Liban
Jazz
Concerts et Festival de Jazz au Liban
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PROGRAMME
LIBAN JAZZ 2009:
. NGUYEN LË QUARTET commémore The Jimi Hendrix
Experience
> 22 février 2009
. TIGRAN HAMASYAN TRIO (CHOC JAZZMAN 2009) >
15 mars 2009
. BUGGE WESSELTOFT > 10
mai 2009
... et bien d'autres surprises encore !
La biographie ainsi que la discographie complète
de l'artiste sont sur : www.nguyen-le.com
.
Il est aussi possible d'écouter la musique de Nguyen
Lê sur son site
12 Novembre
PAOLO FRESU AU MUSIC HALL
DE BEYROUTH!
Mercredi 12 novembre 2008, Liban Jazz présentera
au Music Hall de Beyrouth le dernier concert de sa 5e
édition.
Le fleuron du Jazz italien, 'l'Ange du Jazz' (comme on
le surnomme), Paolo Frésu nous fait l'honneur de
répondre présent à l'invitation de
Liban Jazz.
Un concert au sommet du Jazz mondial
à ne pas manquer que vous soyez
amateur ou profane!
Liban Jazz est très fier de recevoir un artiste
de l'envergure de M. Frésu, l'homme aux 300 enregistrements,
l'un des seul musicien dont on peut dire sans gêne
qu'il 'tutoie Miles ou Chet' (Le Monde)...
5 Octobre 2008
Ibrahim Maalouf au Music Hall
Ibrahim Maalouf : sa plus belle
histoire damour, cest la musique
Pour
présenter Diasporas, son premier album et projet
personnel, le trompettiste franco-libanais Ibrahim Maalouf
sera au Music-Hall le dimanche 5 Octobre à 20 heures.
Dans les accords musicaux du sextet, Orient et Occident
sentrelacent sans aucune dissonance.
« Cest la première fois que je viens
jouer au Liban avec mon groupe. Je suis ému et
surtout touché que Karim Ghattas (Liban Jazz) ait
pensé à moi. »
Un aveu fait en toute simplicité par Ibrahim Maalouf
qui retrouve ce dimanche son pays natal.
Cet artiste de 27 ans, qui parcourt le monde avec sa douce
amie la trompette, a pourtant tardé à se
lier damitié avec cet instrument «
clinquant » qui, aujourdhui, ne le quitte
plus. « Mon père a étudié la
musique et la trompette au Conservatoire de musique de
Paris avec Maurice André, lun des plus grands
trompettistes classiques. Il a par la suite suivi une
carrière classique et orientale, ce qui ma
permis de mimprégner des deux cultures »,
avoue Maalouf. Cest à lâge de
7 ans que le jeune garçon commence son initiation
musicale. Souhaitant poursuivre des études darchitecture
après son baccalauréat scientifique, il
est cependant vite rattrapé par la musique.
De
linterprétation à la composition
Quarante ans après son père, Ibrahim Maalouf
passe donc son concours dentrée dans le
même conservatoire, quil réussit
brillamment. « Mais je nai aimé mon
instrument, poursuit-il, quà lâge
de 23 ans, cest-à-dire après seize
ans de pratique. »
On est immédiatement poussé à lui
demander la raison. Question à laquelle il répond
sans hésitation : « Cet instrument sadapte
aux personnalités fortes, un peu machistes, et
bien que je sois une personne déterminée,
je suis cependant timide. » Et Maalouf de poursuivre
: « Jai commencé à laimer
lorsque jai réussi à explorer les
différents champs quil me proposait. »
« À présent, dit-il, la trompette
fait partie de moi-même. »
De Marcel Khalifé à Archie Shepp, en passant
par Matthieu Chédid, Vincent Delerm ou Arthur
H, et des confins de lAfrique avec Toumania Diabaté,
Amadou et Mariam, à la musique classique avec
lOrchestre royal de Belgique, Ibrahim Maalouf
accompagne les plus grands. Également dans ses
projets futurs, un opéra rock avec Sting au théâtre
du Châtelet à Paris.
Mais le jeune homme ne sarrête pas là.
Décidant un jour de ne plus être un simple
interprète, le jeune musicien se met à
la composition. Réinventant sa propre musique,
qui traduit une double vision de la vie, lartiste
saffirme dans le paysage musical. « Lattente
de la reconnaissance professionnelle nest certes
pas indispensable pour être un bon musicien, tient
à préciser Ibrahim Maalouf, mais cela
fait quand même du bien. » Le musicien,
qui dit aujourdhui ne pas dissocier lOrient
de lOccident « car ils sont deux en moi
», sera au Music Hall.
Colette
KHALAF pour L'Orient Le Jour
Août
2008
Concert unique au Music Hall

Mardi 26 août au
Music Hall, 21h
Erik Truffaz à la sauce indienne
Erik
Truffaz nest pas étranger à la scène
locale. Le public libanais la déjà
rencontré à deux reprises lors dun
premier concert en 2004, au Festival de Byblos, puis en
2007, au Music Hall, dans le cadre de Liban Jazz. Le trompettiste
français, toujours à la recherche de nouveaux
sons, de nouvelles rencontres, revient aujourdhui
avec son Indian Project. En « avant première
mondiale » puisque le CD éponyme ne sort
quen novembre 2008. « En 2008, pour les 5
ans de Liban Jazz, il était important pour moi
de programmer certains artistes et amis qui ont marqué
de leur empreinte le cours du festival. Ce fut un grand
honneur de recevoir Dhafer Youssef, et maintenant Erik
Truffaz dont le passage en avril 2007 a apporté
un souffle nouveau à laventure du festival
! » indique Karim Ghattas, organisateur de Liban
Jazz.
Le Indian Project est né en janvier 2007, alors
que Malcolm Braff, Marc Erbetta, Christophe Chambet et
Erik Truffaz réalisaient une tournée de
trois semaines en Inde.
Lors de chaque concert, ils invitaient sur scène
un ou deux musiciens de la localité où ils
se produisaient. Cest dans ce contexte quils
ont fait la rencontre percutante de deux musiciens exceptionnels
de Calcutta, Apurba Mukherjee et Indrani Mukherjee. Malcolm
Braff et Erik Truffaz ont alors souhaité approfondir
leurs connaissances en musiques indiennes et prolonger
cette rencontre. Les deux musiciens réalisent alors
deux mois de résidence à Calcutta. Ce qui
leur permet de travailler un projet avec ces deux musiciens
et de vivre, de lintérieur, lunivers
musical indien. La résidence a commencé
en décembre 2007 et se prolonge jusquen janvier
2008, avec des concerts prévus à Mumbai,
Calcutta et Puney.
Au programme, donc, dune part le chant limpide et
contemporain du jazz européen ; au centre, le piano
intelligemment malmené de Malcolm Braff et, dautre
part, un couple de musiciens indiens : Indrani, la chanteuse
et Apurba Mukherjee, maître des tablas, ces tambours
traditionnels dont on dit quils sont les plus difficiles
à manier.
Résultat : un voyage souvent heureux entre le Vieux
Continent et une musique indienne ancestrale revisitée
où, entre les notes bleues de Truffaz et les râgas
orientaux simmiscent le classique dun Beethoven,
un reggae jamaïquain, un jazz clinquant de Broadway.
Rythmiques, improvisations, tout y est nouveau ! À
vivre donc un moment planant entre Calcutta, Rio et Paris.
« Jaimerais juste continuer à partager
ma quête pour un genre de musique qui améliore
la vie », explique Erik Truffaz, artiste hyperactif,
qui assure plus de 150 concerts par an depuis plus de
10 ans. On laura compris, le musicien na de
cesse de parcourir le monde à la recherche de sons
nouveaux, mais surtout dexpériences enrichissantes,
de moments forts quil rapporte dailleurs dans
son journal, véritable carnet de route de ce grand
voyageur. Ainsi, après son concert à Liban
Jazz, il note : « Nous venons de terminer le concert,
épuisés, un peu vidés et encore habités
par ce précieux moment que nous venons de vivre.
Après la tempête, les autographes, quelques
photos. Je passe un moment avec Khaled Yassine, merveilleux
percussionniste libanais qui nous a rejoints de Dubaï
où il habite à présent pour jouer
quelques morceaux. Khaled joue de la darbouka avec virtuosité
et finesse. Il sintègre avec souplesse dans
la musique, et cest un très grand bonheur
que de partager la scène avec lui. Le public plutôt
bruyant de Beyrouth exulte, et nous donnons 2 h de concert
». À propos du pianiste Malcolm Braff, il
écrit : « Jaime jouer avec lui. Il
joue du piano comme si Dieu et le diable cohabitaient
dans sa carcasse de géant. »
A suivre donc.
Billets
en vente (45000/60000LL) au Virgin Megastore : 01/999666.
Février 2008
Concert unique au Music Hall
Le Giovanni Mirabassi trio : notes bleues
en « Terra Furiosa »
Plus
que jamais, la musique comme refuge contre toutes les
intempéries. Climatiques ou politiques. Malgré
les avis de mauvais temps au niveau sécuritaire,
le Giovanni Mirabassi trio a tenu à entamer sa
tournée européenne de lancement de son dernier
album, Terra Furiosa, par un concert unique à Beyrouth.
Est-ce parce quil sagit de la plus occidentale
des capitales du Moyen-Orient, ou celle qui colle le plus
en ces jours noirs au titre du disque ? Toujours est-il
que Giovanni Mirabassi ne voulait « pour rien au
monde » rater son passage au Music Hall. Cest
ce quil a affirmé à son auditoire
libanais, une salle presque pleine damateurs de
jazz de tous les âges, heureux de se retrouver,
lespace dun soir, dans la quiétude,
la douce légèreté des notes bleues
de celui que la presse française qualifie de «
magicien qui fait événement ».
Un magicien pianiste qui, avec ses complices sur scène,
les excellents Léon Parker à la batterie
et Gianluca Renzi à la contrebasse, ont offert
la pleine mesure de leur talent durant une heure trente
dimprovisations ondoyantes sur compositions mélodiques
signées Mirabassi.
Six morceaux, tirés pour la plupart de son dernier
disque, qui, nonobstant un titre plein de fureur, restaient
davantage dans le registre dun soft jazz. Élégant,
fluide, plein démotion et de tendresse, comme
dans Sarahs Song, « une berceuse composée
à la naissance de la fille dun ami ».
Mais aussi, parfois, des airs aux rythmes plus contrastés,
hypnotisants, habités dun souffle de liberté
appuyé, comme dans Last Minutes
Un jeu de baguettes sur batterie dune incroyable
dextérité, en parfaite osmose avec une contrebasse
aux sons feutrés qui, à tour de rôle,
soutiennent et valorisent un piano caressé délicatement
Voilà la marque dun trio à la complicité
évidente, qui sait transporter son auditoire, au
gré des notes bleues, dun lyrisme un peu
mélancolique à un rythme à lénergie
toujours gracieuse.
Un suave et délicat intermède dans une période
pleine de lourdeur, vaillamment organisé par Liban
Jazz, soutenu par ses indéfectibles sponsors.
Zena
Zalzal

9 Décembre 2007 au Music-Hall
Liban Jazz fête ses dix ans
avec un concert de Laurent Mignard
On
peut dire que Laurent Mignard na pas sa trompette
dans sa poche. Linstrument du compositeur, arrangeur,
chef dorchestre est plutôt du genre voyageur.
De Paris à lÉgypte, en passant par
lAsie centrale, New York et Beyrouth, le «
pocket instrument » se nourrit de multiples voyages.
Ces pérégrinations imaginaires ont fait
rêver le public du Music-Hall réuni pour
fêter les dix ans de Liban Jazz.
Trompettiste virtuose, Mignard, qui en est à sa
énième visite au pays du Cèdre, sest
entouré dune « dream team » composée
de Luc Isenmann (batterie), Éric Jacot (contrebasse),
David Cross (saxophone ténor) et un invité
tout aussi talentueux, Khaled Yassine, à la tablé.
De multiples influences (orientales, ethniques, latino)
viennent ainsi colorer les compositions de Mignard. De
véritables gourmandises pour un public qui en redemande
encore plus. Laurent et ses compères nous ont alors
offert un Frenetic City avec une recommandation spéciale
: « Attachez vos ceintures, il pourrait y avoir
des turbulences. » Chaque instrument sest
alors lancé dans un solo déchaîné
pour sunir avec les autres dans un final enflammé.
Belle façon de célébrer la naissance
dun festival qui nous fait également voyager
avec des formations jazziques les plus diverses et ce
depuis une bonne décennie.

4 Avril 2007
Éric
Truffaz
se produit avec son quartette ce soir
au Music-Hall (Starco), à 20h30

«19 juin 2004, Liban, Byblos : alors que nous terminions
le premier morceau, la voix du muezzin est venue nous
visiter. Au premier abord, je pensais à une plaisanterie
de lun des membres du groupe. Cette voix était
dans la même tonalité que le morceau. Nous
avons donc improvisé avec elle. Cétait
un moment de bonheur dune intensité rare.»
Voilà comment sest exprimé le trompettiste
Éric Truffaz lors de sa première visite
au Liban.
Il sera de nouveau ce soir à Beyrouth avec son
quartette, pour un concert unique au Music-Hall, à
20h30.
Le magazine Jazzmag a dit de lui un jour: «Entre
Miles Davis et Éric Truffaz... rien.» Cela
veut déjà tout dire. Car pour ce trompettiste
qui a étudié au Conservatoire de Genève
avant dintégrer lorchestre de Suisse
romande, le besoin dinnovation, tout comme ses prédécesseurs
Miles Davis ou Donald Byrd, a toujours été
au centre de son travail.
Après avoir créé le groupe Orange
dans lequel on trouve le batteur Marc Erbetta (encore
à ses côtés aujourdhui), Truffaz
connaît un autre tournant dans sa carrière
lorsquil rencontre la formation Silent Majority.
Il jouera en 1993 sur leur album intitulé Curfew.
Suite au succès de luvre, les musiciens
Nya, Giuliani, Erbatta, Muller et Truffaz vont explorer
les courants funk et drum&bass. Le son de lartiste
trouve sa vraie place dans cette alchimie. Les albums
The Dawn et Bending New Corners en sont lexemple.
En prenant une orientation plus rock dans The Walk of
the Giant Turtle (2003), le musicien sest amusé
encore une fois à surprendre.
Les atmosphères particulières quil
crée, une qualité technique et un sens affûté
du groove ont fait de ce trompettiste un empêcheur
de tourner en rond dans la planète jazz.

20 Décembre 2006
Laurent de Wilde Trio, un jazz en
mutation
au
Music-Hall (Starco) à 20h30
En
raison des événements qui ont frappé
le pays pendant la saison dété,
Liban-Jazz, en exil à Paris, avait réuni
au Théâtre du Rond-Point 25 emblématiques
de la scène jazz pour la manifestation la plus
marquante
de solidarité avec le Liban, Le concert en blanc.
Aujourdhui, déterminés à
maintenir les objectifs fixés depuis le lancement
de ce programme ambitieux à Zouk Mikael en 2004,
les infatigables organisateurs ont décidé
de présenter, malgré linsoutenable
atmosphère ambiante du pays, la formation Laurent
de Wilde Trio, le mercredi 20 décembre,
au Music-Hall, Starco, à 20h30.
Authentique trio dun jazz daujourdhui,
ouvert au monde et curieux de tout, lorchestre
de Laurent de Wilde semble illustrer toute une musique
intimiste et éthérée, couvée
dans la chaleur dun ensemble harmonieux.
Né à Washington, Laurent de Wilde, élevé
en France et détenteur dune bourse détudes
musicales, va sinstaller à New York. Cest
là quil rejoint le trompettiste Eddie Henderson
et se produit avec lui en ville.
Quatre disques plus tard, il rentre à Paris mais
revient aussitôt à New York pour enregistrer
un album intitulé Open Changes avec Coleman et
Drummond, pour lequel il obtient le prix Django Reinhart,
récompensant le meilleur musicien de lannée.
Désormais, il partage son temps à Paris
entre sa carrière de leader et laccompagnement
dartistes.
En 1996, paraît un livre sur lequel le musicien
travaillait depuis longtemps, une biographie du pianiste
le plus célèbre et le plus controversé
du jazz, Monk. Louvrage reçoit en 1996
le prix Charles Delauney du meilleur livre sur le jazz
et est traduit en plusieurs langues.
En 1998, il est consacré, aux Victoires de la
musique, nouvel artiste jazz de lannée
à loccasion de son album Spoon-a-Rythm
sorti en 1997. Le musicien décide alors de sintéresser
à la révolution électronique qui
redéfinit, selon lui, le jazz contemporain. Parallèlement,
il multiplie les rencontres avec des univers très
variés et revendique un jazz en mutation.
Lannée 2004 aura vu la sortie de ses collaborations
avec André Ceccarelli, Eddie Henderson et Rick
Margitza.
Accompagné de Laurent Robin à la batterie
et Rémi Vignolo à la contrebasse, le trio
témoigne de lamour toujours plus profond
de Laurent pour le piano.
Le film Concert en blanc, réalisé à
Paris, sera projeté avant le spectacle.

Le 13 Avril 2006, au Music-Hall
de Beyrouth

Magic Malik Orchestra and Guests

" J'aime les maisons aux portes ouvertes,
pour un nomade, elles offrent un refuge souvent salutaire,
mais il faut pouvoir en sortir une fois qu'on y est entré
". En quelques années, Magic Malik, flûtiste
français originaire des Caraïbes, a su créer
le chaînon manquant entre les musiques festives
et le Jazz. Le musicien lance des ponts entre les genres,
appuyé par une kyrielle d'artistes internationaux
dont l'incontournable saxophoniste américain Steve
Coleman ou les Troublemakers. Ces dernières années,
Magic Malik s'est lancé dans le projet XP (pour
expérimentations) dans lequel il explore au fil
des disques ses "études" autour de la
forme, de l'architecture des compositions, du langage
musical permettant au musicien d'entrer dans la matière
rythmique, harmonique, mélodique. Langueurs, relation
au temps, place du silence, jeu en séquences, unissons,
chorus : le flûtiste se fond aussi dans le collectif,
au service de cette nouvelle série d'expérimentations,
dans une optique presque chirurgicale. Sur scène,
Magic Malik électrise le public notamment grâce
à sa façon unique de jouer de la flûte
tout en chantant.
Réservations:
01 36 12 36 ou
03 807 555
Liban Jazz " MusicHallogies"
"
Le Jazz s'intéresse à tout...
... le Jazz est partout "
Parce
qu'il se nourrit de toutes les influences, le Jazz voyage,
flirte avec les genres, se perd sur des chemins sinueux
et, parfois, crée de nouvelles voies. Le succès
mondial des tendances World-Jazz est le témoin
d'une tentative de fusion réussie.
Pour répondre aux attentes d'un public nombreux
et enthousiaste, Liban Jazz a créé MusicHallogies
: trois rendez-vous annuels sur la scène du Music
Hall. Un programme toujours plus riche, accessible à
tous et sans concessions pour les connaisseurs. MusicHallogies
accueillera les plus grands noms du Jazz et de la World-Jazz
qui se succèderont jusqu'à l'aube sur
la meilleure scène de Beyrouth.
" Le Jazz est l'unique façon de parler aux
hommes du monde entier un langage créateur avec
une intensité et une pertinence égale
". Miles Davis

Réservez votre concert
au Music-Hall

Tel:
01 36 12 36
ou
03 807 555
Prix des places : à
partir de 20 USD
Nostalgie, kitch et atmosphère
Le Music Hall, un divertissement culturel
Pour
y trouver une place, un petit coin où se mettre,
se glisser, même debout – les gens sont prêts
à tout –, il faut réserver des semaines à l’avance.
Le Music Hall est aujourd’hui un des endroits
branchés où il fait bon voir et surtout être vu.
Rassurez-vous, malgré une foule qui se bouscule,
il y a toujours moyen de repérer les visages et
de se faire remarquer, si besoin est…
Et le besoin, pour beaucoup, y est! C’était un
vieux théâtre presque mythique des belles années
d’avant-guerre. Il a vu défiler grand nombre de
comédies musicales, avec des vedettes étoiles
telles Sabah ou Georgina Rizk, avant de se transformer
et de devenir, aussi, un cinéma, temps modernes
exigent. Installé dans le centre Starco, qui eut
lui aussi son heure de gloire, un des premiers
dans les années 70 à avoir un escalier roulant,
racontent nos parents, il conserve, en dépit d’une
gloire éphémère, un parfum d’antan, et tous les
souvenirs qui l’accompagnent… Sa clientèle actuelle
n’a, il est vrai, jamais connu ces jours heureux.
Mais ils en ont tellement entendu parler.
Est-ce pour cela que le Music Hall a une réputation
qui le précède ?

Michel Eleftériadès,
"l'âme" du Music-Hall
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Jazz
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tel: + 961 (0) 1 566 966
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Artisanat, Soirées-spectacles
dans ses vieux souks,
son festival annuel:
Zouk Mikael: l'animation
libanaise pour tous les goûts!
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Liban Jazz organise chaque année depuis 2004
un grand festival international de Jazz au Liban
dans le cadre des festivités culturelles de Zouk Mikael
L'affiche du Festival LIBANJAZZ
2005
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