec des licences pour des vols réguliers. Des discussions vont être entamées avec la MEA pour réfléchir à la façon de libéraliser de façon équilibrée le marché intérieur. D’autres pays sont passés par là. En Europe, la notion de compagnie nationale n’existe plus. Il n’y a plus de patriotisme en la matière, car l’intérêt du pays n’est pas forcément lié à celui d’une compagnie. La poursuite de la libéralisation du secteur est d’autant plus importante que le Liban a été choisi, avec le Maroc et la Jordanie, pour négocier avec l’Union européenne un nouvel accord bilatéral sur le transport aérien.
Propos recueillis par Sybille Rizk.


Bientôt notre entretien avec...

Raymond Lakah, PDG de Star Airlines depuis le 29 Avril 2005


La libéralisation du ciel libanais butait encore sur le monopole de la MEA
Les Libanais à travers le monde ne cessent de se plaindre de la rareté ou de la cherté des liaisons aériennes avec Beyrouth. Dans une lettre ouverte aux autorités libanaises, l’Union des associations libanaises de France demandait récemment la révision des « prix astronomiques » des vols Paris-Beyrouth et l’augmentation de leur fréquence. Si la demande est mal satisfaite pour l’une des destinations les mieux servies, elle l’est a fortiori dans d’autres pays européens, comme l’Allemagne, par exemple, sans compter le Canada, le Brésil ou l’Afrique.
Les nombreux ressortissants libanais de la diaspora brésilienne ont officiellement demandé des liaisons directes entre São Paulo et Beyrouth. Pas rentable, a répondu la Middle East Airlines qui ne dessert que 20 pays sur les 60 avec lesquels le Liban a conclu des accords aériens bilatéraux. Dans ces 20 pays, elle ne couvre que certaines villes, ce qui fait beaucoup d’aéroports à travers le monde pour lesquels il n’existe pas de liaison directe avec Beyrouth, à moins qu’elle ne soit assurée par une compagnie étrangère. Certaines de ces compagnies ont en effet profité de la politique de ciel ouvert décrétée en l’an 2000 par le Liban pour créer des liaisons aériennes avec Beyrouth. Le trafic de passagers a ainsi augmenté de 70 % à l’Aéroport international de Beyrouth, ce qui fait dire au directeur de l’Aviation civile, Hamdi Chaouk, interviewé par L’Orient-Le Jour, que cette politique est un véritable succès.
Même la MEA en a profité alors qu’elle disait que la libéralisation causerait sa perte. Mais si elle bénéficie au Liban, à travers une hausse des recettes de l’aéroport par exemple, cette politique avantage d’une certaine manière les compagnies étrangères en raison du monopole dont bénéficie la Middle East Airlines au pays du Cèdre. En vertu d’un décret adopté en 1992, elle est la seule compagnie régulière autorisée à opérer au Liban jusqu’en 2012. Résultat, seules les compagnies étrangères sont en mesure de satisfaire la demande de transport aérien vers Beyrouth si la MEA n’offre pas de vols pour la destination concernée. Qatar Airlines, avec qui la MEA vient de signer un accord, effectue ainsi deux liaisons aériennes par jour entre Doha et Beyrouth, alors qu’aucune compagnie libanaise n’exploite cette route.
Depuis, la disparition de la Sabena, qui transportait 30 000 passagers par an entre Bruxelles et Beyrouth, aucune compagnie n’a pris la relève. La réglementation actuelle décourage à l’heure actuelle tout investisseur de tenter sa chance dans le transport aérien au Liban. Ceux qui veulent absolument exploiter le filon enregistrent leur compagnie dans d’autres pays, ce qui limite les possibilités de contrôle de l’Aviation civile libanaise (comme dans le cas malheureux du crash de Cotonou). Cette situation n’est pas le moindre des paradoxes d’un pays qui dit vouloir encourager les investissements, promouvoir le tourisme et renforcer les relations entre les expatriés libanais et leur pays d’origine.
En effet, les seules licences qu’il est possible d’obtenir au Liban depuis l’an 2000 sont des licences charters qui sont assorties de conditions précises : la compagnie est obligée de vendre des « paquets » incluant des nuits d’hôtel par exemple, alors qu’une compagnie régulière est autorisée à vendre uniquement des billets d’avion. Investir dans une compagnie charter est donc particulièrement risqué, d’autant que le marché est fortement exposé aux variations saisonnières.


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